SIDERANT

Le procès de l'avocat de la campagne Clinton s'ouvre aux Etats-Unis. Il n'avait pas révélé au FBI qui était son employeur lorsqu'il a mis l'organisation sur la piste des accusations – infondées – de collusion entre Donald Trump et une banque russe.
C'est une démarche rare. Le Washington Post a corrigé et supprimé de grandes parties de deux articles et des passages d'une douzaine d'autres sur ce que le quotidien avait identifié il y a quelques années comme une source clé du «dossier Steele».
Le département américain de la Justice a annoncé l'arrestation d'un analyste russe qui fut l'une des sources d'un ancien espion britannique ayant compilé pendant la campagne de 2016 des informations non vérifiées liant Donald Trump au Kremlin.
La Maison Blanche a admis que le renseignement américain ne disposait pas de preuves concluantes pour étayer les accusations selon lesquelles la Russie aurait payé des Taliban afin d'attaquer les troupes américaines en Afghanistan.
A l'aube d'une semaine politiquement explosive, un enregistrement dans lequel Trump demande à un responsable de «trouver» des votes fait des vagues. Les démocrates dénoncent des pressions du président. Mais le contexte de l'appel permet d'en douter.
Missiles nucléaires, cyberattaque : Mike Pompeo a estimé dans une interview que la Russie était «certainement sur la liste» des ennemis des Etats-Unis. Une déclaration de fin de mandat qui contraste avec celles des premiers jours de Donald Trump.
Dans la la course présidentielle américaine Joe Biden et Donald Trump se livrent une bataille sans merci. Les deux candidats ont des visions diamètralement opposées du positionnement des Etats-Unis sur l’échiquier mondial.
Le réseau social va mettre en place une série de mesures visant à empêcher la diffusion de tout «contenu lié à QAnon», le mouvement dont les partisans estiment que Donald Trump défend les Etats-Unis contre un vaste complot criminel.
La cour d'appel de Washington a mis un terme définitif à la prétendue «collusion russe» et rejeté la requête d'un juge fédéral voulant ouvrir une procédure contre le département de la Justice qui a récemment blanchi le général Michael Flynn.
Finie l'accointance avec Moscou ? Donald Trump est accusé de tentative de collusion avec la Chine par son ex-conseiller John Bolton. Des allégations qui ont de quoi surprendre dans un contexte de quasi-guerre froide entre Washington et Pékin.
D'un simple mot, Donald Trump a déclenché une tempête outre-Atlantique, suggérant l'implication de Barack Obama dans la création du mythe de la collusion russe. La genèse de l'affaire révélera-t-elle une histoire d'espionnage d'un opposant politique?
La narratif faisant état d'une collusion russe vient de s'effondrer de manière spectaculaire avec la déclassification de documents sur l'enquête du FBI, qui reconnaît n'avoir jamais disposé de la moindre preuve. L'heure des comptes est-elle venue ?
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov va discuter avec Donald Trump ainsi que son secrétaire d'Etat Mike Pompeo, ce 10 décembre. Objectif : trouver des compromis, notamment sur les relations entre entreprises américaines et russes.
La procédure de destitution contre Donald Trump a déjà profondément divisé le pays et risque d’avoir un impact de taille sur la campagne présidentielle 2020. Où en est-on dans ce bras de fer politique entre les démocrates et Donald Trump ?
Mis en cause par les démocrates à propos d'un entretien téléphonique avec le président ukrainien, Donald Trump s'est fermement défendu, demandant à ce que «quelqu'un se penche sur Joe Biden», dont le fils était visé par une enquête en Ukraine.
Le président américain s'est félicité du témoignage de l'ancien procureur spécial Robert Mueller qui a mis un terme définitif à la prétendue «collusion russe». Evoquant une «trahison», Donald Trump souhaite comprendre comment l'affaire a commencé.
Lors d'une émission diffusée sur LCI, le publicitaire Jacques Séguéla a abordé la question du vote démocratique et des fakes news en période électorale. En profitant, au passage, pour mettre directement en cause la Russie dans ses accusations.
Le rapport du procureur spécial américain, Robert Mueller, dont les conclusions ont été révélées le 18 avril, ne contient «aucune preuve» d'une ingérence russe dans l'élection américaine de 2016, a fait remarquer le Kremlin.
Le procureur général William Barr a rendu ses conclusions sur le rapport Mueller. Aucune collusion avec une puissance étrangère ni entrave à la justice pour Donald Trump, qui s'est immédiatement réjoui de la décision.
Le procureur spécial Robert Mueller n'est pas parvenu, après deux ans d'une enquête fleuve, à démontrer un lien entre Donald Trump et la Russie. Pour autant, en France, cette thèse a été largement relayée par la presse... et l'exécutif.