Edouard Philippe
SIDERANT

Alors qu’une plainte pour corruption passive a été déposée dans le cadre du projet de démantèlement du géant français de l’informatique Atos, Elisabeth Borne s'est voulue rassurante sur le contrôle des «activités sensibles», le 26 septembre.
Le secrétaire général du Parti communiste a été vivement pris à partie lors de la Fête de l'Humanité. Son débat avec Edouard Philippe a été interrompu, Sandrine Rousseau l'a tancé puis il a été conspué par le public.
En déplacement en Nouvelle-Calédonie, le président français a évoqué pour la première fois ce 25 juillet la question de l’élection présidentielle de 2027 en présentant avantageusement son ancien Premier ministre Edouard Philippe.
Le «quoi qu'il en coûte» n'est «pas durable», selon l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. Il juge qu'on ne peut «acheter la paix sociale en faisant des chèques» et qu'il y a «mille choses beaucoup plus importantes» que la réforme des retraites.
Selon l’Observatoire de l’éthique publique, le coût annuel de l'équipe d'Elisabeth Borne s’élève à 174 millions d’euros, contre 160 millions pour celui de son prédécesseur Jean Castex, déjà critiqué pour une nette augmentation des dépenses.
Selon une source proche du dossier, l'ancien Premier ministre a été placé sous le statut de témoin assisté par la Cour de justice de la République dans l'affaire concernant la gestion de la crise du Covid-19.
L'ancien Premier ministre, mis en cause pour sa gestion du Covid-19, est convoqué par la Cour de justice de la République. Il pourrait se voir mettre en examen pour mise en danger de la vie d'autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre.
Edouard Philippe a appelé le gouvernement à réformer plus fortement les retraites, en repoussant l'âge de départ à 65 voire 67 ans. Une prise de position moquée par les oppositions et réfutée par le leader du MoDem, François Bayrou.
Emmanuel Macron a affiché la volonté de réformer rapidement le système de retraites par répartition, quitte à passer par un simple amendement au PLFSS. Mais ses soutiens, redoutant une crise sociale, sont loin de parler d'une même voix sur le sujet.
Concédant qu'il «aurait aimé ne pas avoir à fermer Fessenheim», Edouard Philippe estime que préserver ces deux réacteurs nucléaires n'aurait rien changé dans la crise actuelle. Une prise de position qui a été étrillée par des responsables politiques.
Dans un entretien au Figaro, l'ancien Premier ministre a dramatisé les enjeux du deuxième tour des élections législatives, affirmant que l'absence d'une majorité absolue derrière Emmanuel Macron rendrait la France «ingouvernable».
Trois partis macronistes vont se réunir pour les législatives dans un même mouvement, se répartissant les circonscriptions. La République en marche se rebaptise et devient Renaissance. Plusieurs ministres ont déjà annoncé se lancer dans la bataille.
La députée européenne Nathalie Loiseau a confirmé rejoindre Horizons, le parti fondé par l'ex-Premier ministre Edouard Philippe en vue de donner du poids à l'aile droite de la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron.
Dans une tribune publiée par le JDD, plus de 600 maires, dont Edouard Philippe, ont lancé un appel pour soutenir la réélection de l'actuel locataire de l'Elysée à la présidence de la République.
Selon les informations de FranceInfo confirmées par BFMTV, des «poids lourds» de la majorité ont convenus le 17 novembre de faire maison commune en vue des prochaines élections législatives sous le nom de l'association «Ensemble citoyens !».
Placé en garde à vue la semaine dernière, le maire ex-Les Républicains de Toulon, désormais proche d'Edouard Philippe et soutien d'Emmanuel Macron, est accusé d'avoir organisé un détournement de fonds publics entre 2002 et 2018.
L'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron a lancé son mouvement politique depuis la ville qu'il administre : Le Havre. Un parti, nommé Horizons, qui cherche notamment à élargir vers la droite le soutien à Emmanuel Macron.
Le financement du système des retraites devrait occuper une place importante dans le débat politique d’ici la prochaine élection présidentielle. Mais est-ce par défaut ou parce que c’est réellement nécessaire, et pose-t-on les bonnes questions ?
Comment rembourser la dette ? L’ex-Premier ministre Edouard Philippe, qui va créer son propre parti, a une idée. Et il l’a confiée au magazine Challenges : repousser l'âge de départ à la retraite à 65, 66 ou 67 ans.
L'ancien chef du gouvernement estime que le président «est fait d'un métal dont [il] ne voit pas beaucoup la trace dans tous ceux qui sont candidats aujourd'hui». A titre personnel, pour 2027, «il est pas inutile de s'y préparer», a-t-il ajouté.
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