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Le commissaire divisionnaire qui a fait un croche-pied à un migrant lors de l'évacuation de la place de la République à Paris, a commis un «manquement par un usage disproportionné de la force», écrit la police des polices, dans un rapport.
L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a ouvert une enquête pour «violences par personne dépositaire de l'autorité publique» à la suite d'un croche-pied fait sur un migrant.
Faux en écriture, violences... le démantèlement de la Compagnie de sécurisation et d'intervention de Seine-Saint-Denis continue de faire couler de l'encre. Quatre policiers de la compagnie ont ainsi été placés en garde à vue le 22 septembre.
Le militant associatif Yann Manzi a déposé une main courante après avoir affirmé être le témoin du tabassage d'un homme dans le commissariat du XIXe arrondissement de Paris. Le parquet de Paris a ouvert une enquête qu'elle a confiée à l'IGPN.
L'Inspection générale de la police nationale a été saisie le 16 septembre après l'interpellation mouvementée la veille – filmée et diffusée sur les réseaux sociaux – d'un homme muni d'une arme blanche, en gare de Fleury-les-Aubrais près d'Orléans.
Le journaliste qui dit s'être infiltré pendant deux ans dans la police nationale en devenant adjoint de sécurité va-t-il devoir répondre devant la justice des faits qu'il décrit dans son livre ? L'IGPN est saisie par la préfecture de police.
Auprès du Point, le ministre de l'Intérieur a dénoncé un manque de formation des jeunes recrues des forces de l'ordre originaires de province. Il estime en outre qu'il relèverait du «bon sens» que le ministère puisse surseoir aux décisions de l'IGPN.
Le parquet de Besançon a ouvert une enquête et saisi l'IGPN après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo montrant un policier asséner un violent coup à un jeune homme à Besançon.
Les célébrations du 14 juillet, centrées cette année autour de ceux qui ont lutté contre l'épidémie, n'ont pas suffi à calmer l'ardeur de la rue. Des manifestations de soignants et de Gilets jaunes sont prévues tout au long de la journée.
La police des polices fait valoir que la multiplication des manifestations sur le territoire permet en partie d'expliquer la hausse des saisines de ses services en 2019. Son rapport annuel sort dans un contexte polémique pour les forces de l'ordre.
Dans l'enquête sur les violences policières subies par la Gilet jaune Geneviève Legay en mars 2019 à Nice, la journaliste de Mediapart Pascale Pascariello a été interrogée par l'IGPN ce 26 mai. Elle dénonce un «contournement du droit de la presse».
Six mois après la plainte de l'un des jeunes lycéens interpellés à Mantes-la-Jolie lors de heurts en marge d'une manifestation étudiante en 2018, une enquête a été ouverte, notamment pour «torture sur mineur de 15 ans» et «violence aggravée».
L'Inspection générale de la police nationale a été saisie à Lyon après qu'un jeune militant écologiste de 16 ans a été blessé à la mâchoire. Le jeune homme évoque un tir de LBD délibéré dans son visage de la part d'un policier national.
Après qu'une vidéo a émergé en ligne montrant un policier frapper au visage un manifestant maîtrisé au sol, le ministre de l'Intérieur a estimé qu'en cas de faute établie, il devrait y avoir une sanction. Le fonctionnaire, lui, a porté plainte.
Après la diffusion de vidéos montrant un homme au visage ensanglanté se faire frapper au sol par un policier lors de son interpellation en marge de l'acte 62 des Gilets jaunes à Paris, une enquête judiciaire a été ouverte et confiée à l'IGPN.
Un livreur de 42 ans est mort des suites d'un arrêt cardiaque après un contrôle de police. Sa famille a porté plainte pour «violences volontaires ayant entraîné la mort». Le parquet a ouvert une information judiciaire pour homicide involontaire.
La plainte d’une mère de famille amiénoise, victime d’un coup de matraque à la nuque lors de l’acte 23 des Gilets jaunes, a été classée sans suite par le parquet de Paris. La justice a estimé que la charge du CRS était justifiée.
Une enquête judiciaire a été confiée à l'IGPN après la diffusion d'une vidéo dans laquelle un homme est frappé au sol par deux policiers à Paris. L'enquête a été ouverte pour «violences par personnes dépositaires de l'autorité publique»
Une intervention policière musclée avait eu lieu dans un établissement de restauration rapide à Paris lors de l'acte 3 des Gilets jaunes. Les CRS impliqués ne semblent pas inquiétés par l'inspection administrative, selon une enquête du Monde.
Un juge d'instruction a été chargé de mener l'enquête sur la blessure à l’œil de Manuel, un Gilet jaune touché à Paris par une grenade lacrymogène. Ce dernier avait refusé d’être auditionné par l’IGPN, remettant en cause son impartialité.
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