SIDERANT

Le président français est mis en cause dans un rapport parlementaire, publié ce 18 juillet, concernant les «Uber Files». Ses auteurs dénoncent l’existence d’une relation «opaque» et «privilégiée» entre Emmanuel Macron et le géant américain des VTC.
Dans la capitale belge, des drapeaux de plusieurs pays européens flottaient lors d'une mobilisation de chauffeurs de taxis contre la société Uber. Plusieurs centaines de personnes étaient dans la rue pour dénoncer les pratiques de la plateforme.
Après les révélations des Uber Files, l’Union nationale des taxis a annoncé qu’elle déposerait plainte contre le président français Emmanuel Macron pour «trafic d’influence» et «prise illégale d’intérêt», tout en interpellant des parlementaires.
Les révélations sur les liens entre Emmanuel Macron et Uber dans la presse ont mis à jour le soutien de l’ancien lobbyiste en chef en Europe de la start-up qui aurait organisé des dîners de récolte de fonds pour lancer le parti du futur président.
Uber a annoncé le 22 novembre que son service destiné à la livraison de plats cuisinés permettra également à ses clients majeurs de commander du cannabis sur son application dans la province canadienne de l'Ontario.
Un artiste plasticien a installé une statue d'un Napoléon représenté en livreur Deliveroo devant l'Hôtel de Ville de Rouen le 19 septembre. La mairie a assuré qu'il ne s'agissait pas d'une commande ni d'une volonté politique.
Dans La Grande interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Nicolas Rousselet, président de G7, sur le thème «Entre écologie et ubérisation, les taxis s'adaptent».
Deux restaurateurs juifs de Strasbourg et des organisations contre l’antisémitisme ont porté plainte contre la société Deliveroo et un ou plusieurs de ses livreurs ayant refusé de livrer «aux Juifs».
Un courrier interne d'une caserne du Sud-Ouest faisait état de verre et d'excréments retrouvés dans des plats livrés aux militaires. Le ministère de la Défense dément l'existence de preuves de tels agissements, mais appelle néanmoins à la vigilance.
Intervenant dans le cadre d'un conflit prud'homal opposant la société Uber à un ancien chauffeur de la plateforme, la Cour de cassation a remis en cause le statut d’indépendant des chauffeurs français travaillant avec la société américaine.
La société Uber a tenté d'éteindre l'incendie, après avoir été la cible de témoignages de clientes rapportant des comportements déplacés de la part de chauffeurs. Nombre d'internautes ont réagi avec le hashtag «#UberCestOver».
Deux avocats lancent une action collective contre Uber Eats pour obtenir la requalification de contrats de salariés indépendants en contrats de travail. Leur action pose la question du salariat déguisé et du statut d’auto-entrepreneur.
La justice belge a clarifié une décision rendue en septembre 2015, selon laquelle Uber avait l'interdiction d'opérer à Bruxelles. L'entreprise déplore que le distinguo n'ait pas été établi entre UberPop et UberX et annonce continuer son activité.
Plusieurs centaines d'ambulanciers convergent en direction de la place de la Concorde à Paris et doivent ensuite rejoindre le boulevard périphérique pour bloquer les voies. Ils manifestent contre la loi de Finances 2019.
Le chroniqueur Eric Naulleau a lancé le 1er décembre le hashtag #BalanceTonUber pour dénoncer l’agression de son fils par un conducteur de la compagnie de VTC. Son initiative a suscité un certain nombre de réactions sur Twitter.
Aux abords du Palais des congrès, porte Maillot à Paris, une centaine de VTC se sont rassemblés pour réclamer une application stricte de la loi régulant le secteur et de meilleures conditions de travail.
Face aux nouveaux contrats imposés par Deliveroo, la grogne monte chez les livreurs. Jérôme Pimot, ancien coursier et initiateur des mobilisations à Paris, revient sur les dangers pour la société de cette précarisation des activités de services.
Quelques dizaines de personnes ont battu le pavé à Paris, à l'appel du Collectif des livreurs autonomes parisiens (Clap) et de la CGT, afin de protester contre la baisse de rémunération des livreurs travaillant pour Deliveroo.
Ce jeudi 29 juin, des chauffeurs de taxi se sont rassemblés dans les rues de Madrid pour une grève de 12 heures. Des échauffourées ont éclaté entre les manifestants et la police.