BRAS DE FER

L'association Robin des Lois a interpellé le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti afin que la France accorde l'asile à Julian Assange. L'actuel garde des Sceaux était l'avocat du fondateur de WikiLeaks jusqu'au 6 juillet, date de sa nomination.
La créatrice de mode Vivienne Westwood a mené un happening devant Old Bailey, la cour de justice britannique de Londres où se tiendra l'audience qui tranchera sur l'extradition du lanceur d'alerte Julian Assange en septembre.
Parmi ses célèbres clients aux profils très différents, Dupond-Moretti a défendu Assange. En février, il voulait demander à Emmanuel Macron d'accorder l'asile au journaliste que les Etats-Unis veulent juger. Il est désormais en bonne place pour agir.
Une quarantaine d'organisation de défense des droits ont publié une lettre ouverte au gouvernement britannique pour exiger la libération de Julian Assange et le blocage de l'extradition étasunienne qui équivaut selon elles à une «condamnation à mort»
216 médecins issus de 33 pays ont signé une lettre publiée dans la célèbre revue scientifique The Lancet pour dénoncer la «torture» subie par le journaliste Julian Assange, détenu en Grande-Bretagne et risquant une extradition aux Etats-Unis.
Le département américain de la Justice a expliqué avoir reformulé l'acte d'accusation à l'encontre de Julian Assange, fondateur de la société d'édition WikiLeaks. Une parution qui a fait réagir plusieurs journalistes suivant le dossier de près.
Le 19 juin 2012, contre toute attente, Julian Assange faisait son entrée à l'ambassade d'Equateur à Londres, demandant l'asile à ce pays. Il avait épuisé tous les recours auprès de la justice britannique pour éviter son extradition. Récit.
Chargée de surveiller Julian Assange à l'ambassade d'Equateur, la société UC Global aurait fait chanter une diplomate avec des photos d'elle «extrêmement intimes». Elle se serait également intéressée au bébé et à la famille du lanceur d'alerte.
La vie d'Assange ressemble à un film d'espionnage. Et si un élément manquait pour compléter l'intrigue, le voici : après cinq ans de secret absolu, une avocate du lanceur d'alerte révèle être sa compagne et avoir eu deux enfants de lui.
Face à l'impossibilité de manifester dans la rue à cause du Covid-19, les soutiens de Julian Assange, plus déterminés que jamais, vont organiser une manifestation virtuelle pour demander sa libération, un an après son incarcération à Londres.
L'ancienne informatrice américaine Chelsea Manning a tenté de se suicider le 11 mars, à deux jours d'une audience sur son refus l'an dernier de témoigner devant un grand jury contre Wikileaks, selon son équipe juridique.
Au jour d'ouverture du procès en Angleterre de Julian Assange, sa défense a dénonce les «mensonges» sur lesquels seraient fondées les poursuites. Mais, aussi, le fait qu'il ait été «menotté 11 fois, mis à nu deux fois» en une journée dans sa prison.
L'extradition potentielle du fondateur de WikiLeaks vers les Etats-Unis fait l'objet d'une série d'audiences à la cour de Woolwich à Londres. A cette occasion, des Gilets jaunes ont organisé une nouvelle opération coup de poing.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté à Londres pour demander la libération de Julian Assange. Parmi les personnalités présentes, l'ancien ministre grec Yanis Varoufakis ou le chanteur des Pink Floyd Roger Waters.
Jeremy Corbyn a demandé au Premier ministre britannique de refuser l'extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis. S'il n'a pas voulu se prononcer sur ce cas, Boris Johnson n'a toutefois pas fermé la porte à cette éventualité.
A Bruxelles, des associations ont organisé une journée dédiée à la liberté d'expression et d'information en soutien au lanceur d'alerte Julian Assange. Le cofondateur de Médiapart Edwy Plenel ou encore la présidente de la LDH ont fait le déplacement.
Après plusieurs mois de détention, Julian Assange vient d'être sorti de l'isolement dans lequel il était confiné grâce à la mobilisation de ses soutiens, parmi lesquels des détenus de la prison de Belmarsh qui se sont mobilisés en sa faveur.
«Troisième lot de documents», «falsification des faits» : WikiLeaks publie de nouveaux documents mettant en avant l'existence de désaccords au sein de l'OIAC au sujet de son rapport d'enquête sur la présumée attaque chimique du 7 avril 2018 à Douma.
Magali Forestier reçoit Jean-Paul Huchon, ex-président du conseil Régional d'Ile-de-France, Aurélie Gros, conseillère régionale d'Ile-de-France, ainsi que Ida de Chavagnac, lanceur d'alerte.
Un colloque organisé par le défenseur des droits, Jacques Toubon, avec un discours de clôture prononcé par le garde des Sceaux Nicole Belloubet, est venu souligner la caractère pionnier de la France en matière de protection des lanceurs d'alerte.