SIDERANT

L'ancien patron de l'alliance Renault Nissan, qui vit au Liban depuis sa fuite du Japon, est visé par un mandat d'arrêt international délivré par le parquet de Nanterre, dans le cadre d'une enquête pour abus de biens sociaux et blanchiment.
Le PNF a annoncé la mise en examen de Rachida Dati pour «corruption passive» et «recel d'abus de pouvoir» dans l'enquête sur ses prestations de conseil auprès de l'ex-PDG de l'alliance Renault-Nissan. Sa défense nie toute irrégularité.
Un ancien membre des forces spéciales américaines et son fils, accusés par la justice japonaise d'avoir aidé l'ancien patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn à gagner clandestinement le Liban, ont plaidé coupables ce 14 juin.
Le fisc français vérifie actuellement la domiciliation fiscale de l'ancien PDG de l'alliance Renault-Nissan aux Pays-Bas et a saisi certains de ses biens à titre conservatoire. Une procédure qui pourrait aboutir à un important redressement fiscal.
L'ex-PDG de Renault estime que sa démission n'en est pas une et réclame ses droits à la retraite. Il attaque donc son ancien employeur en justice et lui demande plus de 15 millions d'euros, en plus d'une retraite.
Magali Forestier reçoit Patrick Mennucci, ancien député et conseiller municipal de Marseille, Florian Philippot, président des Patriotes, ainsi que Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT Groupe PSA Peugeot-Citroën.
Dans La Grande Interview, Samantha Ramsamy reçoit Carlos Ghosn, ancien PDG de Renault-Nissan.
Dans La Grande Interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Jean-Yves Le Borgne, avocat de Carlos Ghosn.
Carlos Ghosn est convoqué ce 9 janvier par le parquet libanais pour être entendu dans le cadre du mandat d'arrêt émis par Interpol à la demande du Japon qui souhaite que l'ancien patron soit jugé sur son territoire.
Débat entre Bruno Gollnisch, membre du Bureau politique du Rassemblement national, et Jean-Luc Touly, président du Front républicain d'intervention contre la corruption (FRICC) au sujet de la fuite de Carlos Ghosn au Liban.
Après s'être échappé de Tokyo le 30 décembre, l'homme d'affaires franco-brésilio-libanais livre une conférence de presse ce 8 janvier à Beyrouth pour revenir sur l'affaire qui a entraîné sa chute.
La femme de l'ex-patron de Renault et Nissan est soupçonnée de fausses déclarations devant un tribunal de Tokyo en avril 2019. Elle a qualifié cette mesure de «vengeance des procureurs japonais» qui voudraient «mettre la pression» sur son mari.
Estimant que les droits de l'Homme ne sont «pas une affaire de classe», l'insoumis a jugé «inacceptable» le traitement réservé par la justice japonaise au millionnaire, inculpé pour malversations financières présumées et dit comprendre sa fuite.
Agnès Pannier-Runacher a affirmé ce 2 janvier sur BFMTV que Carlos Ghosn ne serait pas extradé s'il venait en France. Ce dernier, détenteur de la nationalité française, est actuellement au Liban après avoir fui le Japon, où il attendait d'être jugé.
Ce 30 décembre, l'ancien PDG de Renault-Nissan a quitté le Japon pour rejoindre le Liban, son pays natal, échappant ainsi à la justice japonaise. Mais des zones d'ombre persistent, notamment sur les conditions de son voyage.
Sous le coup de quatre inculpations pour corruption au Japon, où il était assigné à résidence, l'ancien patron de Renault et Nissan Carlos Ghosn est arrivé au Liban, selon un communiqué de ses porte-paroles du 31 décembre.
Dans le cadre de l’examen du budget 2020, les députés ont voté des amendements imposant aux dirigeants d’entreprises françaises réalisant plus de 250 millions d’euros de chiffres d’affaires d’être domiciliés en France.
Le gendarme américain de la Bourse a accusé l'ancien PDG de Renault-Nissan Carlos Ghosn et un de ses lieutenants, Greg Kelly, d'avoir dissimulé des millions de dollars en rémunération et en indemnité retraite.
Selon des informations rapportées par Marianne, Rachida Dati et Alain Bauer sont sous le coup d'une enquête du PNF pour des montants qui auraient été perçus via une filiale de Renault-Nissan. L'avocat de l'ancienne ministre a immédiatement démenti.
Le groupe Renault étudie avec «intérêt» un projet de fusion avec l’italo-américain Fiat Chrysler qui aboutirait à la création du troisième constructeur automobile mondial. Paris et Rome ont apporté publiquement leur soutien à ce projet.