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BRAS DE FER

Des élus de l'Essonne – département marqué par plusieurs affaires de rixes sanglantes entre adolescents – ont signé une tribune demandant à l'Etat plus d'engagement pour lutter contre la «violence juvénile».
L'agression d'une enseignante projetée à terre par un élève dans un lycée de Combs-La-Ville (Seine-et-Marne) a provoqué de nombreuses réactions indignées dans la classe politique.
Partagée massivement sur les réseaux sociaux ce 10 octobre, la vidéo d'un homme agressé à Montgeron par plusieurs individus a provoqué une onde de choc jusque dans la sphère politique. Le maire a annoncé l'ouverture d'une enquête.
Un garçon de 15 ans est déjà mis en examen pour meurtre lors d'une rixe entre bandes rivales ayant causé la mort d'un jeune de 14 ans. 18 autres mineurs sont poursuivis pour participation à un groupement violent, meurtre et tentative de meurtre.
Armés de mortiers d’artifice et de cocktails Molotov, des individus ont pris pour cible une voiture de police dans le quartier des Tarterêts à Corbeil-Essonnes (Essonne), déjà secoué par plusieurs nuits de violences urbaines.
Des policiers ont été pris à partie par une vingtaine d'assaillants à Corbeil-Essonnes dans la nuit du 2 au 3 septembre. Des boules de pétanque auraient été lancées sur les forces de l'ordre, qui ont en réponse fait usage de leur armement non létal.
Les peines d'Esteban Morillo et Samuel Dufour ont été réduites en appel. Ils avaient été condamnés à 11 et 7 ans de prison en première instance en 2018. Le premier, qui a porté les coups, s'est dit «désolé» de la mort «horrible» de Clément Méric.
L'adolescent grièvement blessé a été opéré, avec un pronostic vital réservé. L'auteur présumé des coups de marteau est recherché par la police, qui évoque une agression probablement liée à une rixe entre bandes de jeunes.
Condamné en appel à cinq ans de prison dont trois ferme pour viol et agressions sexuelles, le maire Les Républicains de Draveil (Essonne) Georges Tron continue à gérer la ville. L'opposition est scandalisée par l'attitude de la majorité de droite.
A Etampes, dans l'Essonne, des policiers venus récupérer une moto volée ont été caillassés par une dizaine de jeunes. La veille, trois agressions successives avaient lieu à Grigny contre les forces de l'ordre.
Interviewés par RT France, le maire DVD de Yerres, Olivier Clodong, et l'édile UDI de Mennecy, Jean-Philippe Dugoin-Clément, ont fait part de leurs critiques à l'encontre des nouvelles mesures sanitaires décidées par le gouvernement le 18 mars 2021.
A Evry, une nouvelle rixe entre bandes a fait un blessé par arme blanche, tandis qu'un autre affrontement a été évité par la police à Savigny-sur-Orge. Des violences qui surviennent quelques jours seulement après la mort de deux adolescents.
Selon le parquet cité par l'AFP, six mineurs ont été mis en examen après la rixe survenue à Saint-Chéron (Essonne) le 22 février, et au cours de laquelle une collégienne de 14 ans a trouvé la mort après avoir été touchée par un coup de couteau.
Aurélie Gros, maire du Coudray-Montceaux (Essonne) et Guillaume Roux, secrétaire départemental de l'Unité SGP Police 91, reviennent sur les deux rixes mortelles entre bande de jeunes qui ont eu lieu en moins de 24 heures dans l’Essonne.
Des personnalités politiques de droite comme de gauche ont fustigé la politique gouvernementale en matière de sécurité après les deux rixes mortelles survenues les 22 et 23 février dans le département de l'Essonne.
Une adolescente de 14 ans a été tuée d'un coup de couteau lors d'un affrontement violent entre bandes dans le département de l'Essonne, a fait savoir le parquet auprès de l'AFP. Six mineurs ont été placés en garde à vue.
Une marche blanche a été organisée le 17 janvier à Etampes en mémoire des frères Nourredine et Samir H. qui ont percuté un poids-lourd de plein fouet à contresens sur la N20. Valeurs actuelles souligne qu'ils voulaient se soustraire à un contrôle.
Une rixe impliquant une dizaine d'individus armés de barres de fer et de battes de baseball a éclaté à Fleury-Mérogis, le 2 août, dans l'après-midi, rapporte Le Parisien. Une enquête a été ouverte par la brigade de recherche d'Evry-Courcouronnes.
Alors que 1 500 personnes se rafraichissaient à la base de loisirs d'Etampes, plus de 200 jeunes ont participé à une bagarre, donnant lieu à une scène impressionnante. Les forces de l'ordre ont dû intervenir avec des gaz lacrymogènes.
Des dizaines de soldats du feu ont battu le pavé de la ville d'Etampes (Essonne), le 24 juillet, afin de réclamer la sécurisation de leurs interventions. Un pompier avait été blessé par balle dans la même ville, mi-juillet.
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