INSOLITE

Journaliste spécialiste de l'Amérique latine, Romain Migus analyse pour RT France les enjeux du «Sommet des Amériques», où le président mexicain ne se rendra pas en raison de l'exclusion par les Etats-Unis de Cuba, du Venezuela et du Nicaragua.
Dénonçant la décision des Etats-Unis de ne pas convier Cuba, le Venezuela et le Nicaragua au «Sommet des Amériques», le président du Mexique Andrés Manuel Lopez Obrador a annoncé ce 6 juin qu'il n'y prendrait pas part.
L'Organisation des Etats américains a dénoncé les résultats de l'élection présidentielle au Nicaragua qui, selon elle, manquerait de «légitimité démocratique». Managua dénonce une ingérence et une attaque contre le peuple nicaraguayen.
Selon des résultats partiels, le président sandiniste Daniel Ortega est reconduit à la tête du Nicaragua pour un quatrième mandat consécutif. Il a récolté environ 75% des voix, selon des résultats partiels.
Daniel Ortega brigue un quatrième mandat à la tête du Nicaragua. Sans surprise, il devrait remporter cette présidentielle. Quel est son bilan à la tête d'un pays marqué par l'emprisonnement d'opposants et la cible de pressions occidentales ?
Un rapport d'Amnesty dénonce l'utilisation de la pandémie par certains gouvernements pour restreindre la liberté d'expression. Si la Chine ou la Russie sont pointées du doigt, d'autres pays, comme l'Australie, semble passer sous les radars de l'ONG.
L'Argentine et le Mexique ont rappelé leurs ambassadeurs au Nicaragua pour consultation après la vague d'arrestations dans le pays. Face à la pression internationale grandissante, Managua dénonce des opposants qui mettent en danger sa souveraineté.
Après l'arrestation de plusieurs opposants au gouvernement sandiniste accusés par celui-ci de «vendre la patrie à l'étranger», Washington a infligé de nouvelles sanctions à quatre proches du président nicaraguayen Daniel Ortega.
Le défi migratoire touche aujourd'hui tous les pays de la région, déjà tourmentés par des crises économiques et l'instabilité politique. L’Amérique latine est-elle en mesure de faire face à l’urgence migratoire ?
Plus d’une vingtaine de pays et des dizaines de milliers de personnes et entités sont frappées de sanctions américaines. Administrées par le Trésor, celles-ci sont justifiées par des menaces supposées contre la sécurité des Etats-Unis.
L'UE, premier partenaire commercial de Cuba, menace d'«utiliser tous les moyens à sa disposition» pour protéger ses intérêts. Washington envisage d'ouvrir la porte à des actions en justice contre les sociétés étrangères opérant dans l'île.
Commentant la politique étrangère étasunienne en Amérique latine, le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré qu'au-delà de sa stratégie au Venezuela, Washington menaçait de s'attaquer à Cuba et au Nicaragua.
Alors que le président du Nicaragua Daniel Ortega s’apprête à ouvrir des négociations avec l'opposition pour mettre fin à la crise, le conseiller américain à la sécurité John Bolton a affirmé que les jours du dirigeant sud-américain étaient comptés.
L’élection présidentielle au Brésil a fait les unes dans le monde entier. Ce virage à droite suscite à la fois inquiétude et intérêt de la part de la communauté internationale. Le mandat de Jair Bolsonaro sera-t-il aussi sulfureux que sa campagne ?
La Maison-Blanche a imposé de nouvelles sanctions contre le Venezuela, accusé de faire partie, aux côtés de Cuba et du Nicaragua, d'une «troïka de la tyrannie» en Amérique latine. Le secteur de l'or est notamment visé.
40 ans après la révolution sandiniste, le Nicaragua s’embrase de nouveau. La colère populaire se déverse dans la rue, mais qui est responsable des morts dans les violences ? Quel rôle ont les puissances étrangères dans cette situation explosive ?
La promesse de juguler l’immigration est au centre de la politique de Donald Trump mais mène parfois à de vraies crises. Celle des familles séparées semble réglée, mais quid des relations de Washington avec l’Amérique centrale ?
Un rapport de la Commission interaméricaine des droits de l'homme sur la situation au Nicaragua fait état de 212 morts dans des manifestations et pointe la responsabilité exclusive du gouvernement. Des événements pourtant loin d’être aussi simples.