L'Académie française a adopté le 26 octobre 2017, à l'unanimité, une déclaration contre l'écriture dite «inclusive». Pour autant le CNRS fait fi de cet avis, ce qui inquiète l’un de ses chercheurs, Marcel Kuntz. Il dénonce une dérive idéologique.
Olivier Schrameck a reçu la distinction peu flatteuse du «pire défenseur de la langue française». Selon le jury de l'Académie de la Carpette anglaise, le président du Conseil supérieur de l'audiovisuel promeut la domination de l'anglais en France.
Plusieurs milliers de francophones ont manifesté le 1er décembre dans plusieurs villes de l'Ontario afin de protester contre la décision du gouvernement conservateur d'annuler la construction de la première université francophone.
Interro surprise pour Jean-Michel Blanquer : intervenant dans l'émission Au Tableau ! sur C8 le ministre de l'Education a commis une petite bourde d'orthographe qui lui a donné l'occasion de gloser sur les vertus de l'erreur. Jolie pirouette.
Alpheratz, auteur de «Requiem», premier roman où le masculin ne l'emporte pas sur le féminin, évoque le genre neutre dans OPEN MIC
Cette semaine, on parle de la langue française : est-elle misogyne ? Avec Paul Nafilyan, porte-parole de Racines d'Avenir, Pierre d'Artois, auteur pour AgoraVox, Laélia Véron, linguiste et Alpheratz, cherchaire et autaire
Danièle Obono décrédibilise-t-elle la fonction de député à l'Assemblée nationale ? La parlementaire insoumise a effectivement accepté un challenge de l'animateur Cauet visant à placer le mot «bolos» dans une intervention à l'Assemblée.
La député Laetitia Avia avait déclaré qu'elle déposerait une proposition de loi pour contrer les discriminations à caractère linguistique. Après avoir publié le texte sur Twitter, elle assure à présent qu'il s'agissait d'une plaisanterie.
L'Organisation internationale de la Francophonie a annoncé que l'Arabie saoudite avait finalement reporté sa demande d'adhésion. L'Arabie saoudite avait effectivement suscité une levée de boucliers du fait de la politique de son gouvernement.
Réunis le 11 et le 12 octobre à Erevan, les membres de l'OIF devront entre autres plancher sur un sujet délicat : l’adhésion de l’Arabie saoudite. Alors que la France préfère botter en touche, certains pays, ont déjà fermé la porte à Riyad.
La commission d'enrichissement de la langue française a finalement tranché : le terme officiel pour dire «fake news» en français sera désormais «infox». Ce joli mot a été préféré à «infaux» ou «fallace».
Un danger pour l'individu autant que pour la société ? La journaliste et écrivain Nadia Le Brun revient sur le politiquement correct qui a envahi le discours politique et médiatique, rendant impossible tout débat de fond et toute réflexion.
Dans une vidéo devenue virale en Allemagne, une mère exprime sa révolte : dans la maternelle de son fils, seuls 2 enfants sur 25 parlent allemand. La directrice de l'établissement assure pourtant que l'allemand reste la langue commune des enfants.
Le projet de loi controversé, qui définit Israël comme «Etat nation juif» et impose l'hébreu comme langue nationale, a été adopté à la Knesset le 19 juillet. La mesure créant de nouvelles localités 100% juives a toutefois été écartée.
La domination de la langue anglaise dans les universités des Pays-Bas inquiète professeurs et étudiants, à tel point qu'un syndicat a demandé à la justice de s'en mêler, forçant le gouvernement à prendre position.
Dans son rapport du 18 avril, le Haut Conseil à l’Egalité recommande de réviser la Constitution pour y intégrer des termes féminisés. Co-auteur du livre Notre-Drame de Paris, la journaliste Nadia Le Brun y voit de la vacuité sans pertinence.
L'arroseur arrosé ? Voulant critiquer l'intitulé de la manifestation anti-Macron du 5 mai, la secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes a reçu une leçon de linguistique sur Twitter.
Après avoir qualifié maladroitement la Première dame australienne de «delicious», Emmanuel Macron a été représenté en «Pépé le putois» en une du plus grand quotidien de l'île-continent. Un personnage connu pour sa drague et son odeur pestilentielle.
En déplacement en Australie, Emmanuel Macron a créé le malaise en usant maladroitement d'un mot de vocabulaire anglais à propos de la femme du Premier ministre. Il l'a qualifiée de «delicious», un adjectif utilisé pour parler de nourriture.
A Bruxelles, le 25 avril, l'ambassadeur de France auprès de l'UE a quitté une réunion après avoir appris l'absence d'interprétation lors des futurs débats budgétaires. Un avantage pour l'anglais au détriment des autres langues, en dépit du Brexit.