SIDERANT

La diplomatie française est montée au créneau après que la Russie a rendu publiques des correspondances entre Paris, Berlin et Moscou. La diplomatie russe entendait ainsi montrer sa bonne foi sur le dossier ukrainien, actuellement source de tensions.
Le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas a appelé l'Union européenne à supprimer le veto dont disposent les Etats membres pour que l'Europe ne soit plus «prise en otage». Berlin souhaite aussi s'écarter de la règle de l'unanimité.
Selon le chef de la diplomatie allemande, Berlin a donné plus de 750 millions d'euros «pour édifier des institutions démocratiques» dans les pays où s'est déroulé le printemps arabe, jugeant que les changements politiques prendraient «des années».
Le ministre allemand des Affaires étrangères a dénoncé à Moscou les récentes menaces américaines contre le projet de gazoduc sous-marin qui doit relier son pays à la Russie. Selon lui, ces pressions sont vouées à l'échec.
Le ministre allemand des Affaires étrangères a exprimé son «mécontentement» à son homologue américain après de nouvelles menaces de sanctions contre un port allemand de la Baltique pour sa participation au projet de gazoduc Nord Stream 2.
Berlin a opposé une fin de non-recevoir à Washington après la proposition du président américain de réintégrer la Russie dans un G7 élargi. Le ministre allemand des Affaires étrangères a notamment invoqué des raisons liées à l'Ukraine.
L'Allemagne a prévu des confinements au niveau local en cas de deuxième vague épidémique de Covid-19. L'armée pourra être également sollicitée pour effectuer des tests dans ce nouveau dispositif.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, s'est ému des insultes adressées en mars à des Français en déplacement dans les zones frontalières allemandes, dans le contexte de crise sanitaire du coronavirus.
Berlin a vivement critiqué les déclarations d'Emmanuel Macron, qui jugeait l'OTAN en état de «mort cérébrale». Pour Angela Merkel, l'alliance militaire héritée de la guerre froide représente toujours un «rempart» garantissant «la liberté et la paix».
Le ministre allemand des Affaires étrangères, dans une tribune publiée par Le Monde, falsifie et instrumentalise l’Histoire au service de «l’unification européenne». Analyse de Pierre Levy, du mensuel Ruptures.
L'Iran a franchi une nouvelle étape dans son plan de réduction de ses engagements relatifs à l'accord sur le nucléaire, en réaction aux sanctions américaines. Moscou pointe la responsabilité américaine, mais la France dénonce une «grave» décision.
Evoquant des difficultés juridiques, deux ministres allemands ont expliqué préférer que leurs ressortissants partis rejoindre Daesh soient jugés en Syrie ou en Irak, malgré l'injonction au retour des djihadistes européens de Donald Trump.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, souhaite que Moscou et les partenaires européens s'entendent pour éviter la sortie de la Russie du Conseil de l'Europe et assure que Berlin aidera à résoudre la crise.
Si Riyad a reconnu la mort du journaliste Jamal Khashoggi, la France et l'Allemagne ne semblent pas se satisfaire des premières explications officielles saoudiennes. Les deux pays et l'UE veulent une enquête approfondie sur les causes de son décès.
Alors que le ministère allemand de la Justice a présenté un projet de loi contraignant Facebook à supprimer en 24 heures les fausses informations et les propos incitant à la haine, le réseau social l'accuse de se «défausser de ses responsabilités».
Heiko Maas, le ministre allemand de la Justice, veut rencontrer les dirigeants européens de Facebook. Face aux publications racistes et anti-migrants, le garde des sceaux germanique veut un renforcement des règles sur le contenu abusif.