SIDERANT

Jan Jambon est entendu dans le cadre de l'affaire Chovanec, ce Slovaque mort lors de son interpellation filmée à Charleroi et dont la vidéo a provoqué un tollé, entre usage excessif de la force et salut nazi. Le Flamand est critiqué par l’opposition.
Les agents de police qui devaient encadrer les sommets européens des 17, 18 et 19 octobre ayant mis à exécution leur menace de se faire porter pâles par centaines si leur ministre ne les rencontrait pas, ce dernier a-t-il dû faire appel à l'armée ?
Ils se disent méprisés par leur propre gouvernement, ils ne cessent d'alerter sur la détérioration de leurs conditions de travail et comptent leurs morts... A présent, les policiers belges disent stop et se font porter pâles en plein sommet.
Bart De Wever, le bourgmestre d'Anvers, a suscité la polémique en déclarant dans une interview que les juifs orthodoxes «évitaient les conflits», à la différence des musulmans. De nombreux responsables politiques s'en sont indignés.
Alors qu'une éventuelle défaillance policière est pointée du doigt depuis les attentats de Bruxelles, le chef de la police judiciaire fédérale a tenu à mettre en avant l'efficacité de ses services en matière de prévention des attaques terroristes.
Quelques mois après les attentats de Bruxelles, le ministre de la Sécurité belge, Jan Jambon, s’est rendu en Israël pour s’inspirer des systèmes en vigueur à l’aéroport Ben Gourion de Tel Aviv, réputé pour être l’un des plus sécurisés au monde.
Le renseignement européen se prépare à une vague de 3 000 à 5 000 recrues de Daesh, qui pourraient revenir sur le Vieux continent en raison du recul de l’organisation terroriste en Irak et en Syrie, a indiqué le ministre belge Jan Jambon.
La Belgique va établir «un cadre légal pour la surveillance des suspects de terrorisme et de personnes en voie de radicalisation», a annoncé le ministre de l'Intérieur Jan Jambon, alors que le pays est toujours au niveau 3 de risque terroriste.
Blessés par les propos du ministre belge de l’Intérieur, qui avait déclaré que de nombreux musulmans avaient «dansé à l’occasion des attentats», un groupe de policiers a tenu à lui répondre ouvertement, rappelant son qu'ils combattent Daesh.
Le ministre de l'Intérieur belge Jan Jambon s'est défendu mercredi de toute stigmatisation d'une communauté par ses récentes déclarations controversées qui affirmaient que certains musulmans s'étaient réjoui des attentats de Bruxelles.
Jan Jambon, a déclaré au quotidien De Standaard que la politique d'intégration des étrangers en Belgique a échoué, arguant qu'«une partie significative de la communauté musulmane a dansé à l'occasion des attentats», sans donner de preuves concrètes.
Les organisateurs du rassemblement, qui devait avoir lieu ce dimanche à Bruxelles, ont décidé de le reporter à une date ultérieure après la demande du bourgmestre de Bruxelles, Yvan Mayeur, et du ministre belge de l'Intérieur, Jan Jambon.
Après avoir tenté de démissionner, Jan Jambon a pointé du doigt la «gaffe» d’un officier qui aurait sous-estimé la dangerosité du kamikaze Ibrahim El-Bakraoui, au sujet duquel des informations cruciales avaient été communiquées par la Turquie.