Quelques jours après la publication d'un rapport de la CIA incriminant le prince héritier saoudien dans l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, Reporters sans frontières annonce déposer plainte en Allemagne en vertu d'une compétence universelle.
A grand renfort de contrats, Riyad tenterait de redorer son blason en France. Selon Mediapart, une conseillère de Jean Castex aurait notamment pris part à ce type d'opérations de communication, dont une source de RT France confirme l'existence.
Après avoir mis directement en cause la responsabilité du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, les Etats-Unis ont exhorté l'Arabie saoudite à cesser «les opérations contre les dissidents».
Dans un communiqué, Hatice Cengiz a demandé que «le prince héritier, qui a ordonné le meurtre brutal d'une personne innocente, soit puni sans délai». Cette déclaration fait suite à la publication d'un rapport sur le meurtre du journaliste saoudien.
Dans un rapport rendu public ce 26 février, les services de renseignement américains mettent directement en cause la responsabilité du prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane dans le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi.
Joe Biden a annoncé son intention de «bientôt» parler pour la première fois au roi d'Arabie saoudite. Le président américain a assuré qu'il allait publier le rapport du renseignement américain sur le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.
La fiancée du journaliste dissident saoudien Jamal Khashoggi, assassiné en Turquie en octobre 2018, a porté plainte à Washington contre le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane et des membres de son entourages.
Alors que le procès du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi se déroule à Istanbul, le parquet a inculpé six nouveaux Saoudiens et réclamé la prison a perpétuité pour deux des suspects. Les quatre autres encourent cinq ans de prison.
Le verdict final du procès pour le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi dans l'enceinte du consulat d'Arabie Saoudite a été rendu dans un tribunal à Riyad. Sa souplesse a provoqué des condamnations de l'ONU, de la Turquie et des journalistes.
Bienvenue dans la poursuite du nouveau format de l'Echiquier mondial qui présente dans cet épisode une bataille entre deux puissantes figures du monde musulman. Chacun aspire au rôle de leader régional, mais jusqu’où pourrait aller la confrontation ?
Dans cet épisode de La Source, Alain Juillet se penche sur la Turquie et la stratégie géopolitique de son président, Recep Tayyip Erdogan.
Soucieuse de redorer sa réputation internationale après l'affaire Khashoggi, l'Arabie saoudite lance son média en français, Arab News. Fait notable, l'ambassadeur de France a inauguré son lancement, saluant un symbole d'«amitié» entre les deux pays.
Un an après la suspension des ventes d’armes suspectées d’être utilisées dans des crimes de guerre au Yémen par l’Arabie saoudite, le Royaume-Uni a repris ses exportations vers Riyad, après avoir conclu qu'il ne s'agissait que d'«incidents isolés».
L'un des fils du journaliste Jamal Khashoggi a publié ce 22 mai sur Twitter un message de pardon aux tueurs de son père. Cet assassinat avait été attribué aux services secrets saoudiens, lors d'un procès en décembre dernier.
Après avoir commis une erreur dans la déclassification d'un document sur le rôle des Saoudiens dans les attentats de 2001, le FBI a révélé le nom d'un diplomate du royaume : Mussaed al-Jarrah. Il est soupçonné d'avoir aidé plusieurs pirates de l'air.
Selon The Guardian, Jeff Bezos aurait vu son téléphone piraté après avoir reçu un fichier vidéo malveillant de la part du compte WhatsApp de Mohammed ben Salmane, conduisant à l'extraction de données. L'Arabie saoudite a immédiatement démenti.
Cinq individus ont été condamnés à mort et trois à 24 ans de prison dans l'affaire du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi en octobre 2018. L'ONU déplore que l'enquête n'ait pas cherché à identifier les «cerveaux» de l'opération.
Ce 29 octobre, RSF a saisi la justice afin qu’elle retire une affiche prônant le tourisme en Arabie Saoudite. Un an après l'assassinat et le démembrement du journaliste Jamal Khashoggi dans un consulat saoudien, l’ONG dénonce une «provocation».
S'il a démenti en être le commanditaire, le prince héritier saoudien a reconnu sa responsabilité, en sa qualité de dirigeant, dans le meurtre puis le démembrement du journaliste, le 2 octobre 2018 dans le consulat saoudien d'Istanbul.
La commission des droits de l'homme de l'ONU intensifie la pression et veut une enquête pénale internationale qui permettrait d'établir l'éventuelle implication du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le meurtre du journaliste.