BRAS DE FER

Dans une interview, le ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance a annoncé la prolongation de la durée de remboursement des prêts garantis par l’Etat qui devaient normalement courir sur un an.
Le président argentin a estimé, lors d’un entretien à la radio, que son pays n’était «pas en état» d’accepter des conditions du Fonds monétaire international (FMI), avec lequel il négocie un nouveau programme de financement de sa dette.
L’effondrement de l’économie américaine au second trimestre combiné aux rendements négatifs des obligations d’Etat a propulsé le métal jaune vers des records historiques. Et la mousson indienne pourrait soutenir le phénomène. Tentative d’explication.
D'après une étude comparative mise en ligne par l'Insee, la Corse est la région la plus touchée économiquement par le coronavirus, devant l'Ile-de-France ou PACA. A l'inverse, la Bretagne, les Hauts-de-France ou les DROM encaissent mieux le choc.
La Commission européenne prévoit désormais une récession historique en 2020, accompagnée d’une forte hausse du chômage. Elle n’exclut pas une aggravation en fonction de l’évolution de l’épidémie, et plaide pour un plan de relance coordonné.
Après la résurgence, à la fin des années 70, des thèses néolibérales de l'Ecole de Chicago préconisant les mécanismes du libre marché et la libéralisation des mouvements de capitaux, assistons-nous à un retour de l'Etat dans la vie économique ?
La France a connu au cours du premier trimestre 2020 la pire contraction de son économie depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. La consommation des ménages et les investissement des entreprises se sont effondrés.
Validé par l'Assemblée nationale, le nouveau projet de loi de finances rectificative du gouvernement, visant à faire face à la crise économique due au coronavirus, ne fait pas l'unanimité. Des ONG dénoncent un «chèque en blanc aux grands pollueurs».
La récession mondiale et la chute des cours du pétrole vont affecter l'économie russe en 2020. Mais celle-ci dispose d'une situation budgétaire enviable, tandis que la baisse du rouble face au dollar l'avantage sur les marchés pétroliers.
Effondrement des cours du pétrole et des actions, baisse du prix des billets d’avions : les effets économiques de l'épidémie de coronavirus semblent offrir quelques opportunités. Mais ces dernières pèsent peu face au risque de récession.
Elu sur la promesse de rendre sa grandeur à l’Amérique, le bilan économique de Donald Trump, au bout de quatre ans, est plutôt mitigé. La croissance reste solide, mais sa politique commerciale agressive pose question.
Dans un communiqué, la Commission européenne a mis en garde sur les conséquences potentielles de l'épidémie de coronavirus qui sévit. En perspective : l'impact d'une baisse du PIB de la Chine sur les économies européennes.
Dmitri Medvedev aurait payé son manque de résultats par rapport aux objectifs du programme social de Vladimir Poutine pour son quatrième mandat. Mais dans un contexte globalement défavorable, son successeur peut-il faire mieux ?
La dernière enquête de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) révèle une sérieuse baisse de la confiance des Français dans les perspectives économiques du pays. Le point le plus noir : l’évolution du niveau de vie.
Entre les indices boursiers de la zone euro et l’activité de son secteur industriel, la déconnexion aura été totale en 2019. L’activité et les commandes se sont réduites dans presque tous les pays et de façon particulièrement sévère en Allemagne.
Crise des Gilets jaunes, guerre commerciale Etats-Unis-Chine, Brexit, grève contre la réforme des retraites… 2019 aura été une année chahutée sur le plan économique, mais avec quel impact sur la croissance ?
Le gouvernement et la Banque de France (BdF) ont revu à la baisse leurs prévisions de croissance pour 2020 et au-delà. En Allemagne, la stagnation s’installe durablement.
Au cours de ces dernières années, les pays ouest-africains ont, pour la plupart, enregistré un taux de croissance économique dépassant la barre des 5%. Pour autant son impact réel sur la réduction des inégalités sociales reste faible.
L'économie mondiale ne devrait pas se ressaisir l'an prochain en raison, selon l'OCDE, des tensions commerciales, du ralentissement chinois, mais aussi du Brexit. L'organisation appelle les Etats à réagir rapidement.
Le passage de témoin à la tête de la Banque centrale européenne va se faire dans un contexte de menace déflationniste et de croissance atone. Mais surtout, il n’y a plus de consensus pour faire repartir l’économie européenne.