Selon les informations d'une ONG protestante, un chrétien sur neuf est persécuté dans le monde. L'Afrique est le continent le plus touché par ces violences, même si le pays au monde où les chrétiens sont le plus persécuté est la Corée du Nord.
L'Assemblée générale de l'ONU a adopté à une écrasante majorité un pacte sur les réfugiés visant à améliorer leur gestion internationale. Un texte qui n'a pas suscité autant d'attention que le pacte mondial sur les migrations, récemment adopté.
Des riverains en colère estiment n'avoir pas été consultés avant l'installation d'un centre qui doit, à terme, héberger 300 migrants dans leur quartier du XVIe arrondissement. La maire de l'arrondissement y voit la patte d'Anne Hidalgo.
L'Aquarius continue de faire parler de lui et d'interroger les politiques migratoires européennes : à son bord, 141 migrants venus d'Erythrée et de Somalie, mais aucun port n'est prêt à les accueillir... Sauf celui de Sète en France.
Israël n'a pas réussi à trouver un accord avec un ou plusieurs pays pour qu'ils acceptent d'accueillir ses migrants d’origine africaine. L'Etat hébreu annule en conséquence son projet de renvoi de plus de 40 000 réfugiés.
Malgré sa déclaration fracassante du 2 avril, Benjamin Netanyahou a décidé d'annuler l'accord passé avec l'ONU selon lequel Israël aurait expulsé une partie de ses migrants africains vers «des pays développés comme l'Allemagne et l'Italie».
Après des rixes entre migrants, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb s'est rendu le 2 février à Calais. Dénonçant une «violence inédite», il a accusé les passeurs d'en être responsables, mais aussi les associations de les rendre possibles.
En réaction à la décision des autorités de proposer à quelque 38 000 clandestins l'expulsion ou l'incarcération, des activistes ont déposé des têtes de mannequin peinturlurées de rouge devant les bureaux des services de l'immigration à Tel Aviv.
Pour mettre en œuvre sa politique d'expulsion des migrants en situation irrégulière, africains pour l'essentiel, Israël cherche à recruter environ 140 personnes et ne rechigne pas sur leur rémunération, plutôt attractive.
Les autorités israéliennes lancent un programme à l'encontre de près de 40 000 migrants, principalement erythréens et soudanais. Ceux-ci ont jusqu'à la fin du mois de mars pour quitter Israël, faute de quoi ils seront emprisonnés.
Une rixe opposant une centaine de migrants africains, des Erythréens face à des Ethiopiens, armés de bâtons et de pierres, a eu lieu dans la zone industrielle de Calais. Au moins 16 personnes ont été blessées.
Le spécialiste de l'Afrique Bernard Lugan revient sur les tensions tribales qui risquent de saper le progrès en Ethiopie.
Le gouvernement érythréen a accusé lundi 13 juin son voisin éthiopien, auquel l'a opposé un conflit meurtrier entre 1998 et 2000, d'une attaque à sa frontière, tandis qu'Addis-Abeba a affirmé ne pas avoir eu connaissance de ces combats.
Les garde-côtes libyens ont intercepté 850 migrants au large de la ville de Sabratha, à l’ouest de Tripoli. Ces derniers viennent notamment de Somalie et du Soudan et tentaient d’atteindre les côtes de l’île italienne de Lampedusa.
Début avril, un étudiant s'est fait expulser d'un avion sur le point de décoller après avoir parlé au téléphone en arabe. Le même jour, sur un autre vol, un passager érythréen était expulsé d'un vol Easyjet car sa présence «inquiétait» son voisin.
C'était pourtant un engagement européen : transférer 160 000 personnes arrivées dans les Etats en première ligne de la crise migratoire. Mais pour le moment, seuls 86 réfugiés ont quitté l'Italie et 30 doivent le faire de Grèce prochainement.
Une Arabe israélienne soupçonnée d'avoir voulu commettre un attentat au couteau par conviction politique voulait en fait se suicider en poussant les forces israéliennes à lui tirer dessus, a indiqué jeudi la justice israélienne.
L'asile est devenu plus difficile à obtenir en Suisse pour les demandeurs en provenance d’Erythrée, car Berne applique désormais plus strictement les accords de Dublin, et les renvoient vers leur premier pays d'arrivée dans l'UE.