ESPACE

Le candidat Eric Zemmour a été visé par une bouteille d'eau, des projectiles et une série d'insultes lors d'une visite médiatique agitée Porte de la Villette à Paris au milieu de toxicomanes et de migrants.
Pris en embuscade alors qu'ils sortaient d'un restaurant du XIXe arrondissement de Paris, sept fonctionnaires spécialisés dans la lutte contre le crack ont été passés à tabac par des trafiquants. Bilan : six blessures légères et une fracture.
Les habitants du nord-est de Paris ont de nouveau continuent de manifester pour réclamer une prise en charge des drogués installés dans la zone. Stéphanie Benoist, présidente du Village 4 chemins, revient pour RT France sur leurs revendications.
Un riverain du square de la Villette a affirmé en direct au micro de Jean-Marc Morandini avoir monté une «milice» dans son quartier pour faire face à une insécurité grandissante engendrée par les consommateurs de crack.
Le 28 octobre, le tribunal administratif de Paris a rejeté la demande des maires d'Aubervilliers et de Pantin qui avaient déposé un recours d'urgence contre l'installation des toxicomanes dans le square de la Villette à Paris, près de leurs communes.
Les maires de Pantin et d'Aubervilliers en Seine-Saint-Denis ont déposé un recours pour contester devant la justice l'installation depuis fin septembre des usagers de crack à proximité du quartier des Quatre-Chemins.
Parallèlement à l'opération de déplacement d'une centaine de toxicomanes jusqu'alors installés dans le quartier des jardins d’Eole, dans le nord-est de Paris, un mur a été érigé entre Pantin et la capitale.
Une manifestation a été organisée devant la mairie du XXe arrondissement de Paris, le maire Eric Pliez souhaitant aménager en salle de shoot une école à l'abandon, dans le cadre du plan lancé par Anne Hidalgo pour la prise en charge des toxicomanes.
Yves Contassot, ancien adjoint à la mairie de Paris, et Laurent Jacobelli, porte-parole du RN, débattaient de la décision de la maire de Paris Anne Hidalgo d’ouvrir de nouveaux lieux de prise en charge des consommateurs de crack à Paris.
«Il est grand temps d'ouvrir les lieux supplémentaires de prise en charge qui permettront de sortir ces personnes de la rue et de leur dépendance», a expliqué l'édile socialiste dans un courrier adressé le 30 août au Premier ministre Jean Castex.
Le ministère de la Santé a annoncé à l'AFP vouloir développer les endroits permettant de consommer de la drogue en sécurité. Paris et Strasbourg expérimentent actuellement le dispositif qui pourrait s'étendre à d'autres villes.
Anne Hidalgo, maire de Paris, a annoncé l’ouverture d’un « premier lieu de prise en charge » des consommateurs de crack qui sévissent dans le nord-est de Paris. Ce lieu ouvrirait «dès cet été» mais rencontre la désapprobation de Gérald Darmanin.
C’était une promesse d’Anne Hidalgo. Dans la nuit du 29 au 30 juin, les forces de l’ordre ont exfiltré les toxicomanes qui occupaient ce parc public parisien d'Eole. Mais le problème n'est-il pas uniquement repoussé ?
Des consommateurs de crack ont été visés le 26 juin par des tirs de mortier dans le jardin d'Eole, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Excédés par l'insécurité, les riverains ne seraient néanmoins pas à l'origine de ces tirs.
Une centaine de riverains excédés par le trafic de crack ont manifesté le 23 juin dans les jardins d'Eole pour réclamer une prise en charge des toxicomanes. Quelques jours plus tôt, un enfant avait été blessé à l'œil.
La maire de Paris a réclamé dans une lettre au Premier ministre la mise en place de nouveaux «postes d'inhalation supervisée», ainsi que la nomination d'un «référent crack national» pour «remettre sur ses rails» le Plan crack lancé en 2019.
Dans le quartier de Stalingrad du XIXe arrondissement parisien, des riverains ont filmé une scène de viol dans la nuit du 21 au 22 mai ainsi que l'arrestation d'un suspect.
Les habitants du quartier Stalingrad dans le XIXe arrondissement de Paris en ont assez des nuisances sonores causées par les consommateurs de crack. Quelles solutions vont pouvoir être prises pour aider ces personnes à trouver leur place ?
Le quartier est en proie à des tirs de mortiers depuis deux nuits. En dépit d'un Plan crack mis en place en septembre 2019, les riverains sont exaspérés par ces attroupements de personnes liées à la vente ou la consommation de drogues.
Plusieurs riverains ont dénoncé sur les réseaux des tirs de mortiers qui se sont produits pendant deux nuits le 30 avril et le 1er mai, sur un lieu fréquenté par des consommateurs de crack. Selon la police, les auteurs seraient des habitants excédés.