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Les relations internationales ne tiennent parfois qu'à un fil. Elles sont ainsi fortement dépendantes de la qualité des traductions des déclarations des dirigeants du monde. Certaines erreurs en la matière ont eu de lourdes conséquences. Florilège.
Des milliers de personnes se sont rassemblées le 6 août sur les rives du fleuve Motoyasu à Hiroshima (Japon) pour participer à une cérémonie d’hommage aux victimes du bombardement nucléaire, effectué par l’armée américaine en 1945.
Les pluies diluviennes qui continuent de ravager la région de la préfecture d'Okayama au Japon ont déjà fait 57 victimes. Le niveau d'eau monte et provoque des crues, faisant craindre un lourd bilan humain.
La fondation Nobel a promis le 27 octobre qu'elle allait mettre fin à tous ses investissements en lien avec des producteurs d'armes atomiques. Le prix Nobel de la paix doit cette année être remis à une coalition d'ONG militant contre ces armes.
Le Japon commémorait ce 6 août, la largage de la première bombe atomique sur la ville d'Hiroshima, dans le sud de Honshu, il y a 72 ans.
Quelques mois après la visite historique de Barack Obama à Hiroshima, le chef du gouvernement du Japon a prévu de se rendre à la base américaine dont l'attaque par l'aviation nippone, en 1941, avait provoqué l'entrée en guerre des Etats-Unis.
L'absence d'excuses de la part des Etats-Unis lors de la visite officielle de Barack Obama au Mémorial de la Paix d'Hiroshima «déshonore à la fois sa présidence et son pays», dénonce l'écrivain John Wight.
Barack Obama est arrivé ce vendredi 27 mai à Hiroshima, anéantie par une bombe atomique américaine en 1945. Il est le premier président américain en exercice à s’y rendre, cependant présenter des excuses n’est pas prévu au programme.
La visite historique du président Obama à Hiroshima ne doit pas être interprétée comme une excuse pour la catastrophe atomique de 1945, a souligné son porte-parole mardi 11 mai.
John Kerry est arrivé dimanche 10 avril, au Japon pour une réunion du G7 qui se tiendra le 11 à Hiroshima. Soixante-et-onze ans après qu’une bombe nucléaire américaine a frappé la ville, les excuses des Etats-Unis se feront encore attendre.
La Russie doit revenir au sein du G7 des nations, pour reconstituer à nouveau le G8, a indiqué le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier avant une réunion du groupe au Japon.
Le reporter de RT, Peter Scott, va visiter les deux villes japonaises anéanties à l’époque par les bombes atomiques pour parler aux survivants des bombardements et essayer de comprendre leurs vraies raisons...