BRAS DE FER

A l'issue de pourparlers en Chine, l'Iran et l'Arabie saoudite ont annoncé le rétablissement de leurs relations diplomatiques après plus de sept ans de rupture. Les deux pays restent toutefois en désaccord sur plusieurs dossiers régionaux.
Bachar el-Assad a été reçu en grande pompe par le sultan Haïtham ben Tariq. Fidèle à sa politique non-interventionniste, Oman n’a jamais cessé, même au cœur du conflit qui a ravagé la Syrie, de militer pour un retour de Damas dans le giron arabe.
En visite à Damas, le chef de la diplomatie omanaise défend le retour de la Syrie dans le giron arabe. Attaché à sa politique non-interventionniste, même en plein cœur du conflit syrien, Mascate n'a jamais coupé les liens avec Bachar el-Assad.
La Défense russe a expliqué avoir participé, avec l’Iran et la Chine, à des exercices militaires dans le golfe d'Oman. Le but des opérations était d'améliorer les capacités de ces pays face aux attaques de pirates.
L'Iran a affirmé ne pas être impliqué dans l'attaque contre un pétrolier géré par le milliardaire israélien Eyal Ofera au large des côtes d'Oman le 29 juillet, qui a fait deux morts et qu'Israël a imputée à la République islamique.
Le 29 juillet dernier, un pétrolier d'un affréteur israélien a été attaqué par des drones, causant la mort de deux membres de l'équipage. Israël accuse l'Iran et veut porter l'affaire devant l'ONU.
Un pétrolier géré par la société internationale Zodiac Maritime, basée à Londres et propriété de l'Israélien Eyal Ofer, a fait l'objet d'une attaque au large d'Oman. Deux membres de l'équipage, de nationalités britannique et roumaine, sont morts.
Selon le chef du gouvernement d'Israël, l'explosion sur le navire MV Helios Ray «est un acte iranien». De son côté, Téhéran fustige une «manœuvre de diversion» de l'Etat hébreu.
Une réconciliation lourde de conséquences géopolitiques : c’est celle qui se profile entre le Qatar et les quatre pays arabes qui l’ont boycotté pendant plus de trois ans. Réussiront-ils à tourner une nouvelle page dans leurs relations ?
Cette initiative ambitieuse du président américain est censée régler l'éternel conflit israélo-palestinien. Or, pour être mise en œuvre, elle devra encore obtenir l’accord des Palestiniens et surmonter le scepticisme de la communauté internationale.
Ce 31 janvier, lors d’un discours devant les responsables de son parti, le président turc a notamment fustigé une Arabie saoudite «silencieuse» après l’annonce par Donald Trump du plan américain pour régler le conflit israélo-palestinien.
Israël Katz a confirmé le souhait de l'administration israélienne de se rapprocher des pays du Golfe afin de faire face à l'Iran. Si aucun accord n'a encore été ratifié, l'Etat hébreu a récemment multiplié les signaux en direction de ses voisins.
Alors que l'Iran a abattu un drone de la Marine américaine et que le président des Etats-Unis aurait ordonné des frappes de rétorsion sur des cibles stratégiques iraniennes avant de se rétracter, la situation dans le golfe d'Oman demeure instable.
La cinquième flotte américaine a reçu des appels de détresse après que deux pétroliers auraient été attaqués dans le Golfe d'Oman. Les deux navires auraient été évacués. Les prix du pétrole ont bondi à la suite de cette annonce.
En hiver, le désert du Sahara revient à la vie… chacun se prépare à accueillir le plus grand événement de l’année : le festival du Désert. Les chameliers les plus habiles se rendent en Tunisie pour courir le marathon.
L'Arabie saoudite a déclaré que le Qatar était prêt au dialogue pour mettre fin à la crise qui l'oppose à plusieurs Etats du Golfe, avant d'annoncer la suspension de tout contact avec Doha en attendant une clarification de ses positions.
Les accusations des Saoudiens contre le Qatar sont sans précédent, s'agissant des relations entre pays du Golfe. Mais Riyad en tant que tel semble, de toute évidence, mis hors de cause quant à l’extension du terrorisme, pointe l’analyste Ali Rizk.
Dix-huit personnes, dont des étrangers, ont péri mardi dans un accident de la route dans le sultanat d'Oman lorsqu'un bus est entré en collision avec un camion et une voiture, a rapporté l'agence officielle omanaise ONA.
Si des alliés américains au Moyen-Orient, comme l’Arabe saoudite, Israël ou Oman, sont régulièrement accusés de violer les droits de l’Homme, la Maison Blanche semble prête à fermer les yeux pour les protéger de toute critique.
Les six pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont décidé de mettre en place une TVA. La chute des prix du pétrole et la multiplication des campagnes militaires motivent cette décision. Et les pousse de plus en plus à changer de modèle.