SIDERANT

Recevant le Premier ministre néerlandais Mark Rutte à la veille du sommet de l'UE de Versailles, Emmanuel Macron a salué «la rapidité» de décision et «l'unité historique» dont ont fait preuve les Européens après l'offensive russe en Ukraine.
A l'issue du sommet européen du 24 juin, plusieurs dirigeants européens ont annoncé que les conditions nécessaires à l'organisation de cette rencontre souhaitée par la France et l'Allemagne n'étaient pour l'instant pas réunies.
Le président français et les autres dirigeants des pays membres de l’Union européenne se retrouvaient ce 25 février 2021 par visioconférence afin d’élaborer une stratégie commune de lutte contre le Covid-19 et la menace de ses variants.
La France ne gagnera rien avec le plan de relance de l'UE dont la mise en œuvre semble par ailleurs difficile et compliquée, estime l'ancien député européen Bernard Monot auprès de RT France.
Après avoir scruté des documents dans une image postée sur Twitter par une ministre de son pays, le journaliste néerlandais Daniël Verlaan a fait irruption dans une visio-conférence confidentielle des ministres de la Défense de l'Union européenne.
Réunis en sommet à Bruxelles, les dirigeants de l'Union européenne ont donné leur feu vert pour sanctionner une quarantaine de personnalités biélorusses, mais pas le président Alexandre Loukachenko.
Le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu avec Emmanuel Macron, Angela Merkel et Charles Michel lors d'échanges téléphoniques concernant la crise politique en Biélorussie. Il a notamment mis en garde contre les ingérences extérieures.
La présidente de la Commission européenne a fait preuve de pragmatisme et de détermination lors de son premier sommet avec la Chine. Sa priorité : l’ouverture du marché chinois et la protection des investissements européens.
Le ministère français de l'Agriculture et de l'Alimentation a infirmé les propos tenus plus tôt par son propre ministre, Didier Guillaume, sur la politique agricole commune : «Aucun accord définitif n'a encore été acté» entre les 27, a-t-il rectifié.
Alors que le Parlement a voté une loi obligeant le Premier ministre à parvenir à un accord avec l'UE, ce dernier continue d'affirmer que le Brexit aura lieu fin octobre «quoi qu'il arrive». Mais les révélations d'un avocat viennent semer le trouble.
L’agence Tass, citant des sources diplomatiques, a annoncé la reconduction pour six mois des sanctions européennes contre la Russie. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a déjà réagi qualifiant ce processus de «disque rayé».
Avec un agenda chargé et plutôt prestigieux sur la scène internationale, Emmanuel Macron tient le devant de la scène, se positionnant comme médiateur dans les grandes crises actuelles. Une posture qui contraste avec sa politique intérieure.
Ils se disent méprisés par leur propre gouvernement, ils ne cessent d'alerter sur la détérioration de leurs conditions de travail et comptent leurs morts... A présent, les policiers belges disent stop et se font porter pâles en plein sommet.
Les journalistes ne devront finalement pas s'acquitter d'une taxe de 50 euros pour assister aux sommets européens. Cette mesure de Bruxelles, visant à rembourser les frais de sécurité des bâtiments abritant les réunions, avait provoqué un tollé.
La liste des entreprises françaises quittant l’Iran sous la menace d'actions de la Justice américaine s’allonge. Ces départs démontrent l'inefficacité du «dispositif de blocage» réactivé par l’UE en réponse aux sanctions américaines.
Critiquée en Allemagne comme en Europe sur sa politique migratoire, Angela Merkel espère trouver une issue à la crise politique que connaît son gouvernement. Le 1er juillet, deux réunions des partis CDU et CSU peuvent remettre en cause son existence.
La décision de l'UE de renforcer le contrôle de l'immigration, malgré des mesures aux contours flous, a suscité quelques critiques éparses à gauche. L'ONG Médecins sans frontières a condamné un accord contraire aux principes humanitaires.
Les dirigeants européens ont fini par s'entendre au sommet des 28 et 29 juin à Bruxelles, alors que la question migratoire semblait sur le point de faire chavirer l'Union. «L'Italie n'est plus seule», s'est réjouie Rome.
Immigration, zone euro, Brexit : le conseil européen s'est ouvert ce 28 juin dans un climat tendu. Pour Patrick Martin-Genier, spécialiste des questions européennes, aucune solution commune ne sera trouvée.
Giuseppe Conte avait prévenu que si le texte final sur lequel doivent s'entendre les dirigeants européens ne satisfaisait pas Rome sur le dossier migratoire, il n'y aurait pas de «conclusions partagées» à la fin de ce sommet européen crucial.