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Une princesse saoudienne a retrouvé son appartement parisien vidé de ses sacs, bijoux et fourrures, dont la valeur cumulée est estimée à 600 000 euros minimum.
Un an après la suspension des ventes d’armes suspectées d’être utilisées dans des crimes de guerre au Yémen par l’Arabie saoudite, le Royaume-Uni a repris ses exportations vers Riyad, après avoir conclu qu'il ne s'agissait que d'«incidents isolés».
Après des attaques perpétrées par des drones contre deux installations pétrolières saoudiennes, le royaume wahhabite a dû réduire temporairement de moitié sa production d'or noir. La Bourse d'Arabie saoudite a ouvert en net recul ce 15 septembre.
Le réseau social a décidé de bloquer les comptes du plusieurs personnalités et médias de langue farsi. Twitter invoque pour se justifier «le harcèlement coordonné [...] de la communauté bahaïe», mais les médias incriminés ne sont pas convaincus.
Selon CNN, le Pentagone s’apprêterait à déployer 500 soldats supplémentaires en Arabie Saoudite pour contrer la menace iranienne. Une annonce non confirmée par l’exécutif américain alors que la monarchie dérange de plus en plus outre-Atlantique.
Allié de Téhéran, le Hezbollah libanais a prévenu les Etats-Unis et leurs alliés – l'Arabie saoudite et Israël – qu'une guerre contre l'Iran mèneraient à la destruction totale de leurs forces, et créerait le chaos dans toute la région.
Le tension continue de monter dans le golfe Persique après un raid de la coalition saoudienne mené sur Sanaa, qui a fait au moins six morts, en réponse à l'attaque de deux stations de pompage par les Houthis. L'Iran tente elle de calmer le jeu.
Donald Trump a bloqué une résolution du Congrès exigeant la fin du soutien logistique de Washington à la coalition menée par Riyad au Yémen. Pour les rebelles houthis, les Etats-Unis portent «la responsabilité des massacres» qui frappent le pays.
Nouveau rebondissement de l'affaire Kashoggi aux Etats-Unis : des sénateurs américains des deux bords politiques affirment qu'ils n'ont plus aucun doute sur l'implication du prince saoudien dans le meurtre du journaliste à Istanbul.
Le nouveau gouvernement socialiste espagnol se désengage d'un contrat gênant négocié par son prédécesseur : le royaume ibérique devait vendre pour 1,8 milliard d'armes à l'Arabie saoudite, impliquée dans le conflit sanglant du Yémen.
Des frappes saoudiennes ont provoqué la mort d'au moins 50 personnes à bord d'un bus et blessé 77 personnes dont une majorité d'enfants. La coalition saoudienne a reconnu avoir mené des frappes qu'elle qualifie d'acte de guerre «légitime».
Pour montrer sa reconnaissance envers «l'héroïsme et les sacrifices» de ses soldats, le roi Salmane d'Arabie saoudite a fait passer un décret qui les exonère de toute responsabilité dans le conflit au Yémen, où des milliers de civils ont été tués.
A l'approche de la levée de l'interdiction de conduire pour les Saoudiennes, les autorités ont récemment arrêté plus d'une dizaine de militants des droits des femmes, les accusant de trahison et de saper la stabilité du royaume.
La tournée occidentale du prince héritier saoudien le mène des Etats-Unis à la France. Sur fond de polémique liée aux ventes d'armes et à la guerre au Yémen, cette visite doit être l'occasion de conclure un «nouveau partenariat stratégique».
Un juge fédéral américain a rejeté le recours de l'Arabie saoudite qui souhaitait faire annuler les poursuites des familles de victimes du 11 septembre à son encontre. Le juge estime que les accusations présentent un «fondement raisonnable».
Depuis trois ans, la guerre au Yémen n'a qu'épisodiquement fait la une des médias occidentaux. Pourtant, la situation y est catastrophique. Mort, choléra, famine : retour en trois chiffres sur la «pire crise humanitaire du monde».
Arrêté début novembre dans le cadre de la vaste opération anti-corruption menée en Arabie saoudite, le prince Metab ben Abdallah – ancien chef de la puissante Garde nationale – a été libéré après avoir payé un milliard de dollars aux autorités.
Lors d'un congrès sur les nouvelles technologies, Riyad a annoncé avoir accordé la citoyenneté au célèbre robot Sophia. Rapidement, les internautes se sont étonnés qu'elle ne soit pas soumise aux même restrictions que les femmes (réelles) du royaume.
Les autorités koweïtiennes ont ordonné l'expulsion d'une quinzaine de diplomates iraniens après la condamnation de membres d'une cellule «terroriste» accusée d'entretenir des liens avec l'Iran.
La filiale saoudienne de McDonald's, détenue par un membre de la famille royale, a fait allégeance au prince héritier nouvellement nommé avec une pleine page de publicité dans la presse. Le serment a aussi été publié sur le réseau social Twitter.