BRAS DE FER

Alors que Budapest et Varsovie ont opposé leur veto à l'adoption du budget européen 2021-2027, l'Allemagne s'est dit convaincue qu'une solution serait rapidement trouvée. Le président du PPE Donald Tusk demande l'exclusion du parti de Viktor Orban.
Ancien président du Conseil européen et chef du Parti populaire européen, Donald Tusk, a proposé de nommer l'ex-candidate à la présidentielle biélorusse Svetlana Tikhanovskaïa et son mari au prix Nobel de la paix.
L'année 2019 aura été dense pour le président de la République. Entre rapprochement avec la Russie et prises de becs avec l'OTAN ou l'Union européenne, Emmanuel Macron aura fait entendre sa voix. Avec plus ou moins de réussite.
Ancien Premier ministre polonais de 2007 à 2014, puis président du Conseil européen, Donald Tusk est aujourd'hui à la tête du Parti populaire européen (PPE) à l'europarlement. Il estime que son pays est en train de quitter l'Union européenne...
Le président du Conseil européen Donald Tusk a annoncé ce 28 octobre, que les 27 pays de l'Union européenne avaient donné leur feu vert pour accorder à Londres un report de la date de sortie du Royaume-Uni jusqu'au 31 janvier 2020.
Alors qu'il avait arraché un accord de sortie avec l'Union européenne, Boris Johnson a vu les parlementaires britanniques demander un délai afin de valider le texte... forçant le Premier ministre à demander un nouveau report à Bruxelles.
Défavorable à l'entrée de la Macédoine du Nord et de l’Albanie dans l'Union européenne, Emmanuel Macron s'est attiré les foudres de ses partenaires européens. Néanmoins, le sujet de l'élargissement devrait rapidement être mis de nouveau sur la table.
Alors que le Parlement a voté une loi obligeant le Premier ministre à parvenir à un accord avec l'UE, ce dernier continue d'affirmer que le Brexit aura lieu fin octobre «quoi qu'il arrive». Mais les révélations d'un avocat viennent semer le trouble.
Pour le 1er épisode de cette nouvelle saison de C’est Cash, Olivier Delamarche et Estelle Farge se penchent sur le CETA, le traité de libre-échange entre Canada et Union Européenne.
Fermement opposé à la proposition du chef d'Etat américain Donald Trump de réintégrer la Russie au G7, le président du Conseil européen Donald Tusk a suggéré à la place d'inviter l'Ukraine au prochain sommet.
Les récentes nominations au sein des hautes instances de l’UE illustrent un phénomène bien plus large, pointe Pierre Lévy, du mensuel Ruptures : la consanguinité des élites mondialisées, totalement coupées des peuples.
Au lendemain de la nomination d'Ursula von der Leyen, de Charles Michel, de Christine Lagarde et de Josep Borrell aux postes clé de l'Union Européenne, Pierre Lévy présente son analyse de l'état de l'Union qui tourne une nouvelle page.
Entre le monde enchanté que veut bâtir la liste Renaissance et ce que peut vraiment le Parlement européen, il y a une distance. Quant aux enjeux réels des élections comme le choix de la prochaine commission européenne, pas un mot.
Les 27 Etats de l'Union européenne ont, dans la nuit du 10 au 11 avril, accordé un délai de six mois au Royaume-Uni pour concrétiser le Brexit. Le Premier ministre britannique Theresa May l'a accepté mais pourrait écourter ce sursis.
Le prochain sommet européen UE-Chine pourrait être un échec. En coulisses des diplomates européens laissent entendre qu’il ne sera pas possible de parvenir à un compromis et de signer une déclaration finale.
Le Premier ministre britannique Theresa May a demandé un report du Brexit jusqu'au 30 juin, dans une lettre envoyée au président du Conseil européen Donald Tusk. Ce dernier a proposé au Royaume-Uni un report «flexible», allant jusqu'à 12 mois.
Les 27 se retrouvent à Bruxelles pour trouver une position commune concernant la demande de report du Brexit au 30 juin formulée par le Premier ministre britannique, Theresa May. Les dirigeants européens devraient lui imposer un délai plus court.
Le président du Conseil européen a déclaré que le report du Brexit voulu par Londres était possible à condition que le Parlement britannique adopte l'accord de sortie déjà négocié. Et il a laissé entendre que la date du 30 juin ne serait pas retenue.
Le président du Conseil européen, Donald Tusk, s'en est pris vertement ce 6 février aux partisans du Brexit qui, selon lui, n'ont pas anticipé les conséquences d'une sortie sans accord du Royaume-Uni de l'Union européenne.
«Les 27 ont validé l'accord de retrait et la déclaration politique sur les relations futures entre l'Union européenne et le Royaume-Uni», a annoncé le président du Conseil européen, Donald Tusk.