Au cours d’une conférence de presse organisée ce 10 janvier à Budapest, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a jugé «néfaste», pour son pays et pour l’Europe, la politique migratoire conduite par le chef de l’Etat Français.
Après l'adoption d'une nouvelle loi sur la flexibilisation du travail, plusieurs centaines de personnes sont venues protester devant le Parlement hongrois. L'opposition avait tenté, en vain, d'empêcher son vote dans l'hémicycle.
Laurent Wauquiez a estimé qu'il y avait «des lignes rouges à ne pas franchir comme celles de l'Etat de droit ou la liberté de la justice» mais s'est montré en accord avec la politique migratoire prônée par le Premier ministre hongrois, Viktor Orban.
Pour RT France, Robert Ménard, maire de Béziers, revient sur l’article 7 utilisé par l’Union européenne afin de sanctionner le gouvernement hongrois. Il estime que les eurodéputés ont fait un «procès en sorcellerie» à Viktor Orban.
La Hongrie, dont le gouvernement est ouvertement hostile à l'immigration, a déclaré qu'elle se retirait du pacte mondial sur les migrations approuvé à l'ONU, affirmant que cet accord encourageait des flux de personnes qu'elle juge «dangereux».
Pour lutter contre l'immigration clandestine et les ONG qui la favorisent, le gouvernement a proposé le texte dit «Stop Soros» menaçant d'un peine d'un an de prison les personnes qui fourniraient de l'aide aux migrants entrés illégalement en Hongrie.
Choix des priorités dans les dépenses ou encore durcissement des prérequis pour bénéficier des fonds européens, le nouveau budget proposé par Bruxelles fait débat. Parmi les perdants potentiels : des secteurs économiques et des pays membres !
Selon un journal autrichien, l'ONG du milliardaire George Soros, se trouvant dans le viseur du récent vainqueur des législatives, le Premier ministre Viktor Orban, pourrait fermer ses bureaux hongrois pour les relocaliser à Berlin ou à Vienne.
Budapest a annoncé mettre son véto à la tenue du prochain sommet de la commission OTAN-Ukraine. Une décision prise en réponse à la loi controversée votée en septembre par Kiev, qui limite l'usage des langues des minorités à l’école, dont le hongrois.
Après les diverses campagnes d'affichage du gouvernement pointant du doigt George Soros, un élu du parti au pouvoir a accusé le milliardaire de vouloir diluer l'Europe chrétienne par un afflux de migrants.
La Hongrie se vante d'avoir réussi à réduire drastiquement l'immigration clandestine depuis 2015. Elle met en avant l'efficacité de ses murs barbelés anti-migrants construits le long de ses frontières, sur lesquels l'UE porte un jugement très sévère.
Kiev s’est attiré les foudres des Etats de l’Europe orientale après avoir voté la limitation de l'enseignement des langues autres que l’ukrainien. Le pays abrite des représentants de plusieurs minorités nationales de pays voisins.
La Commission européenne a annoncé avoir ouvert une procédure d'infraction à l'encontre de la Hongrie concernant sa loi controversée sur les universités, qui menace de fermeture un établissement financé par le milliardaire américain George Soros.
Alors qu'il rencontrait son homologue hongrois Viktor Orban, le président russe Vladimir Poutine est revenu sur le regain de violences dans l'est de l'Ukraine, fustigeant Kiev pour son non-respect délibéré des accords de Minsk.
Les critiques de Donald Trump à l'encontre de George Soros durant sa campagne électorale ne sont pas tombées dans l'oreille d'un sourd. Avec son investiture, la Hongrie voit une opportunité de s'attaquer aux ONG du milliardaire d'origine hongroise.
Le police hongroise a fait savoir que l'explosion ayant blessé deux agents de police dans la soirée du 24 septembre, dans la capitale hongroise, visait les forces de l'ordre. Le responsable de l'attaque est toujours en fuite.
Un des principaux organisateurs des attentats de Paris en novembre a « recruté une équipe» parmi des migrants ayant transité par la gare de Budapest, a affirmé jeudi un porte-parole du gouvernement hongrois, sans citer de noms.
Le Premier ministre hongrois a déclaré que l'Europe «ne peut pas se construire sur l'immigration au détriment des familles» et que les chefs d'Etats doivent tout faire pour relancer la natalité en Europe, afin de «sauver [notre] civilisation».
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé dans une interview au quotidien allemand Bild qu’il avait préparé un plan d'aide pour les pays voisins de la Syrie qui permettrait de résoudre la crise des réfugiés.
Entre 2.500 et 3.000 migrants sont arrivés au cours des dernières heures en Autriche selon la police locale. Hier, Budapest avait pris la décision de les conduire en car à la frontière.