SIDERANT

Après la Syrie – et avant l'Afghanistan –, l'armée américaine a annoncé une réduction de ses effectifs en Irak. Une décision qui, selon la Maison Blanche, traduit la volonté de Donald Trump de désengager les Etats-Unis des «guerres sans fin».
Alors que le procès en extradition de Julian Assange doit reprendre le 7 septembre à Londres, ses soutiens se mobilisent. Cagnotte, pétitions, rassemblements : tour d'horizon des initiatives visant à obtenir la libération du journaliste.
Adopté par la Chambre des représentants, un amendement à la loi National Defense Authorization Act contraint le gouvernement américain à présenter un rapport annuel, faisant état des conséquences humanitaire des sanctions étasuniennes.
Des roquettes ont pris pour cible ces dernières 24 heures des zones abritant des intérêts américains en Irak. Non revendiquées, ces attaques pourraient viser l’autorité du nouveau Premier ministre, considéré par certains comme pro-Américain.
L'ancien secrétaire d'Etat Colin Powell s'en est pris à Donald Trump sur CNN, avant d'apporter son soutien au candidat démocrate Joe Biden pour la présidentielle. Trump lui a rappelé son mensonge à l'ONU, qui a permis la guerre d'Irak en 2003.
Le chef d'Etat-Major des armées a fait savoir que la France allait rappeler sur son sol ses troupes stationnées en Irak alors que la pandémie de coronavirus frappe également le Moyen-Orient. Une décision semblable à celle des Etats-Unis.
Quatre membres de l'association française SOS Chrétiens d'Orient sont portés disparus depuis le 20 janvier à Bagdad. Leurs proches sont sans nouvelles et aucune rançon n'a été demandée pour l'heure. Les autorités françaises ont été alertées.
Le Pentagone a rendu public un nouveau bilan humain des attaques menées début janvier par l'Iran sur plusieurs bases irakiennes dans lesquelles se trouvaient des soldats américains. 34 militaires étasuniens ont finalement été blessés.
Une marée humaine a déferlé sur Bagdad à l'appel de Moqtada al-Sadr pour demander le départ des troupes américaines d'Irak. Le leader chiite a également requis l'interdiction de survol de l'espace aérien irakien par des avions militaires américains.
Contrairement aux affirmations de Donald Trump, onze soldats américains ont été blessés dans l'attaque de la base aérienne d'Aïn al-Assad en Irak, le 8 janvier dernier au cours d'une opération menée par l'Iran. Aucun mort n'est à déplorer.
Dans une allocution à Washington, Donald Trump a annoncé qu'aucun Américain ni Irakien n'avait été touché par les attaques iraniennes contre deux bases militaires en Irak. Selon lui, l'Iran «semble reculer».
L'armée allemande a annoncé le retrait d'une partie de ses soldats actuellement stationnés en Irak pour des missions de formation et leur transfert en Jordanie et au Koweit en raison des tensions dans la région après la frappe de Washington à Bagdad.
Le chef du Pentagone a démenti tout retrait étasunien d'Irak, après la révélation d'une lettre de l'armée américaine adressée à Bagdad, qui annonçait un retrait de la coalition menée par Washington. Cette missive aurait été envoyée... par erreur.
Répondant à Donald Trump, qui a accusé l'Iran d'être derrière les récents événements antiaméricains en Irak, le Guide suprême iranien a conseillé à Washington de chercher la source de la contestation dans ses propres «crimes».
Après l'attaque de l'ambassade des Etats-Unis à Bagdad par des milliers de manifestants, le Pentagone a annoncé le déploiement immédiat de 750 soldats «dans la région», soulignant qu'il s'agissait d'une «action de précaution».
Les frappes américaines, présentées comme une riposte, contre des combattants chiites proches du Hezbollah à la frontière entre l'Irak et la Syrie, a suscité les protestations de l'Iran, mais aussi de plusieurs acteurs politiques de la région.
Le Pentagone a annoncé avoir frappé cinq bases en Irak et en Syrie d'un groupe de combattants chiites proche du Hezbollah, deux jours après la mort d'un Américain dans une attaque à la roquette contre une base militaire irakienne à Kirkouk.
Chérif Ghemmour, journaliste, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !»
Régis Le Sommier, auteur d'un livre sur Abou Bakr al-Baghdadi, a commenté pour RT France la mort de ce dernier, annoncée le 27 octobre. Il estime que c'est un «coup dur» porté à l'organisation terroriste mais qu'on peut s'attendre à sa recomposition.
A la veille de l'expiration du cessez-le-feu annoncé par la Turquie dans le nord de la Syrie, des véhicules militaires américains ont essuyé des jets de projectiles de la part d'habitants d'une ville kurde.