SIDERANT

Dans une lettre adressée à Elisabeth Borne, les élus prônent la suspension de l'ouverture à la concurrence, prévue pour le réseau de bus de la RATP dès 2025. Selon eux, celle-ci sera synonyme d'une dégradation du service et des conditions de travail.
Alors que le nouveau PDG de la RATP, Jean Castex, recevait les syndicats, des incidents ont éclaté devant le siège de l'entreprise entre manifestants et policiers. Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogène.
POLIT'MAG avec le chroniqueur François Cocq ainsi que nos invités Mornia Labssi, militante LFI-NUPES et inspectrice du travail, Fabrice Grimal, ancien candidat Gilet jaune à la présidentielle, et Mustapha Marrouchi, adjoint au maire UDI de Massy.
Alors que l'ancien Premier ministre Jean Castex prenait ses fonctions ce 28 novembre, des centaines d'agents de maintenance de la RATP ont investi le siège social – à l'appel de la CGT – pour protester contre l'annulation d'une prime de 300 euros.
Polit'Mag avec notre éditorialiste Didier Maïsto et nos invités Arthur Paris, ex porte-parole de Reconquête, Guillaume Bernard, politologue et Serge Federbusch, président du Parti des Libertés.
L'Assemblée nationale et le Sénat ont donné leur feu vert à la nomination de l'ancien Premier ministre Jean Castex à la tête de la RATP malgré de nombreuses critiques de l'opposition. Elle doit maintenant être confirmée en Conseil des ministres.
Selon l’Observatoire de l’éthique publique, le coût annuel de l'équipe d'Elisabeth Borne s’élève à 174 millions d’euros, contre 160 millions pour celui de son prédécesseur Jean Castex, déjà critiqué pour une nette augmentation des dépenses.
L'ancien Premier ministre Jean Castex, déjà président du conseil d'administration de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit France), a été choisi par Emmanuel Macron pour prendre la tête de la RATP.
L'ancien Premier ministre, Jean Castex, a été nommé à la tête de l'Afit par un décret du président de la République. Une nomination validée par le Parlement le 27 juillet. Il succède à Christophe Béchu, devenu ministre.
Après le départ officiel dans l'après-midi de Jean Castex, l'arrivée d'Élisabeth Borne au poste de Premier ministre a suscité une pluie de réactions émanant de tous les bords politique qui sont notamment revenus sur son rôle de ministre du Travail.
Le locataire de Matignon a annoncé ce 16 mai avoir remis sa démission au chef de l'Etat ce 16 mai. La passation de pouvoir avec son successeur devrait avoir lieu dans la foulée.
Le Premier ministre a fait savoir qu'il remettrait sa démission, ainsi que celle de l'ensemble du gouvernement, dans la foulée d'une éventuelle réélection du président sortant, conformément aux usages de la Vème République.
Jean Castex a suscité la polémique pour avoir fait l’aller-retour entre Paris et Prades en jet Falcon pour ne rester que trois heures sur place. Il s’est par la suite justifié sur RTL en arguant qu'il fallait «qu'il soit à Paris très vite»
Dans une interview sur TF1, le Premier ministre a utilisé une formule surprenante en défendant le renforcement des obligations des allocataires du RSA, évoquant un travail d'intérêt général normalement réservé aux auteurs d'infractions.
L'annonce par Jean Castex de la mise en place d'une remise de 15 centimes par litre d’essence pour faire face à la flambée des prix des carburants a provoqué, sans surprise, une vague de critiques au sein de l'opposition.
Yannick Jadot, candidat EELV à la présidentielle, sera reçu par le Premier ministre le 28 février. Durant l'entretien, il compte demander à Jean Castex les détails des livraisons d'armement à l'Ukraine, un «exercice normal de transparence» selon lui.
Le candidat de Reconquête! a déclaré qu'il lui manquait «50 parrainages» pour pouvoir se présenter à la présidentielle. Anne Hidalgo (PS) et Sandrine Rousseau (EELV) ont estimé pour leur part qu'il n'était pas nécessaire de l'aider à les obtenir.
Après l'expulsion de l'ambassadeur de France au Mali, les oppositions majoritairement favorables à un désengagement progressif de ce pays d'Afrique de l'Ouest, ont obtenu la future organisation d'un débat au Parlement.
Afin de marquer la première année du comité interministériel de la ville, Jean Castex et plusieurs ministres étaient en déplacement à Grenoble ce 29 janvier. Une visite agitée, puisque le Premier ministre a été pris à partie par certains habitants.
La Cour de justice de la République a classé sans suite 19 685 plaintes visant Jean Castex, Olivier Véran ou encore Jean-Michel Blanquer. Elles dénonçaient entre autres le pass sanitaire ou encore l'obligation vaccinale.