CRISE EN ARMENIE

Le cap symbolique d'un million de signatures pour le projet de référendum d’initiative partagée sur la privatisation d'ADP, a été franchi. Pour nombre de parlementaires, Emmanuel Macron se doit d'y répondre. RT France a recueilli leurs propos.
Une page se tourne. Le Parti communiste français ne sera plus dirigé par Pierre Laurent, à sa tête depuis huit ans, et n'aura plus comme symboles la faucille et le marteau, incarnant le communisme à travers le monde.
Peu avant son congrès de novembre, les communistes ont voté sur l'orientation que devait prendre le parti. Ils ont rejeté la proposition de base commune, défendue par la direction, battue par un texte alternatif menée par le député André Chassaigne.
Après une audition à l'Assemblée nationale, Gérard Collomb devait répondre le 24 juillet aux questions de la commission d'enquête du Sénat. Parmi ses interlocuteurs, le sénateur communiste Pierre Laurent a posé trois questions restées sans réponse.
Estimant que les reniements de Syriza, le parti du Premier ministre grec Alexis Tsipras dont il était jadis proche, sont trop nombreux, le Parti de gauche demande à ce que la formation politique grecque soit exclue du Parti de la gauche européenne.
Ce 2 décembre, Benoît Hamon a lancé son parti : Génération·s. Se proclamant socialiste, écologiste, progressiste et européen, Benoît Hamon cherche sa place entre Emmanuel Macron et les Insoumis. Mais n'est-ce pas celle du PS qu'il a lui-même quitté ?
Clémentine Autain, Pierre Laurent, Nathalie Arthaud ou encore Gérard Filoche se sont retrouvés devant le tribunal de Versailles pour soutenir des salariés de PSA, parmi lesquels huit syndicalistes CGT, accusés d'avoir séquestré un cadre.
Syndicats, communistes, Insoumis, FN, socialistes ou même... forains, les opposants aux ordonnances portées par le gouvernement ne manquent pas. Mais entre la manifestation du 12 et celle du 23 septembre, la division règne.
Le Parti communiste français a appelé ses parlementaires et militants à un rassemblement à Versailles afin de protester contre la convocation d'Emmanuel Macron du Parlement en congrès.
Ayant décidé de réunir le Congrès à Versailles le 3 juillet, avant le discours de son Premier ministre, Emmanuel Macron s'attire les foudres de l'opposition qui y voit une opération de communication coûteuse qui rabaisserait le gouvernement.
Une manifestation à l'appel de plusieurs organisations syndicales dont la CGT, FO, Solidaires ou l'UNEF s'est tenue aux Invalides à Paris contre la réforme du code du travail par ordonnances annoncée par le président Macron.
A l'approche des législatives, les relations ne sont pas au beau fixe entre la France insoumise et le parti communiste français. La stratégie de Jean-Luc Mélenchon ne fait pas que des heureux au parti, avec lequel les négociations ont été rompues.
Les leaders de la gauche ont saisi l'occasion de l'annonce de la composition du gouvernement d'Emmanuel Macron, pour rappeler que, selon eux, le clivage gauche-droite existait toujours. Mais les Verts ont un petit faible pour Nicolas Hulot.
La France insoumise a annoncé qu'elle n'investirait personne face aux députés communistes sortants et qui ont parrainé Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle. Ce dernier bénéficie, lui, du retrait du candidat que le PCF avait investi à Marseille.
La France insoumise a annoncé qu'il n'y aurait pas d'accord pour les élections législatives, en juin, avec le Parti communiste français, lui renvoyant la responsabilité de cet échec.
Face aux réticences de La France insoumise à former une alliance avec le Parti communiste pour les législatives, Pierre Laurent s'est dit inquiet. Pour lui, sans accord, les deux formations pourraient se priver de dizaines de députés.
Alliés pour la présidentielle, le torchon brûle entre La France insoumise et le Parti communiste français. Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon lui reproche d'utiliser l'image de son champion alors qu'aucun accord n'a été noué pour les législatives.
Des députés et des sénateurs demandent à François Hollande de mettre ses déclarations passées sur la question d'un Etat palestinien en accord avec ses actes, affirmant qu'il «en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël».
Benoît Hamon dit vouloir rassembler la gauche. Pour Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, ce dialogue serait souhaitable au regard des points de convergence. Mais une gauche anti-austérité peut-elle naître des cendres du quinquennat Hollande ?
En campagne pour 2017, l’ancien ministre de François Hollande s’est attiré les foudres de plusieurs élus après ses commentaires jugés méprisants lors d'une visite dans le Pas-de-Calais, région où le Front national enregistre des scores importants.