BRAS DE FER

Dans La Grande Interview, Milorad Dodik, président de la république serbe de Bosnie.
Prenant le gouvernement à contrepied, Zoran Milanovic a exprimé son hostilité à l'élargissement de l'Alliance aux deux pays nordiques. Il souhaite que la Croatie défende avant tout ses intérêts nationaux, sur l'exemple de la Turquie.
Depuis l'incendie du camp de Lipa, les migrants sont sans abri alors qu'un temps hivernal rigoureux s'installe. Pour Bruxelles, «la situation est inacceptable. Un hébergement adapté à l’hiver est indispensable pour des conditions de vie humaines».
A Besançon, une adolescente de confession musulmane et d'origine bosnienne a été violemment frappée et humiliée par une partie de sa famille pour avoir manifesté sa volonté de se marier avec un chrétien d'origine serbe. Gérald Darmanin a réagi.
D'après une enquête du Centre d'analyse du terrorisme, six Français sur dix partis faire le djihad entre 1986 et 2011 «ont été condamnés en France ou à l'étranger postérieurement à leur retour pour des infractions terroristes».
Le président serbe, Aleksandar Vucic, a dénoncé l'absence d'aide de l'Europe dans la lutte contre le coronavirus, se désolant que «la solidarité européenne n'existe pas». Il a annoncé vouloir se rapprocher de la Chine.
Zeljko Komsic, le président bosnien, a convoqué ce 8 novembre l'ambassadeur de France à Sarajevo. En cause, des propos d'Emmanuel Macron qui a qualifié ce pays de «bombe à retardement» à propos du djihadisme.
Le prix Nobel de littérature a été décerné à l'écrivain autrichien Peter Handke. Un choix qui ne fait pas l'unanimité dans les Balkans étant donné le soutien qu'avait affiché l'homme de lettres à l'ancien président serbe Slobodan Milosevic.
Un homme de 39 ans, visé par un mandat d'arrêt belge, a été arrêté le 20 juin en Allemagne. Il aurait été en rapport avec une organisation terroriste liée à l'attentat du Bataclan le 13 novembre 2015.
Plus d’une vingtaine de pays et des dizaines de milliers de personnes et entités sont frappées de sanctions américaines. Administrées par le Trésor, celles-ci sont justifiées par des menaces supposées contre la sécurité des Etats-Unis.
Le Tribunal pénal international de l'ONU ordonne une peine à perpétuité contre le chef politique des Serbes de Bosnie pendant la guerre en ex-Yougoslavie. Il est définitivement jugé coupable de génocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
Réagissant à la volonté américaine d'intégrer la Bosnie-Herzégovine dans l'Alliance atlantique, le spécialiste en Défense Philippe Migault rappelle que les Balkans, profondément divisés, sont plus que jamais une poudrière qui menace l'Europe.
Dans un raisonnement visant à justifier les bombardements occidentaux contre Damas, le médiatique philosophe a évoqué deux massacres aux «armes chimiques» en Bosnie. Problème ? Aucune arme chimique n'a été utilisée dans ces attaques.
Dans un documentaire retraçant son parcours, Zlatan Ibrahimovic accuse ouvertement les médias suédois de racisme à son égard. Pour le footballeur d’origine bosniaque et croate, le traitement médiatique de ses performances en est la preuve concrète.
Le drapeau serbe déployé par un activiste à proximité du siège du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie a suscité une violente réaction de la part des militants venus de Bosnie pour entendre le verdict rendu contre Ratko Mladic.
Ratko Mladic a été condamné à la perpétuité pour génocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Il était le dernier grand accusé du tribunal créé en 1993 pour juger les responsables présumés de crimes lors du conflit yougoslave.
Moscou a effectué le dernier paiement de la dette héritée de l'Union soviétique : 125 millions de dollars à la Bosnie-Herzégovine. Elle n'a en revanche guère profité de ses créances, effaçant une grande partie des dettes contractées auprès de l'URSS.
Des milliers de curieux se sont alignés sur les bords du fleuve Neretva dans la ville de Mostar pour observer les plongeurs s’élancer depuis un vieux pont situé à 28 mètres de hauteur.
Dans un entretien avec RT, Vojislav Seselj, président du Parti radical serbe a évoqué le tribunal de La Haye, la partialité des juges, la politique de l'Occident et les Balkans d'aujourd'hui.
Alors que le ton est monté récemment entre Ankara et La Haye suite à une série d’incidents diplomatiques, le président turc a accusé les Pays-Bas d’être responsables du plus gros massacre en Europe depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.