Lobbying caché ? La Croatie, la Roumanie ou le Portugal ont fait financer une partie de leur mandat à la présidence tournante de l'Union européenne par des acteurs privés. Selon Marianne, la France compterait recourir à cette pratique en 2022.
L'organisation internationale ayant pour objectif de défendre les droits de l’homme a exhorté le Sénat à amender la proposition de loi décriée, estimant que son très controversé article 24 portait en l'état «atteinte à la liberté d'expression».
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a condamné ce 2 juillet la France pour les «conditions d'existence inhumaines et dégradantes» de trois demandeurs d'asile, contraints de vivre «dans la rue» et «privés de moyens de subsistance».
Dans un rapport de la Plateforme du Conseil de l’Europe, la France est longuement épinglée sur les difficultés éprouvées par les journalistes couvrant les manifestations, notamment celles des Gilets jaunes.
Le Groupe d'Etats contre la corruption (Greco) du Conseil de l'Europe a pointé la persistance en France de «zones grises» dans la lutte contre la corruption et appelé Paris à plus d'efforts pour prévenir la corruption «au sein de l'exécutif».
Le commissaire aux droits de l'Homme du Conseil de l'Europe, Dunja Mijatovic, a mis en garde contre une situation «explosive» dans les camps de migrants situés sur les îles grecques. Plus de 34 000 personnes vivent actuellement dans ces camps.
Défavorable à l'entrée de la Macédoine du Nord et de l’Albanie dans l'Union européenne, Emmanuel Macron s'est attiré les foudres de ses partenaires européens. Néanmoins, le sujet de l'élargissement devrait rapidement être mis de nouveau sur la table.
Ankara a dénoncé une «attaque» qui «dépasse les bornes» de la part du président français Emmanuel Macron, qui a critiqué le «recul» de l'Etat de droit en Turquie, et évoqué la façon dont elle utilisait les migrants pour «faire pression» sur l'UE.
Fermement opposé à la proposition du chef d'Etat américain Donald Trump de réintégrer la Russie au G7, le président du Conseil européen Donald Tusk a suggéré à la place d'inviter l'Ukraine au prochain sommet.
Au fort de Brégançon, le président français a réaffirmé sa volonté de refonder les relations franco-russes sur de nouvelles bases et sur le dialogue. Mais cette relation passerait par une «Europe» dont il faudrait aussi réinventer la «souveraineté».
Les demandes de modifications de l'accord de divorce formulées par le Premier ministre britannique Boris Johnson sont «inacceptables» et l'UE doit se préparer à une sortie du Royaume-Uni sans accord, a averti le négociateur de l'UE Michel Barnier.
La Commission européenne a décidé de saisir la Cour de justice de l'Union européenne contre la Hongrie pour la législation «Stop Soros», adoptée par le gouvernement Orban l'an dernier, qui fait du soutien aux demandeurs d'asile une infraction pénale.
Eu égard à la réintégration de la Russie, Kiev souhaite suspendre sa participation aux travaux de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, sauf si ceux-ci concernent «la suspension des droits de la délégation russe».
Les parlementaires de l'Assemblée du Conseil de l'Europe ont voté en faveur du retour de la délégation russe. Elle y était privée de son droit de vote depuis 2014, après le rattachement de la Crimée par la Russie.
Les Premiers ministres russes et français se recontreront le 24 juin dans la ville du Havre. Première visite d'un membre de l'éxecutif russe depuis deux ans, ce face-à-face sera l'occasion de détendre les relations entre les deux pays.
L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a affirmé sa volonté de rendre à la Russie son droit de vote, et d'éviter qu'une telle situation ne se reproduise. Face au risque de voir la Russie la quitter, l'organisation a accéléré le tempo.
Huit ans après l'octroi par le Conseil municipal de Strasbourg d'un terrain pour la construction d'une église orthodoxe russe dans la ville alsacienne, le patriarche Cyrille s'est rendu dans le lieu de culte, afin de le consacrer.
Mis au pied du mur, les Occidentaux ont assoupli leur position pour éviter une sortie de la Russie du Conseil de l'Europe. Faisant passer l'Ukraine au second plan, les Européens comme Moscou ont réaffirmé l'importance de l'organisation paneuropéenne.
Moscou a opéré un changement de ton vis-à-vis du Conseil de l'Europe. Mise au ban de l'institution depuis bientôt deux ans, la Russie compte bien se maintenir en son sein. Au risque de provoquer la colère d'un de ses voisins.
Pavel Klimkine, ministre ukrainien des Affaires étrangères, a annoncé vouloir retirer son pays des accords de Minsk si les sanctions contre la Russie étaient levées au Conseil de l'Europe. Paris a réagi, critiquant la position ukrainienne.