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Louis Aliot, maire Rassemblement national, a annoncé que le «Pessebre» (crèche de Noël catalane) installé dans le patio de l'Hôtel-de-Ville resterait en place jusqu'au 2 janvier malgré la décision de justice l'astreignant à la retirer.
Après l'annonce par Louis Aliot de son souhait de donner le nom de Pierre Sergent à un espace public, SOS-Racisme a dénoncé la «réhabilitation» d'un partisan de l'Algérie française. La mairie a mis en avant le passé de résistant du militaire.
Plusieurs organisations dont le Syndicat national des journalistes ou la Ligue des droits de l'Homme ont dénoncé les agissements des forces de l'ordre lors de la dernière manifestation contre la loi Sécurité globale à Paris.
Israël a intensifié les restrictions imposées à la bande de Gaza où vivent deux millions de Palestiniens, dans le cadre d'un blocus appliqué depuis plus de dix ans. Les bombardements de positions du Hamas sont en outre quotidiens depuis le 6 août.
Alors qu'un nouveau camp de migrants s'est installé au bassin de la Villette à Paris, une coalition de 30 associations a déposé le 27 mai une action en référé pour dénoncer l'«inaction politique» et réclamer un «accès à l'eau et à l'hygiène».
En Belgique, l'un des pays les plus touchés par la crise du Covid-19, une quarantaine de citoyens reprochent à leur ministre de l'Intérieur d'avoir copié, dans sa gestion de la crise, la Chine, «un système communiste avec des lockdowns».
Présent sur le sol français grâce à un visa Erasmus, un djihadiste syrien soupçonné d’«actes de torture», de «crimes de guerre» et de «complicité de disparitions forcées» a été arrêté à Marseille, puis mis en examen, le 31 janvier à Paris.
Une observatrice de la LDH, poursuivie car présente lors d'un blocage d'autoroute à Montpellier en avril vient d'être relaxée par le tribunal. Celui-ci s'interroge sur le fond de la procédure intentée alors que 300 personnes étaient présentes.
Dans une rue vide de Toulouse, cinq observateurs de la LDH, de la fondation Copernic et du Syndicat des avocats, ont été malmenés par les forces de l'ordre à coup de gaz lacrymogènes, de matraques et d'insultes. Vidéos.
Présent ce 28 septembre lors de l'acte 46 des Gilets jaunes à Toulouse, notre reporter a été victime de coups de matraque infligés par des membres de forces de l’ordre au cours d'une opération de dispersion.
Des Soudanais ont porté plainte contre la banque française qu'ils accusent de ne pas avoir respecté l’embargo au Soudan, permettant ainsi au pouvoir en place de se financer. Ce n'est pas la première fois que l'établissement est inquiété sur ce sujet.
Des dizaines de personnes réunies au port du Havre ont protesté le 9 mai contre la vente d'armes françaises à l'Arabie saoudite. Le royaume est engagé dans une guerre meurtrière au Yémen.
A Toulouse lors de l'acte 12 des Gilets jaunes, un membre de l’Observatoire toulousain des pratiques policières (OPP) a été blessé. La préfecture dément que la cause de la blessure soit un tir des forces de l'ordre, ce qu'affirme l'OPP.
Saisi par la Ligue des droits de l'Homme, le tribunal administratif de Lyon a validé le projet de Laurent Wauquiez d'installer une collection de crèches de Noël. Celles-ci «ne méconnaissent pas le principe de neutralité», selon le tribunal.
A l'approche de la levée de l'interdiction de conduire pour les Saoudiennes, les autorités ont récemment arrêté plus d'une dizaine de militants des droits des femmes, les accusant de trahison et de saper la stabilité du royaume.
Les efforts de la Ligue des droits de l'homme contre l'arrêté polémique pris par Robert Ménard en 2014 ont fini par payer. Le Conseil d'Etat a jugé que la ville de Béziers avait échoué à démontrer l'existence de risques particulier pour la sécurité.
UN Watch, ONG spécialisée dans le suivi de l'activité de l'ONU selon les standards de l'organisation et la défense des droits de l'homme a condamné l’adhésion de Riyad à la Commission de la condition de la femme des Nations unies.
La Ligue des droits de l’homme, qui avait demandé au maire Front national de Beaucaire de ne pas mettre en place de crèche de Noël par respect pour la laïcité, a vu sa requête rejetée et devra verser 1 200 euros à la commune.
Après une série d'annulations et de retraits des arrêtés municipaux anti-burkinis, le tribunal de Bastia se distingue et donne raison au maire de la commune de Sisco en Corse. La juridiction a retenu le risque de trouble à l'ordre public.
Le Conseil d'Etat n'a pas retenu le motif de trouble à l'ordre public. La décision de la plus haute juridiction administrative pourrait faire jurisprudence et mettre en péril les autres arrêtés municipaux pris dans une trentaine de communes.