BRAS DE FER

Dans un texte publié sur Facebook le 9 août, Sahra Wagenknecht, députée allemande de gauche, a fustigé l’attitude des dirigeants occidentaux dans le dossier ukrainien. Des propos qui illustrent les divergences de vues allemandes sur le conflit.
Le SPD, les Verts et les libéraux ont annoncé ce 15 octobre être parvenus à un accord préliminaire en vue de former un gouvernement pour succéder à l'alliance menée par Merkel. Le social-démocrate Olaf Scholz sera probablement le futur chancelier.
Edouard Husson, historien, spécialiste des relations franco-allemandes et Jean Bizet, ancien sénateur, étaient invités à analyser le futur de la politique allemande après ces élections fédérales.
D'après un décompte provisoire de la commission électorale, les sociaux-démocrates remportent les législatives avec 25,7% des voix, devant les conservateurs. Les deux camps revendiquent d'ores et déjà la formation du prochain gouvernement.
Lors d'un meeting à Aix-la-Chapelle, la chancelière allemande Angela Merkel, qui quitte ses fonctions après 16 ans au pouvoir, a appelé le 25 septembre à voter pour Armin Laschet, le candidat de la CDU.
La CDU, le parti conservateur de la chancelière allemande, a enregistré les pires scores de son histoire dans les régions du Bade-Wurtemberg et de Rhénanie-Palatinat, six mois avant des législatives pour désigner le successeur d'Angela Merkel.
A Brégançon, les échanges du couple franco-allemand sur les questions économiques se sont tenus dans un contexte de discorde budgétaire outre-Rhin. Le ministre allemand (SPD) des Finances a pris goût à la dette, ce que n'apprécie pas la CDU.
Le gouvernement allemand a décidé le 19 février d'instaurer un minimum vieillesse pour les plus démunis, un sujet qui a longtemps menacé l'avenir de la coalition d'Angela Merkel entre conservateurs et sociaux-démocrates.
Annoncée comme successeur d'Angela Merkel, «AKK» vient d'annoncer sa démission de la présidence du CDU. En cause, les divisions de son parti sur un éventuel rapprochement avec l'AfD. Cette nouvelle plonge la droite allemande dans la crise.
Angela Merkel est parvenue à remettre en selle son fragile gouvernement de coalition en Allemagne, qui tanguait à la suite du scandale provoqué par une alliance régionale entre des élus de son parti conservateur et la droite radicale de l'AfD.
Le président de la région de Thuringe a été élu à la faveur des voix de membres du CDU d'Angela Merkel et du parti anti-immigration de l'AfD. Mais il a déjà annoncé sa décision de démissionner, ce qui ouvre la voie à de nouvelles élections.
L'AfD poursuit son ancrage politique en Allemagne : le parti populiste est arrivé ce 1er septembre en seconde position dans la Saxe et le Brandebourg. Quant aux partis de la coalition gouvernementale d'Angela Merkel, ils enregistrent un net recul.
Revenant sur sa proposition de créer un siège européen au conseil de sécurité de l'ONU, Annegret Kramp-Karrenbauer, actuelle présidente de l’Union chrétienne-démocrate d'Allemagne (CDU), a affirmé qu'il s'agissait de compléter le siège français.
Des sacs mortuaires, de la chaux-vive et des armes : un groupe survivaliste proche de l'ultradroite allemande est soupçonné par la justice allemande d'avoir voulu préparer l'élimination de personnalités politiques allemandes pro-migrants.
Affaiblie par le mauvais score électoral de son parti suivi de la démission de la présidente du SPD, parti avec lequel elle partage le pouvoir, la chancelière allemande Angela Merkel a affirmé qu'elle maintenait son gouvernement de coalition.
Tandis que l'euroscepticisme a la cote en France, l'Allemagne reste un pays où les enjeux du scrutin du 26 mai s'inscrivent dans un présupposé pro-Union européenne. Outre-Rhin, l'UE est synonyme d'une mondialisation dont le pays sort gagnant.
Après une proposition des deux partis au pouvoir, le Parlement allemand a adopté une motion qualifiant le mouvement BDS d'antisémite. L'AfD s'est abstenue, demandant une interdiction totale du mouvement, et Die Linke (gauche radicale) a voté contre.
La ministre française des Armées, Florence Parly, a jugé prématurée la proposition d'un porte-avions européen portée par la présidente de la CDU allemande, Annegret Kramp-Karrenbauer, et approuvée par la chancelière Angela Merkel.
Annegret Kramp-Karrenbauer, la patronne de la CDU, a publié une tribune après celle d'Emmanuel Macron. Elle y présente ses idées pour l'Union européenne... pas toujours en accord avec celles défendues par le président français.
Le chef de file de la France insoumise s'est livré à un véritable réquisitoire anti-Macron dans une tribune baptisée «Sortez des traités, stupides !». Une réponse à la tribune «Pour une Renaissance européenne» du président de la République.