A Saint-Martin-le-Vinoux dans l'Isère, un lieu rendant hommage aux troupes de montagne tombées pour la France depuis 1888 a été souillé par diverses insultes. Les forces de l'ordre ont notamment constaté des tags appelant à tuer les policiers.
Un acte de vandalisme anti-catholique a été commis dans une réplique de la grotte de Lourdes, à Montpezat-de-Quercy. La statue de la Vierge Marie a été retrouvée décapitée, selon les informations de journal La dépêche.
Par mesure de sécurité, le maire de la plus grande ville du Kentucky a décidé de retirer la statue de Louis XVI vandalisée lors de manifestations visant à protester contre le racisme et les violences policières aux Etats-Unis.
Plusieurs clichés mis en ligne par la ville du Robert montrent un monument à l’effigie du général de Gaulle recouvert de peinture et d'inscriptions comme «nous ne sommes pas Français». Le ministre des Outre-mer a fermement condamné cette dégradation.
Des tags christianophobes ont été découverts, le 29 août, sur la façade d'une librairie chrétienne de Lyon. Le maire de la ville, le préfet, ainsi que le recteur de la mosquée de Villeurbanne ont exprimé leur indignation.
Des tags ont été inscrits sur le centre de la mémoire d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), village martyr de la Seconde guerre mondiale, a annoncé à l'AFP son président Fabrice Escure. Des actes dénoncés par l’exécutif.
Une œuvre représentant l'ancien souverain de Belgique, Léopold II, a été recouverte de peinture dans l'enceinte de l'Africa Museum, en soutien au mouvement «Black lives matter». C'est la troisième fois cette année que ce même buste est vandalisé.
Récemment réalisée devant la Trump Tower avec la participation du maire Bill de Blasio, l'imposante fresque au sol Black Lives Matter ne fait pas l'unanimité. Une militante de droite a été arrêtée alors qu'elle recouvrait l'inscription de peinture.
La statue de l'abolitionniste Victor Schœlcher a été retrouvée renversée à Cayenne pendant le couvre-feu instauré pour lutter contre la propagation du Covid-19. Une enquête a été ouverte pour dégradation de biens d'utilité publique.
Des manifestants ont déboulonné une statue de Christophe Colomb à Baltimore, sur la côte Est des Etats-Unis. Le dernier acte de vandalisme en date contre des monuments ou statues de personnages historiques liés à l'esclavage ou la colonisation.
Le président des Etats-Unis a averti sur Twitter qu'il avait autorisé les autorités fédérales à interpeller les manifestants qui s'en prennent aux statues ou aux monuments américains, rappelant que ce délit était passible de 10 ans de prison.
L'ambassade d'Espagne aux Etats-Unis condamne la dégradation par des manifestants californiens de statues du saint catholique Junipero Serra et de l'écrivain Cervantes. Elle demande aux autorités américaines de protéger leur patrimoine commun.
A Anvers, une statue de Léopold II a été retirée et entreposée dans les réserves d'un musée local. Dans un contexte de manifestations anti-racistes, le débat sur le déboulonnage des statues de ce symbole de la colonisation du Congo avait ressurgi.
En marge d'un rassemblement contre le racisme à Bristol, des manifestants ont renversé puis traîné jusqu'à la rivière la statue d'un marchand d'esclaves du XVIIe siècle. Une statue de Churchill a été dégradée à Londres le même jour.
Une enquête a été ouverte après l'incendie de deux véhicules dans le Doubs. Un blog d'extrême gauche revendiquait avoir «mis le feu» à la voiture du député LREM Eric Alauzet, mais aucun des deux véhicules brûlés n'était le sien.
Voitures vandalisées, tags hostiles, les Parisiens fuyant la capitale pour passer le confinement en province se heurtent à un accueil parfois glacial des habitants locaux qui leur reproche un manque de responsabilité.
L'établissement spécialisé dans les publications nationalistes situé dans le VIe arrondissement de Paris a été attaqué avant la venue de Jean-Marie Le Pen. La librairie, déjà dégradée en février dernier, a néanmoins maintenu la venue du «Menhir».
Après la récente vague de dégradations de permanences LREM, des membres du RN ont dénoncé ce qu'ils estiment être de l'«indifférence» quand leur parti est visé par de tels actes de vandalisme. Dernière dégradation en date : Saint-Brieuc, en Bretagne.
Le gouvernement a annoncé la mise en place d’une commission d’experts chargée d’évaluer les effets potentiels d’un accord de libre-échange entre l’Europe et le Mercosur. Il a l’avait déjà fait avec le CETA, sans convaincre les agriculteurs.
Des permanences de députés LREM ont été vandalisées ou dégradées par des actions diverses cette dernière semaine, notamment en lien avec le vote du CETA. Le gouvernement et la majorité ont fermement condamné ces actes.