Des wagons réservés aux femmes, aux enfants et aux personnes vulnérables pour éviter qu'ils soient malmenés dans des bousculades entraînées par le mouvement de grève dans les transports : c'est l'initiative prise par des agents SNCF.
Bureaux de vote occupés, heurts avec les policiers, siège local de l’instance électorale incendié : plusieurs villes algériennes ont été le théâtre de violences ce 12 décembre, au premier tour d’une élection présidentielle contestée.
Les opposants à la présidentielle algérienne du 12 décembre poursuivent leur mobilisation : à moins de 24h du scrutin controversé, ils sont des milliers à battre le pavé dans la capitale ainsi que dans d'autres villes du pays.
Ce 10 décembre, coïncidant avec le 42e mardi consécutif du mouvement de contestation, des milliers d’étudiants ont défilé à Alger ainsi que dans d'autres villes du pays pour réitérer leur rejet de la présidentielle prévue le 12 décembre prochain.
Lancée sur les réseaux sociaux, une grève générale a débuté le 8 décembre en Algérie. Diversement suivie selon les régions, elle doit se poursuivre jusqu’au 12 décembre, jour de l'élection présidentielle très contestée.
A moins d’une semaine de la présidentielle, plusieurs milliers de personnes opposées à la tenue du scrutin ont défilé dans les rues d’Alger. Les appels au boycott se sont cette fois mêlés à ceux prônant une grève générale dans tout le pays.
A grand renfort d'engins de BTP, de tractopelles, de bennes et de porte-chars stationnés, des dépôts pétroliers de l'ouest de la France ont été bloqués. Une mobilisation qui intervient à quelques jours de la grève du 5 décembre et qui pourrait durer.
Le 26 novembre, deux mois après l'incendie de Lubrizol, plusieurs centaines de personnes ont défilé entre le palais de justice et l'usine chimique pour réclamer «la transparence et la vérité». Pour les protestataires, des zones d'ombres demeurent.
Ce 14 novembre, plusieurs milliers de blouses blanches ont battu le pavé dans plusieurs villes de l’Hexagone pour réclamer davantage de moyens et d'effectifs. Un malaise auquel Emmanuel Macron a promis de répondre au cours de la semaine prochaine.
Dans la nuit du 12 au 13 novembre, des manifestations sporadiques ont éclaté après l’invention du président libanais à la télévision. Ce dernier a invité les Libanais qui seraient contre le prochain gouvernement à quitter le pays.
Ce 3 novembre, quelques heures après la tenue d'un important rassemblement en soutien au président Michel Aoun, des milliers de personnes ont à nouveau envahi les rues de Beyrouth et d'autres villes du Liban pour exiger la «chute du régime».
A l'approche du premier anniversaire du mouvement, quatre figures des Gilets jaunes réclament une rencontre avec le chef de l’Etat pour aborder les «dérives en matière de maintien de l'ordre» ou encore les revendications sociales des contestataires.
La clôture du dépôt de candidature pour l'élection présidentielle prévue le 12 décembre intervient le 26 octobre. D'anciens ministres et Premiers ministres de Bouteflika se sont présentés mais la rue ne veut pas en entendre parler.
Les autorités chiliennes ont décidé ce 20 octobre de décréter à nouveau un couvre-feu dans la capitale Santiago, secouée plus tôt par de nouveaux heurts entre protestataires et forces de l'ordre. Deux morts sont à déplorer.
Ce 20 octobre, pour la troisième journée consécutive, les Libanais ont manifesté, dans une ambiance souvent festive, dans plusieurs villes du pays pour réclamer le départ de leurs dirigeants épinglés pour leur gestion des affaires du pays.
Ce 20 octobre, un rassemblement en solidarité avec les manifestants libanais a été organisé sur la place du Trocadéro, à Paris. Depuis trois jours, des manifestations contre le gouvernement, accusé de corruption, secouent le pays du cèdre.
Le 18 octobre, pour la deuxième journée consécutive, des manifestations ont eu lieu au Liban pour réclamer le départ du Premier ministre. De son côté, Saad Hariri a donné 72 heures à son gouvernement pour valider ses réformes.
Indignés par la décision du gouvernement de taxer des applications de messagerie instantanée, des milliers de Libanais sont descendus dans les rues de plusieurs villes. Ce mouvement de protestation intervient dans un contexte économique morose.
A l'appel d'un collectif d'opposition et de la société civile, des milliers de manifestants ont occupé les rues de Conakry pour exprimer leur refus de voir l'actuel chef d'Etat guinéen, Alpha Condé, briguer un troisième mandat à la tête du pays.
Après une grève de trois mois sans réel effet, les sapeurs-pompiers occupent la rue : des milliers d’entre-eux ont battu le pavé, ce 15 octobre, pour exiger notamment une revalorisation salariale et une amélioration de leurs conditions de travail.