INSOLITE

Dans Africonnect, Samantha Ramsamy reçoit Mohamed El Maouloud Ramadane, porte-parole de la coordination des mouvements de l'Azawad
Bamako reproche à l'armée française de s'être livrée à de l'espionnage après la diffusion de vidéos tournées par un drone à proximité de la base de Gossi, où un charnier a été découvert. L'armée malienne affirme ne pas en être responsable.
Une semaine après l'annonce par l'armée malienne de la neutralisation de 203 terroristes à Moura, le ministre français des Affaires étrangères a mis en cause cette présentation des faits. De son côté, la Russie a félicité Bamako.
Les autorités maliennes ont décidé d'expulser l'ambassadeur de France, dans une nouvelle escalade des tensions entre Bamako et Paris, a annoncé ce 31 janvier la télévision d'Etat. Le Quai d'Orsay a «pris note» de la décision.
Les militaires au pouvoir au Mali ont proposé à la Cédéao un nouveau calendrier de transition démocratique sur cinq ans, à compter de janvier 2022, contre les 18 mois initialement prévus. La Cédéao pourrait leur imposer de nouvelles sanctions.
Le gouvernement malien a démenti formellement les «allégations sans fondement» faites par des pays occidentaux – dont la France – concernant la présence de Wagner sur son territoire, et ne reconnaît qu'un «partenariat d'Etat à Etat» avec la Russie.
Revenue en mars 2021 au Mali, l'ancienne otage, libérée dans un échange impliquant la remise en liberté de plus de 200 combattants djihadistes, est désormais recherchée par les autorités locales. Le gouvernement dénonce son «irresponsabilité».
Sophie Pétronin, ex-otage française au Mali libérée en octobre 2020, serait «très activement» recherchée par les autorités, selon un document de la gendarmerie malienne révélé par des médias. Les raisons de son motif de recherche sont inconnues.
Les forces armées maliennes ont annoncé le 26 décembre 2020 avoir abattu «une dizaine de terroristes» alors qu'ils tentaient d'attaquer un convoi militaire, près de la frontière burkinabé, deux jours auparavant.
Le chef de file de la groupusculaire Ligue de défense noire africaine (LDNA), Egountchi Behanzin, a tenté de brûler un drapeau tricolore devant l'ambassade de France à Bamako avant d'être interpellé.
Lors d'un rassemblement de plusieurs milliers de personnes à Bamako, les militaires ayant pris le pouvoir ont été accueillis sous les acclamations. Le M5-RFP a refusé d'évoquer un coup d'Etat parlant de «Maliens qui ont pris leurs responsabilités»
Alors que des militaires ont pris le contrôle d'une garnison en banlieue de Bamako, Paris et Washington ont réagi, faisant part de leur inquiétude. Le gouvernement malien appelle au dialogue, alors que le chef de l'Etat est contesté dans la rue.
Des leaders de la contestation ont été arrêtés ce 11 juillet à Bamako, selon l'AFP, alors que la capitale est sous haute tension au lendemain d'une manifestation antigouvernementale traversée de violences.
Selon les experts, l’opération Barkhane s’enlise faute de solutions politiques apportées aux communautés du Sahel, principalement au Mali. La neutralisation de djihadistes, relayée par les médias, est insuffisante pour rétablir la sécurité des pays.
Ce 10 janvier, Bamako a de nouveau été le théâtre d'un rassemblement contre la présence française. Les protestataires, plusieurs centaines, jugent la force Barkhane ainsi que la mission onusienne incapables de venir à bout de la menace terroriste.
Ibrahim Boubacar Keïta a justifié l'intervention militaire française dans son pays en dépit des vives contestations dont elle fait l'objet. Pour ce faire, Il a rappelé aux Maliens la contribution de leurs aînés lors des deux guerres mondiales.
Malgré le renoncement des autorités, plusieurs milliers de personnes ont manifesté fin décembre au Mali afin de protester contre un projet de manuel scolaire d’éducation sexuelle, pourtant avorté, qui devait traiter de la question de l’homosexualité.
Deux jours après l’annonce des résultats provisoires du second tour de l’élection présidentielle au Mali, les partisans de l'opposant Soumaïla Cissé ont protesté ce 18 août à Bamako contre la réélection du président Ibrahim Boubacar Keïta.
Après une élection mouvementée, Ibrahim Boubacar Keïta a été reconduit dans ses fonctions à la présidence du Mali. Le nouveau mandat de ce dirigeant fragilisé se dessine dans un contexte très différent, marqué par le terrorisme, note André Bourgeot.
Huit millions de Maliens étaient appelés aux urnes le 29 juillet dans le cadre de l’élection présidentielle. Si le déroulement du scrutin s’est déroulé dans le calme dans le sud du pays, des violences ont été observées dans le nord et le centre.