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La contestation indigène contre la hausse du coût de la vie et des carburants se poursuit après une tentative d'invasion du Parlement le 23 juin, les manifestations ayant déjà fait un total de six morts. L'armée pourrait intervenir.
Selon des documents déclassifiés, le gouvernement de Theresa May aurait payé plusieurs voyages à des responsables politiques équatoriens dans les mois précédant la résiliation de l'asile politique de Julian Assange.
13 millions d'Equatoriens sont appelés aux urnes ce 11 avril pour choisir leur futur président. En ballotage, le socialiste Andrés Arauz, arrivé en tête du premier tour, et l'ex-banquier libéral-conservateur Guillermo Lasso.
Après avoir réclamé un recomptage des voix, le candidat malheureux du premier tour de l'élection présidentielle en Equateur en a appelé à l'intervention de la «force publique». Il a ensuite assuré ne jamais avoir réclamé d'«intervention militaire».
Alors qu'il caracole en tête des sondages, dont certains le donnent gagnant dès le premier tour de la présidentielle du 7 février 2021, le candidat Andrés Arauz, dauphin de Rafael Correa, est la cible de nombreuses fausses informations.
C'est une élection décisive pour l'Equateur, dirigé depuis quatre ans par un président élu sur un projet socialiste mais appliquant une politique libérale. Les Equatoriens vont décider s'ils remettent le couvert ou renouent avec le corréisme.
Des membres démocrates du Congrès des Etats-Unis ont écrit au secrétaire d'Etat Mike Pompeo pour qu'il engage un «dialogue d'urgence» avec le gouvernement équatorien pour garantir des «élections libres et équitables» en février 2021.
La justice équatorienne, qui avait confirmé la condamnation de Rafael Correa il y a peu, demande désormais son arrestation. Au micro de RT France, Guillaume Long, ex-ministre équatorien des Affaires étrangères, dénonce «un procès politique».
L'ancien dirigeant équatorien Rafael Correa a annoncé sa candidature à la vice-présidence de son pays, derrière Andrés Arauz, spécialiste en économie peu connu du grand public. Objectif : faire tomber le gouvernement de Lenin Moreno.
Dans une lettre signée entre autres par Noam Chomsky et Yanis Varoufakis, l'Internationale progressiste alerte la Haut-commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU sur la situation en Equateur où le parti de Rafael Correa est empêché de se présenter.
Profitant d'une recommandation administrative du Conseil national électoral, le contrôleur d'Etat équatorien, proche du président Lenin Moreno, veut rayer la candidature du parti de Rafael Correa pour l'élection présidentielle de 2021.
A Guayaquil, en Equateur, où la pandémie de Covid-19 a provoqué le débordement des services hospitaliers et funéraires, une équipe spéciale a pour charge de récupérer les centaines de cadavres s’accumulant dans les logements.
Dans une affaire de corruption, la procureure générale d'Equateur a requis sept ans de prison contre l'ex-président Rafael Correa, allant jusqu'à le comparer à Pablo Escobar. L'homme, qui clame son innocence, accuse celle-ci de partialité.
La Société nationale des télécommunications de l'Equateur a interrompu la diffusion de RT en espagnol. Selon la chaîne, cette décision unilatérale s'est faite sans préavis. A ses clients, le fournisseur propose en compensation trois chaînes de sport.
La contestation populaire en Equateur en dit long sur les réformes du président, d’inspiration libérale, en rupture totale avec la politique de son prédécesseur. Réussira-t-il à poursuivre cette politique face à la grogne populaire croissante ?
Le bilan de la crise sociale que vient de traverser l'Equateur, avec de durs affrontements entre manifestants et forces de l'ordre, est de huit morts et plus de mille blessés. En cause, la hausse des prix des carburants. Analyse par Angèle Savino.
Lenin Moreno table sur une sortie de crise après un accord avec les représentants indigènes, l'une des principales forces du mouvement social qui secoue le pays depuis plusieurs jours. Le décret à la base de la grogne devrait être abrogé.
Le président équatorien a ordonné le couvre-feu et l'instauration d'un contrôle militaire sur Quito, au 11e jour d'une mobilisation de la société civile contre la hausse spectaculaire du prix des carburants, conséquence d'un accord avec le FMI.
Devant la grogne populaire contre la hausse spectaculaire du prix des carburants, le président équatorien a quitté la capitale avec son gouvernement pour la ville de Guayaquil. Il a accusé Nicolas Maduro et Rafael Correa d'avoir fomenté ces troubles.
Malgré l'état d'urgence décrété par le président Lenin Moreno, la grève des transports, les manifestations et les blocages routiers se poursuivent de part et d'autre de l'Equateur. Des chars ont été déployés dans la capitale.