RIPOSTE

Des ex-hauts responsables brésiliens pilonnent dans une tribune la «diplomatie idéologisée» et la «perte d'indépendance» de leur pays sous Bolsonaro. Ils lui reprochent notamment de s'aligner sur Washington et de froisser ses partenaires européens.
Deux mois après sa victoire électorale, Jair Bolsonaro a été officiellement investi à la présidence du Brésil, ce 1er janvier. Les chefs de gouvernement conservateurs hongrois et israélien se sont rendus à Brasilia à cette occasion.
Habitué des déclarations fracassantes, l'ex-militaire et député Jair Bolsonaro est désormais favori de la présidentielle brésilienne, selon les sondages. Economie, sécurité, société : sa victoire représenterait un virage à droite toute pour le pays.
Lula se porte officiellement candidat à la présidentielle d’octobre prochain depuis sa prison de Curitiba. Maurice Lemoine, spécialiste de l’Amérique latine, a estimé sur RT France que l'ex-président brésilien avait peu de chance d'y concourir.
La candidature de Lula à la présidence brésilienne a été annoncée par le Parti des Travailleurs lors de la lecture en public de sa lettre rédigée en prison. Mais cette démarche risque d'être invalidée, au vu de l'incarcération de l'ex-chef d'Etat.
Dilma Rousseff, qui a accordé un entretien à Sputnik, considère que les Etats-Unis portent un intérêt particulier au Venezuela en raison de ses importantes réserves de pétrole. Washington a multiplié, ces derniers mois, les pressions contre Caracas.
Le président brésilien Michel Temer l'a échappé belle. Le tribunal qui s'est penché sur des accusations d'irrégularités dans la campagne électorale de 2014 lui a accordé un non-lieu par une étroite majorité.
Le gouvernement brésilien a déployé l'armée face à 35 000 manifestants venus réclamer la démission du président Michel Temer, sur fond de scandale de corruption. Des activistes s'en sont pris à des bâtiments publics.
Un scandale de corruption, révélé par des enregistrements secrets publiés dans la presse brésilienne, éclabousse le président du pays, Michel Temer. Ce dernier a affirmé qu'il ne démissionnerait en aucun cas.
Nicolas Maduro est désormais confronté aux critiques ouvertes de ses voisins argentin et brésilien. La quasi-totalité des Etats sud-américains prennent leurs distances avec Caracas alors que les mouvements de protestation se poursuivent.
Des dizaines de milliers de citoyens ont manifesté dans différentes villes brésiliennes pour exprimer leur opposition aux mesures d’austérité, et en particulier aux réformes de retraite, décidées par le gouvernement de Michel Temer.
En pleine crise constitutionnelle et économique, le président brésilien Michel Temer a fait voter un amendement pour geler les dépenses publiques pendant 20 ans. Les manifestations redoublent d'intensité.
Après la destitution de la présidente Dilma Rousseff en août dernier, c'est au tour du président du Sénat d'être démis de ses fonctions. Ce nouvel événement judiciaire montre que le Brésil n'est pas encore sorti de la tourmente de la corruption.
La police brésilienne a arrêté le 19 octobre l'ancien président du Congrès des députés Eduardo Cunha, grand artisan de la destitution de la présidente de gauche, Dilma Rousseff, et impliqué dans le scandale de corruption Petrobras.
Des violences ont à nouveau éclaté entre manifestants pro-Dilma Roussef et les forces de l'ordre. Malgré une très forte mobilisation, le gouvernement de Michel Temer a estimé que les manifestants ne représentaient pas les Brésiliens.
Quelques heures après sa destitution, l’avocat de Dilma Rousseff a fait appel auprès de la cour suprême afin de demander l’annulation de la sentence qui a frappé l’ancienne présidente à l’issue du vote du sénat brésilien le 31 août.
Les partisans de Dilma Rousseff ne décolèrent pas. Ils n'acceptent pas sa destitution pour maquillage de comptes publics et dénoncent un coup d'Etat. Ils exigent la démission de son remplaçant, Michel Temer.
Après une procédure de destitution de neuf mois, la présidente brésilienne a été démise de ses fonctions par les sénateurs, qui l’ont jugée coupable d’avoir maquillé les comptes publics. Rousseff parle de son côté de «coup d'Etat parlementaire».
Journalistes et politologues croient qu'on tente de chasser Dilma Rousseff du pouvoir. Ce qui semble évident au regard de la composition du Congrès, où 60% des élus sont accusés de corruption, estime Michael Fox, producteur de la chaîne TeleSUR.
Des manifestations de masse en soutien à la présidente destituée Dilma Rousseff se déroulent à Sao Paulo, alors que le Sénat a voté pour sa destitution. Les manifestants appellent le président par intérim, Michel Temer, à démissionner.