CRISE EN ARMENIE

POLIT'MAG avec nos éditorialistes Éric Revel et Didier Maïsto, ainsi que nos invités François Cocq, essayiste de gauche et analyste politique, et Philippe Karsenty, éditeur et spécialiste politique.
«Si tu détestes la famille royale tape dans tes mains» : les supporters du club ecossais Celtic Glasgow s'en sont ouvertement pris à la famille royale lors d'une minute de silence en hommage à la reine Elizabeth II.
Les autorités britanniques ont signifié à l’ambassade russe qu’aucun représentant de la Russie ne serait convié aux obsèques de la reine Elizabeth II. Une décision qui a provoqué l’indignation de la porte-parole de la diplomatie russe.
En plein deuil national après la mort d'Elizabeth II, la mise à l'écart de plusieurs opposants à la monarchie a entraîné des critiques relatives au respect de la liberté d'expression. La police londonienne a rappelé ses agents à l'ordre.
Deux édiles refusent de mettre les drapeaux français pour rendre hommage à la défunte reine du Royaume-Uni. Cette demande a été pourtant formulée par Emmanuel Macron et le Premier ministre français, Elisabeth Borne.
Ukraine, crise énergétique, récession... Le décès de la reine «permet d'éviter de parler de choses qui fâchent», selon l'éditorialiste Alexis Poulin, interviewé sur l'antenne de RT France.
En marge du concert de louanges adressés à la défunte reine du Royaume-Uni, il y a eu certaines voix dissonantes : des klaxons festifs à Derry en Irlande du Nord et un un chant anti-Elizabeth II entonné par des supporters lors d'un match à Dublin.
Le palais royal a annoncé ce 8 septembre la mort de la reine Elizabeth II. Ses médecins avaient fait part en début d'après-midi de leur préoccupation concernant son état de santé. Son fils, Charles, devient automatiquement roi.
La famille ben Laden a fait un don d'un million de livres à la fondation du prince Charles. Ce don a attiré l'attention de la police sur l'héritier de la couronne, qui fait l'objet d'une enquête, et sur sa relation avec certains Saoudiens.
Le prince Andrew a perdu ses titres militaires ce 13 janvier sur fond de menace grandissante d'un procès au civil aux Etats-Unis concernant les accusations d'agressions sexuelles portées contre lui. Les faits dateraient de 2001.
La justice américaine a décidé de valider la plainte d'une femme américaine contre le prince Andrew. Celle-ci reproche au fils de la reine d'Angleterre, dans le cadre de l'affaire Epstein, des agressions sexuelles en 2001 lorsqu'elle avait 17 ans.
Un individu a été interpellé le 25 décembre après avoir pénétré dans l'enceinte du château où Elizabeth II passait Noël. Dans une vidéo qui aurait été tournée juste avant son intrusion, il affirme vouloir «tenter d'assassiner la reine».
Un intrus armé d'une arbalète a été arrêté alors qu'il tentait de pénétrer dans le château de Windsor, en Angleterre, le 25 décembre. Un important dispositif de sécurité a alors été déployé pour protéger la reine Elizabeth II.
Le fils préféré de la reine Elizabeth est visé par la justice américaine après la plainte déposée à New York par une Américaine qui l'accuse d'abus sexuels. La plainte lui a été notifiée le 27 août dernier à son domicile près de Londres.
Selon le «Lord-Lieutenant du Grand Londres», Ken Olisa, la reine Elizabeth II soutient le mouvement Black Lives Matter. Lors d'un entretien pour un média britannique, il a d'ailleurs affirmé que la famille royale discutait des problèmes raciaux.
Le Premier ministre Justin Trudeau a qualifié d'«actes de vandalisme» le renversement de deux statues de la monarchie britannique et les dégradations d'au moins dix églises en marge de manifestations en hommage à des enfants amérindiens disparus.
Des étudiants d'Oxford ont décroché une portrait d'Elizabeth II dénonçant le fait qu'elle représentait «l'histoire coloniale récente». Le ministre de l'Education britannique Gavin Williamson a jugé «absurde» cette décision des étudiants.
Un dessin représentant l'épouse du prince Harry étouffée par la reine Elizabeth II, en référence à la mort de George Floyd, a provoqué les réactions indignées de certaines organisations, dont l'une parle de caricature d'un «racisme fasciste».
Jean des Cars, journaliste, répond dans La Grosse Question.
Une victime, qui affirme avoir été abusée par le Prince Andrew, estime que l'abandon de l'enquête sur Jeffrey Epstein traduit la corruption au plus haut niveau du gouvernement. La police soutient que les faits ne relevaient pas de sa juridiction.