Le chef du PS Olivier Faure a assuré que les leaders de gauche ayant participé à une réunion le 17 avril s'étaient entendus sur le principe d'une candidature commune à l'élection présidentielle 2022. Ce n'est pas l'avis des autres figures présentes.
Le secrétaire national du Parti communiste a été investi par les militants pour représenter le mouvement en 2022 sans attendre une éventuelle union à gauche. Mais en interne plusieurs voix doutent de cette stratégie, à l'image de Marie-George Buffet.
Le vice-président du syndicat étudiant, qui a de nouveau défendu la tenue de réunions en «non-mixité raciale», a apporté son soutien à la candidate PS aux régionales Audrey Pulvar, qui avait estimé acceptable de demander aux blancs de s'y «taire»
Les quatre principales forces de gauche – PS, PCF, EELV et LFI – se sont entendues pour une candidature commune à l'élection régionale dans les Hauts-de-France. Une alliance difficilement applicable pour la présidentielle de 2022.
Frédéric Taddeï reçoit Sami Biasoni, Julien Talpin, Kaoutar Harchi, et Alain Policar.
La volonté de la ministre l'Enseignement supérieur de demander au CNRS une enquête sur le «l'islamo-gauchisme» dans les universités a suscité de vives critiques dans le milieu académique et chez des responsables politiques de gauche.
La ministre de l'Enseignement supérieur a expliqué le 14 février que «l'islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble» et que l'université n'était pas «imperméable». Des propos qui rappellent ceux de Jean-Michel Blanquer en octobre 2020.
Un débat organisé par le parti de gauche Génération.s a achoppé sur la question du «racialisme», concept refusé par Marie-Noëlle Lienemann, tandis que d'autres comme Danièle Obono défendant le droit des «personnes racisées» de «s'auto-organiser».
Estimant que Génération identitaire jouit d'une impunité judicaire, malgré ses «actions violentes, racistes et xénophobes», une vingtaine d'élus, syndicalistes et personnalités de gauche demandent dans une tribune la dissolution de l'organisation.
Une semaine après son retour en Bolivie, l'ancien président Evo Morales a annoncé qu'il avait été nommé président du Movimiento Al Socialismo (MAS), le parti présidentiel. Il succède à Luis Arce, élu président du pays.
La confusion qui règne aux Etats-Unis actuellement lors de l'élection présidentielle fait briller par son absence l'Organisation des Etats américains (OEA) qui s'est montrée beaucoup plus intrusive lors des processus électoraux en Amérique latine.
La justice équatorienne, qui avait confirmé la condamnation de Rafael Correa il y a peu, demande désormais son arrestation. Au micro de RT France, Guillaume Long, ex-ministre équatorien des Affaires étrangères, dénonce «un procès politique».
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour «viol» afin d'examiner les accusations portées contre l'ex-adjoint à la maire de Paris, Christophe Girard, par un homme qui a témoigné dans le New York Times, a annoncé ce 18 août le procureur Rémy Heitz.
Le Tribunal du contentieux électoral a annulé la décision du Conseil national électoral de suspendre quatre formations politiques, dont celle de l'ancien président Rafael Correa. Une nouvelle qui ouvre la voie pour son parti aux prochaines élections.
A l'appel de plusieurs syndicats, un rassemblement a eu lieu ce 21 juillet devant le ministère de la Santé pour soutenir l'inspecteur du travail, Anthony Smith, convoqué en commission disciplinaire ce même jour mais suspendu depuis le 15 avril.
Personnalité incontournable de la presse française, le directeur de la rédaction et de la publication de Libération Laurent Joffrin, a annoncé qu'il quittait ses responsabilités pour se consacrer à la politique.
Quelque 4 000 personnes ont manifesté dans la capitale bolivienne contre les politiques menées par la présidente par intérim Jeanine Anez et son gouvernement. Ils dénoncent les inégalités sociales et réclament des élections générales immédiates.
Frédéric Taddeï reçoit Antoine Buéno, écrivain, Lucile Schmid, co-fondatrice de la Fabrique écologique, et Pierre-Henri Tavoillot, philosophe.
Après des tractations mouvementées, la candidate de l'union de la gauche à Marseille, Michèle Rubirola, a finalement obtenu la majorité absolue nécessaire pour devenir maire de la deuxième ville de France.
Le militant de gauche Philippe Poutou s'est félicité de l'arrivée de sa liste au Conseil municipal de Bordeaux. Dans la soirée, cet ancien salarié de Ford a fêté avec ses camarades l'obtention de son premier mandat politique.