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Après le départ officiel dans l'après-midi de Jean Castex, l'arrivée d'Élisabeth Borne au poste de Premier ministre a suscité une pluie de réactions émanant de tous les bords politique qui sont notamment revenus sur son rôle de ministre du Travail.
Le locataire de Matignon a annoncé ce 16 mai avoir remis sa démission au chef de l'Etat ce 16 mai. La passation de pouvoir avec son successeur devrait avoir lieu dans la foulée.
Le Premier ministre a fait savoir qu'il remettrait sa démission, ainsi que celle de l'ensemble du gouvernement, dans la foulée d'une éventuelle réélection du président sortant, conformément aux usages de la Vème République.
Jean Castex a suscité la polémique pour avoir fait l’aller-retour entre Paris et Prades en jet Falcon pour ne rester que trois heures sur place. Il s’est par la suite justifié sur RTL en arguant qu'il fallait «qu'il soit à Paris très vite»
Dans une interview sur TF1, le Premier ministre a utilisé une formule surprenante en défendant le renforcement des obligations des allocataires du RSA, évoquant un travail d'intérêt général normalement réservé aux auteurs d'infractions.
L'annonce par Jean Castex de la mise en place d'une remise de 15 centimes par litre d’essence pour faire face à la flambée des prix des carburants a provoqué, sans surprise, une vague de critiques au sein de l'opposition.
Yannick Jadot, candidat EELV à la présidentielle, sera reçu par le Premier ministre le 28 février. Durant l'entretien, il compte demander à Jean Castex les détails des livraisons d'armement à l'Ukraine, un «exercice normal de transparence» selon lui.
Le candidat de Reconquête! a déclaré qu'il lui manquait «50 parrainages» pour pouvoir se présenter à la présidentielle. Anne Hidalgo (PS) et Sandrine Rousseau (EELV) ont estimé pour leur part qu'il n'était pas nécessaire de l'aider à les obtenir.
Après l'expulsion de l'ambassadeur de France au Mali, les oppositions majoritairement favorables à un désengagement progressif de ce pays d'Afrique de l'Ouest, ont obtenu la future organisation d'un débat au Parlement.
Afin de marquer la première année du comité interministériel de la ville, Jean Castex et plusieurs ministres étaient en déplacement à Grenoble ce 29 janvier. Une visite agitée, puisque le Premier ministre a été pris à partie par certains habitants.
La Cour de justice de la République a classé sans suite 19 685 plaintes visant Jean Castex, Olivier Véran ou encore Jean-Michel Blanquer. Elles dénonçaient entre autres le pass sanitaire ou encore l'obligation vaccinale.
Lors de leur conférence de presse ce 20 janvier, Jean Castex et Olivier Véran ont annoncé envisager un allégement du protocole sanitaire dans les écoles pour le retour des vacances de février.
Lors de leur conférence de presse ce 20 janvier, Jean Castex et Olivier Véran ont fait plusieurs annonces sur la levée de certaines restrictions sanitaires dont la réouverture des discothèques et le retour des concerts debout à partir du 16 février.
Le Premier ministre a déclaré ce 20 janvier que le pass vaccinal, dont une partie de l'opposition dénonce le caractère discriminant, entrerait en vigueur la semaine prochaine – sous réserve de validation par le Conseil constitutionnel.
Le Premier ministre et le ministre de la Santé tiendront ont tenu 20 janvier une conférence de presse pour dévoiler un «calendrier précis de levée progressive des dernières» restrictions visant à lutter contre le coronavirus.
Le Premier ministre s'est exprimé sur la simplification de ce protocole mis en place depuis le 3 janvier. «Quand on est cas contact, on ne risque rien», a-t-il affirmé au sujet de la fin des fermetures de classes au premier cas de Covid-19 détecté.
Interrogé sur le pass vaccinal adopté par l'Assemblée, le Premier ministre n'a pour l'heure pas envisagé de fin à ce dispositif. «Plus vite l'épidémie baisse et plus on pourra s'abstenir de recourir à tous ces outils», a-t-il toutefois concédé.
Après la déclaration polémique d'Emmanuel Macron, qui s'est dit décidé à «emmerder» les non vaccinés, le Premier ministre a dénoncé le 5 janvier devant le Sénat l'irresponsabilité des Français persistant à refuser la vaccination.
Le Premier ministre Jean Castex a fermement condamné les «actes ignobles» dont les élus de la majorité font l'objet depuis plusieurs jours, alors que le projet de loi créant le pass vaccinal est examiné par l'Assemblée nationale depuis le 3 janvier.
Le Premier ministre s'est insurgé dans l’Hémicycle contre la suspension des débats, qui a pris de court le gouvernement et prolongé les discussions sur le projet de loi encadrant le pass vaccinal.