BRAS DE FER

L'ancienne ministre socialiste de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem doit prendre début juillet la présidence de France terre d'asile, mastodonte de l'accueil et de l'accompagnement des réfugiés, a annoncé l'association auprès de l'AFP.
L'ancien président français, à qui a succédé Emmanuel Macron, a pris la parole pour la première fois depuis l'épidémie. Il a reconnu sa part de tort au sujet de la crise sanitaire, et a également proposé un plan de relance aux allures de programme.
Ecartés par les électeurs ou en quête de notoriété, des socialistes, actuels et anciens, refont surface en tirant parti de la crise sanitaire et économique. Certains ont 2022 pour objectif, d'autres cherchent une place aux côtés d'Emmanuel Macron.
Najat Vallaud-Belkacem a annoncé dans une interview qu’elle ne briguerait pas le poste de premier secrétaire du Parti socialiste. Le député Luc Carvounas est actuellement le seul officiellement en lice.
A l'approche du congrès du PS lors duquel sera désigné le nouveau patron du parti, l'ancien ministre s'en prend vigoureusement à ses camarades responsables du fiasco présidentiel. Elle ne se prononce toujours pas sur son éventuelle candidature.
Alors que le congrès du PS est prévu pour le 6 avril, les spéculations sur les candidatures pour prendre en main la rose au poing fleurissent. Ce 30 novembre, un premier postulant a officialisé sa candidature. Il s'agit du député Luc Carvounas.
Alors que son prédécesseur avait fortement limité le redoublement, laissant la décision aux parents, le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer propose un décret qui en rétablit partiellement l'usage et redonne la décision au corps pédagogique.
Najat Vallaud-Belkacem négocierait pour se présenter comme première secrétaire du PS lors du congrès prévu le 6 avril. Elle pose deux conditions : recevoir un cachet, pour un poste jusque-là bénévole, et être tête de liste aux prochaines européennes.
Le groupe CitizenGo, qui promeut des valeurs chrétiennes dans le monde, a affrété un bus qui sillonne l'Île-de-France pour contester l'enseignement de la théorie du genre à l'école, entraînant de larges critiques, notamment celles du milieu LGBT.
La démission orageuse de Michel Lussault de la tête du Conseil supérieur des programmes témoigne d'un conflit ancien avec le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer. Elle signe la fin des réformes controversées de Najat Vallaud-Belkacem.
Le 12 septembre, le rectorat a mis fin au contrat d’un professeur d’anglais employé dans un collège de Sombernon (Côte-d'Or). L’homme, sous contrôle judiciaire dans le cadre d'une affaire liée au terrorisme, avait tout de même pu donner un cours.
Stéphane Le Foll entend apporter sa pierre à l'édifice à la reconstruction du PS, en forte difficulté après les défections et sa défaite historiques aux élections. Il a proposé sur RTL de changer le nom du parti socialiste en... «Les socialistes».
Révélée par son adversaire de la France insoumise, l'affaire pourrait coûter cher au candidat LREM Bruno Bonnell. Celle-ci tombe à point nommé pour la socialiste Najat Vallaud-Belkacem, en difficulté dans la même circonscription.
La France insoumise parle d'un «coup d'état social», Florian Philippot d'«une loi travail bis d'une grande brutalité», Benoît Hamon s'emporte sur la «régression» qu'elle impose... Avant sa sortie, la réforme à déjà de nombreux détracteurs.
L'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, venu le 29 mai soutenir la candidate PS Najat Vallaud-Belkacem à Villeurbanne, a estimé qu’il fallait «voter socialiste» pour préserver la «béatitude» autour du nouveau président.
Hervé Pizzinat, le proviseur du lycée Tocqueville de Grasse (Alpes-Maritimes), blessé en s'interposant mi-mars face à un élève armé qui voulait tuer une dizaine de camarades, a été fait chevalier de la légion d'honneur.
En déplacement en Tunisie, Najat Vallaud Belkacem a signé ce 31 mars une convention avec son homologue tunisien. La Tunisie mettra notamment à disposition de la France des professeurs, rémunérés, pour enseigner l’arabe dès l'école primaire.
Le ministre de l’Education a condamné, le 28 février, les violences dont a été victime la responsable du lycée Jules Ferry à Paris. 15 lycées ont à nouveau été bloqués dans le cadre du mouvement de réaction à l'interpellation de Théo Luhaka.
Alors que les autorités ont mis en place une série de mesures pour lutter contre la pédophilie suite au scandale de Villefontaine, le ministère de l’Education a annoncé une légère hausse des affaires de mœurs parmi ses employés.
La ministre de l'Education nationale soutient Benoît Hamon... mais tient aussi à défendre le bilan du gouvernement dont elle fait toujours partie. Un exercice difficile, qui la pousse à remettre en cause les intentions du candidat socialiste.