BRAS DE FER

Le Conseil constitutionnel a validé ce 13 août la proposition de loi LREM adoptée fin juillet qui prévoit de contraindre éditeurs et hébergeurs du Web à retirer des contenus dits terroristes dans l'heure.
La députée est sous le coup d'une enquête de la BRDP pour «harcèlement moral» ouverte le 9 juillet dernier après des témoignages d'anciens collaborateurs. La militante et porte-parole LREM dénonce des «accusations mensongères».
Le projet de la députée marcheuse de Paris Laetitia Avia revient dans le champ médiatique après l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine, mais cette loi déclarée anticonstitutionnelle aurait-elle permis de protéger l'enseignant Samuel Paty ?
Devenus une des principales sources d’information, les réseaux sociaux sont aussi un instrument de manipulation politique et s'invitent dans les relations internationales. Quels sont les enjeux géopolitiques autour des réseaux sociaux ?
Dans cet épisode de La Source, Alain Juillet s’intéresse aux dérives de la pensée unique.
Laetitia Avia a réagi à la censure de son texte de loi par les Sages. Si elle semble déterminée à présenter de nouveau son projet, le ministre des Relations avec le Parlement, Marc Fesneau, a quant à lui appelé à «travailler différemment».
Le Conseil constitutionnel a rendu publique une décision dans laquelle il censure plusieurs articles de la loi visant à lutter contre les contenus haineux sur internet. Selon lui, plusieurs passages du texte sont «contraires à la Constitution».
Selon des informations du Point, la majorité a comptabilisé le vote du député Jean-François Cesarini dans les 286 voix en faveur de l'adoption de la controversée loi Avia. Celui-ci est pourtant décédé un mois et demi avant la tenue du vote.
Qui aura les faveurs des plateformes érigées en censeurs de la liberté d'expression par la loi Avia et les Marcheurs : Zemmour et son sens permanent de l'esprit critique ou Tariq Ramadan et ses disciples communautaristes ?
Les sénateurs LR, emmenés par Bruno Retailleau, ont annoncé, le 18 mai, le dépôt de leur recours au Conseil constitutionnel contre la proposition de loi contre la haine en ligne, au nom de la défense de la «liberté d'expression».
Une avocate affirme au micro de BFMTV être chargée de porter plainte contre la députée de la majorité Laetitia Avia pour harcèlement moral, au nom d'anciens assistants parlementaires, dont certains s'étaient exprimés auprès de Mediapart.
Alors que nombreux opposants à Emmanuel Macron craignent que la loi Avia ne permette une censure sur internet, d'aucuns s'inquiètent de la nomination d'une Yéménite proche des Frères musulmans au conseil de surveillance des contenus de Facebook.
Les députés ont adopté ce 13 mai, en ultime lecture, la proposition de loi controversée de lutte contre la haine sur internet. Un texte accusé par ses détracteurs de menacer la liberté d'expression et d’accroître les pouvoirs des géants du web.
A l'occasion de l'ultime lecture au Parlement du projet de loi de la majorité contre la haine en ligne porté par Laetitia Avia, Gilles-William Goldnadel, avocat et essayiste, alerte contre les risques que présente cette initiative. Entretien.
Laetitia Avia est accusée par cinq ex-collaborateurs d'homophobie, de racisme et de sexisme. Ils dénoncent «un fossé» entre le comportement de l'instigatrice du projet de loi contre la haine sur internet et sa parole publique. L'élue nie en bloc.
Les députés se penchent ce 13 mai, en ultime lecture, sur la proposition de loi controversée de lutte contre la haine sur internet. Un texte accusé par ses détracteurs de menacer la liberté d'expression.