BRAS DE FER

Critique envers les orientations politiques de l'UE, la fondation hongroise Szazadveg assure qu'un quart des ménages vivant dans les pays membres auraient du mal à chauffer correctement leurs logements. Les Français seraient particulièrement touchés.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban n'est pas resté muet devant le scandale de corruption qui frappe le Parlement européen, toujours prompt à dénoncer ce qu'il considère comme des atteintes à l'Etat de droit de la part de Budapest.
Le Parlement européen ne considère plus la Hongrie comme une véritable démocratie, selon un rapport voté à Strasbourg le 14 septembre. Budapest a fustigé les termes du texte, alors que des fonds d'aide sont toujours bloqués par l'UE.
La Commission européenne a saisi la justice de l'UE contre une loi hongroise interdisant notamment la promotion de l'homosexualité auprès des mineurs, considérant qu'elle porte atteinte «droits fondamentaux des personnes» et aux «valeurs de l'UE».
Alors que la Commission européenne a annoncé vouloir bloquer le versement d'aides à la Hongrie deux jours après la victoire de Viktor Orban, Budapest a exhorté l'UE à «revenir au bon sens et au dialogue».
Face à l'offensive russe menée depuis le 24 février, le président ukrainien a appelé Budapest à choisir «son camp» et à livrer des armes à Kiev. Le Premier ministre hongrois ne compte pas s'y résoudre, faisant valoir les intérêts de son pays.
La Hongrie a fait savoir le 6 mars qu'elle comptait maintenir ses importations de gaz russe, qui représente plus de 80% de sa consommation. Budapest avait signé deux contrats avec Gazprom en septembre 2021.
Rejetant les recours formés par la Hongrie et la Pologne, la Cour européenne a consacré dans un arrêt un «régime de conditionnalité» lié au respect de l'Etat de droit pour toute aide européenne. Une décision condamnée par Budapest et Varsovie.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, l'ancien-vice-président américain Mike Pence ou encore l'ex-députée FN Marion Maréchal ont défendu à Budapest les «valeurs familiales», au premier jour d'un sommet sur la démographie.
Le président hongrois a organisé à Budapest un événement visant à exalter les valeurs «de la famille traditionnelle». Des responsables politiques et religieux étrangers ont fait le déplacement depuis les Amériques, l'Afrique ou l'Australie.
En amont du festival Love Revolution à Budapest, Coca-Cola a lancé une campagne publicitaire mettant notamment en avant des images de couples homosexuels. Une démarche qui a irrité une partie de l'opinion publique hongroise.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban s'est confié sur ses alliances en Europe. Le dirigeant du Fidesz est revenu sur ses liens avec le Rassemblement nationale, mais aussi sur sa vision politique à l'approche des élections européennes.
L'ancien président Nicolas Sarkozy a rencontré le Premier ministre hongrois Viktor Orban à Budapest le 23 mars. Il a dressé des louanges à celui qui est devenu persona non grata au sein du groupe PPE au Parlement européen. Un coup politique ?
Au cours d’une conférence de presse organisée ce 10 janvier à Budapest, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a jugé «néfaste», pour son pays et pour l’Europe, la politique migratoire conduite par le chef de l’Etat Français.
Après l'adoption d'une nouvelle loi sur la flexibilisation du travail, plusieurs centaines de personnes sont venues protester devant le Parlement hongrois. L'opposition avait tenté, en vain, d'empêcher son vote dans l'hémicycle.
Laurent Wauquiez a estimé qu'il y avait «des lignes rouges à ne pas franchir comme celles de l'Etat de droit ou la liberté de la justice» mais s'est montré en accord avec la politique migratoire prônée par le Premier ministre hongrois, Viktor Orban.
Pour RT France, Robert Ménard, maire de Béziers, revient sur l’article 7 utilisé par l’Union européenne afin de sanctionner le gouvernement hongrois. Il estime que les eurodéputés ont fait un «procès en sorcellerie» à Viktor Orban.
La Hongrie, dont le gouvernement est ouvertement hostile à l'immigration, a déclaré qu'elle se retirait du pacte mondial sur les migrations approuvé à l'ONU, affirmant que cet accord encourageait des flux de personnes qu'elle juge «dangereux».
Pour lutter contre l'immigration clandestine et les ONG qui la favorisent, le gouvernement a proposé le texte dit «Stop Soros» menaçant d'un peine d'un an de prison les personnes qui fourniraient de l'aide aux migrants entrés illégalement en Hongrie.
Choix des priorités dans les dépenses ou encore durcissement des prérequis pour bénéficier des fonds européens, le nouveau budget proposé par Bruxelles fait débat. Parmi les perdants potentiels : des secteurs économiques et des pays membres !