L'ancien conseiller du président Donald Trump Steve Bannon est accusé de détournement de fonds à travers un site participatif censé financer la construction du mur anti-migrants à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis.
Bill Morneau a annoncé sa démission en pleine crise économique, sur fond d'enquête sur ses liens avec l'association caritative We Charity, qui employait sa fille et à laquelle le gouvernement avait attribué un important contrat sans appel d'offres.
Trois personnes, des militants LGBT selon des médias polonais cités par l'AFP, ont été inculpées pour avoir recouvert une statue de Jésus et d'autres monuments de Varsovie de drapeaux arc-en-ciel.
L'ancien eurodéputé Nigel Farage a qualifié de «scène terrifiante» la présence de mystérieux manifestants vêtus de noir dans les rues de Londres à l'occasion d'une journée de manifestation commémorant la fin de l'esclavage dans l'empire britannique.
Danger pour la libre-concurrence et la démocratie selon les Démocrates, menace directe à la liberté d'expression pour les Républicains : lors de leur audition devant des membres du Congrès, les patrons des GAFA ont essuyé de nombreuses critiques.
A Izmir, des inconnus ont piraté le système d'appel à la prière des mosquées pour diffuser l'hymne italien de résistance «Bella Ciao». Le porte-parole du président turc a affirmé que «les auteurs de cet acte répugnant ser[aient] retrouvés.»
Alors que plusieurs plateformes en ligne ont drastiquement renforcé leur politique de modération des contenus, le président américain a tancé la «gauche radicale», qui serait, selon lui, à la tête de «Facebook, Instagram, Twitter et Google».
Des poupées à l'effigie d'un couple homosexuel tenant un enfant ont été brûlées lors du traditionnel carnaval d'Imotksi en Croatie. Le président croate, Zoran Milanovic, a fermement condamné cet acte «triste, inhumain et complètement inacceptable».
Les électeurs suisses ont voté à 63 % pour un texte criminalisant l'homophobie, qui fait débat même au sein des LGBT. Défendue par la gauche, cette loi est contestée avec virulence par une partie de la droite qui y voit une forme de censure.
Après trois ans et demi d'intenses discussions, négociations et autres débats entre Londres et Bruxelles, le Royaume-Uni sortira officiellement de l’Union européenne ce 31 janvier 2020, à 23h, heure de Londres, à minuit, heure française.
Boris Johnson vient de remporter les élections générales anticipées du 12 décembre, avec une très large majorité, lui permettant de réaliser le Brexit dès le 31 janvier. De son côté, le Labour a essuyé sa plus lourde défaite depuis 1935.
Après cette défaite de grande ampleur des opposants au Brexit, John Laughland analyse la transformation accélérée du paysage politique britannique.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a remporté la majorité au Parlement britannique. Son parti conservateur a franchi le seuil des 326 sièges sur les 650 de la Chambre des communes, selon les résultats officiels publiés ce 13 décembre.
Selon un sondage à la sortie des urnes, les Conservateurs seraient très largement en tête des élections législatives. Boris Johnson obtiendrait 368 sièges, soit bien plus que les 326 nécessaires pour obtenir une majorité à la chambre des Communes.
Brexit pour l'un, négociation pour l'autre, Boris Johnson et Jeremy Corbyn sont les deux visages opposés du Royaume-Uni, à l'orée des élections législatives anticipées. Les deux leaders partagent toutefois le fait d'afficher une image controversée.
Apprenant que le terroriste de Londres avait déjà été condamné pour terrorisme, tous les regards se sont tournés vers Boris Johnson. Le Premier ministre a assuré vouloir revoir les conditions d'attribution des aménagements de peine.
L'opposition travailliste a accusé les conservateurs de mener des «négociations secrètes» avec les Etats-Unis pour «vendre» à des compagnies américaines le système de santé britannique gratuit – des accusations aussitôt vigoureusement démenties.
L'incertitude demeure autour des élections générales anticipées voulues par Boris Johnson. Ce dernier a besoin d'une majorité absolue au Parlement pour concrétiser le Brexit, et Nigel Farage s'est immiscé dans la course.
Durant le week-end du 12 et 13 octobre, les adhérents du parti Les Républicains votent pour élire leur nouveau président après une succession de crises électorales et internes. RT France décrypte les enjeux de cette élection.
Alors que le Parlement a voté une loi obligeant le Premier ministre à parvenir à un accord avec l'UE, ce dernier continue d'affirmer que le Brexit aura lieu fin octobre «quoi qu'il arrive». Mais les révélations d'un avocat viennent semer le trouble.