BRAS DE FER

Le président du Mexique affirme que son pays est plus sûr que les Etats-Unis et que la vague médiatique qui pointe l'insécurité sur le territoire mexicain fait partie d'une campagne de dénigrement de la part de politiciens conservateurs américains.
Dans un communiqué commun, les gouvernements de l'Argentine, du Brésil, du Chili et du Mexique expriment leur «profonde inquiétude» devant la décision du gouvernement israélien de «légaliser» de nouvelles colonies en Cisjordanie.
Le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a demandé à Joe Biden d'en «terminer avec l'oubli, l'abandon, le dédain envers l'Amérique latine et les Caraïbes» et d'ouvrir une nouvelle étape égalitaire dans les relations interaméricaines.
Placé en détention provisoire après sa destitution par le Parlement péruvien, Pedro Castillo a fait une demande d'asile au président mexicain. L'ex-président péruvien est accusé entre autres de corruption et de trafic d'influence.
S'insurgeant contre le refus des Etats-Unis d'inviter Cuba, le Venezuela et le Nicaragua, Andrés Manuel Lopez Obrador a annoncé qu'il pourrait boycotter le prochain sommet des Amériques prévu en juin à Los Angeles.
Le gouvernement mexicain a vivement réagi au vote d'une résolution du Parlement européen lui enjoignant d'assurer la protection des journalistes et des défenseurs des droits humains, dénonçant une «ingérence» profitant à ses opposants.
Le président mexicain Lopez Obrador affirme son style. S'il compose avec les Etats-Unis sur leurs problématiques communes, il n'hésite pas à leur tenir tête sur certains dossiers. Washington, contrairement à ses habitudes, encaisse.
Le procureur spécial pour l'affaire des 43 étudiants disparus d'Ayotzinapa a rapporté que les services du gouvernement de l'ancien président Enrique Pena Nieto avaient eu recours à des «pratiques illégales» pour maintenir à flot la version d'Etat.
Saluant les efforts coordonnés ayant abouti aux récentes révélations sur des pratiques présumées d'espionnage ciblé, le président du Mexique a tenu à rendre hommage au travail réalisé par Julian Assange, dont il a appelé à la libération.
Les résultats des élections législatives et locales qui se tiennent ce 6 juin au Mexique seront cruciaux pour l’avenir des réformes engagées par le président de gauche Andrés Manuel Lopez Obrador, élu en 2018.
Après le Venezuela, l'Argentine et la Bolivie, le Mexique est le quatrième pays d'Amérique à valider l'utilisation d'urgence du vaccin russe Spoutnik V contre le Covid-19.
Le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a proposé d'offrir l'asile politique au fondateur de Wikileaks Julian Assange, dont la demande d'extradition de la part des Etats-Unis vient d'être rejetée par la justice britannique.
Andrés Manuel Lopez Obrador a déclaré être prêt à se faire administrer le vaccin russe Spoutnik V à condition qu'il «soit efficace et disponible». «C'est un sujet tellement important qu'il ne peut pas y avoir d'idéologie», a-t-il ajouté.
La photographie des corps d'un homme et de sa fille en bas âge flottant après s'être noyés au bord du Rio Grande a provoqué une profonde indignation au Mexique, aux Etats-Unis et a fait le tour du monde.
Katia Pecnik reçoit Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire Amérique latine. À l’occasion de la diffusion du doc «USA : Le mur de la discorde», il revient sur les questions soulevées par le projet de mur de Donald Trump.
Investi le 1er décembre, Andrés Manuel Lopez Obrador, nouveau président mexicain, a décidé de diviser son salaire par deux, de vendre l'avion présidentiel et de transformer la luxueuse résidence d'Etat en centre culturel ouvert au public.
Après une décennie de forte solidarité entre les pays du sud sous la bannière de l'anti-impérialisme, la donne a changé. Mais si elles ont évolué, les initiatives de coopération visant à tenir tête à l'Oncle Sam n'ont pas disparu pour autant.
Le président fraîchement élu du Mexique s'est entretenu avec Donald Trump, et n'a pas hésité à évoquer les sujets sensibles entre leurs deux nations. «Amlo» a proposé un accord global pour réduire l'immigration et améliorer la sécurité.
Les Mexicains viennent d'élire à la magistrature suprême un homme de gauche. Andrés Manuel Lopez Obrador, a reçu les félicitations de ses homologues américains, au premier rang desquels Donald Trump qui a semblé se réjouir de cette victoire.