SIDERANT

Gros succès pour le site mis en place par la Cour des comptes en septembre 2022 à destination des «lanceurs d'alerte» : il a recueilli près de 500 signalements sur ses quatre premiers mois d'existence.
Interpellé sur le sujet, Pierre Moscovici, président de la Cour des Comptes et ancien ministre de l'Economie de François Hollande, a reconnu cumuler plusieurs revenus officiels. Un cumul légal, dénoncé toutefois par le député UDI Thierry Benoit.
La Cour des Comptes a réclamé, ce mercredi 30 septembre, que les dons pour la reconstruction de Notre-Dame aillent intégralement au chantier. La Cour a également demandé une enquête administrative sur les dysfonctionnements avant l'incendie.
L’institution, qui contrôle l’usage des deniers publics, vient de rendre un rapport sur la lutte contre la fraude sociale. Mais faute d’estimation par les organismes qui en sont victimes elle n’est pas en état d’en mesurer le montant.
Le 3 juin, l'ancien ministre socialiste sera nommé premier président de la Cour des comptes. A la Commission européenne, il reprochait au gouvernement français de ne pas faire suffisamment d'efforts en matière de réduction des déficits publics.
La France ainsi que sept autres pays de l'UE ont reçu une lettre de la Commission européenne alertant sur un «risque de non-conformité» de leurs prévisions budgétaires pour l'année 2020. Bruxelles appelle ces Etats-membres à la prudence budgétaire.
Alors que Pierre Moscovici doit quitter son poste de commissaire européen, la ministre des Armées Florence Parly pourrait le remplacer. Avec à la clé un remaniement du gouvernement français ?
Sur Radio classique, le commissaire européen est venu au secours du président de la République pour défendre cet accord de libre-échange dénoncé par les écologistes. Les agriculteurs se préparent à des actions devant les préfectures.
Les 19 ministres des Finances se sont mis d’accord, du bout des lèvres, sur le principe d’un budget de la zone euro. A condition que son montant soit ridicule et sans savoir d’où viendra l’argent.
Bruxelles a recommandé de placer l'Italie en déficit excessif, avec à la clé de possibles sanctions allant jusqu'à 3,5 milliards d'euros. Après les élections européennes, Bruxelles et le gouvernement souverainiste italien reprennent leur bras de fer.
Interrogée par le site EUobserver au sujet d'une discussion entre George Soros, Tony Blair et Pierre Moscovici lors du dernier forum de Davos, la Commission européenne en aurait caché le contenu, afin de protéger un «processus décisionnel».
Washington a rejeté le 12 mars toute éventualité de taxation visant les géants de l'internet, suscitant une vive réaction de la France, qui vient de présenter un projet de loi en ce sens, mais aussi de la Commission européenne.
Pour 2019, le gouvernement français avait basé son budget sur une croissance de 1,7% mais après la Banque de France et le FMI, la Commission fait des prévisions moins optimistes. La Cour des comptes, elle, estime les comptes publics «fragilisés».
Emmanuel Macron envisage de nommer au Conseil constitutionnel deux de ses proches, Didier Migaud et Jacques Mézard, selon Paris Match. Pierre Moscovici, qui s'est récemment rapproché du chef d'Etat, prendrait la tête de la Cour des comptes.
Après un long bras de fer, Rome et Bruxelles se sont entendus sur le budget italien de 2019, dont le déficit sera contenu en 2019 à 2,04%. Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte se félicite de ne pas avoir reculé.
A dix jours de la fin 2018, le ministre de l’Economie a annoncé une taxe sur les géants du numérique en France, dès janvier, sans attendre de consensus européen. On connaît déjà le produit attendu de cette taxe pas encore inscrite dans la loi.
Deux jours après le discours d’Emmanuel Macron en France, le socialiste espagnol Pedro Sanchez a annoncé une augmentation du salaire minimum par décret. Le Commissaire européen Pierre Moscovici a immédiatement réagi.
A cause de la double peine du CICE, puis des récentes mesures annoncées par le gouvernement et le président de la République, la France va finir l’année 2018 lanterne rouge de la rigueur budgétaire européenne. Mais Bruxelles ne sanctionnera pas.
Le ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini, a mis en garde Bruxelles ce 12 décembre contre tout traitement différent de son pays et de la France concernant les règles de déficit maximum prévues par l'Union européenne.
Le Commissaire européen à l'Economie, Pierre Moscovici, a fait savoir ce 11 décembre que l'exécutif européen, «en contact constant avec les autorités françaises», suivrait «avec attention l'impact des annonces faites par le président» français.