Mediapart révèle le 14 février un rapport diplomatique datant de 1994, révélant que la France a décidé de laisser s'échapper les responsables du génocide au Rwanda qui a fait environ 800 000 morts en 1994.
L'homme suspecté d'avoir mis le feu à la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes est passé aux aveux et a été écroué. Il est mis en examen «des chefs de destructions et dégradations par incendie» et risque jusqu’à 10 ans de prison.
Plus de 20 ans après l'attentat déclencheur du génocide au Rwanda, la cour d'appel de Paris a confirmé l'abandon des poursuites contre le président rwandais. Les avocats des parties civiles vont former un pourvoi en cassation.
L'homme d'affaire rwandais Félicien Kabuga a été arrêté en France pour son implication dans le génocide du Rwanda, qui a coûté la vie à près de 800 000 personnes en 1994. Il a été placé en détention et devrait être extradé vers la Haye.
Un Rwandais réfugié en Belgique risque actuellement trente ans de prison pour sa participation aux massacres de 1994. Sa condamnation constituerait une première pour la Belgique.
La zone de libre-échange continentale africaine entrera en vigueur le 31 mai. Si pour certains sa création constitue une aubaine pour stimuler les économies africaines, d’autres se montrent bien plus critiques sur l’utilité d’un tel dispositif.
Jean-Christophe Rufin, médecin et écrivain, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
A l’occasion de la 7è édition de l’Africa CEO Forum à Kigali, au Rwanda, Samantha Ramsamy reçoit son président Amir Ben Yahmed dans La Grande Interview.
L'incident diplomatique n'était pas loin. Lors des commémorations au mémorial du génocide rwandais à Kigali, Jean-Claude Juncker a mal maîtrisé la trajectoire de son flambeau, qui a failli toucher la main du président Paul Kagame.
Emmanuel Macron a annoncé vouloir faire du 7 avril «une journée de commémoration du génocide des Tutsi», en ce jour où le Rwanda se remémore, 25 ans après, le massacre d'au moins 800 000 personnes.
Une campagne visant à dénoncer «les complicités françaises» dans le génocide au Rwanda en 1994, a été lancée le 4 avril par l’association Survie. En l'absence d'une déclassification des archives, le rôle joué par Paris à l'époque demeure controversé.
Сe petit pays de l’est de l’Afrique est plongé dans la tourmente depuis 2015, sur fond de tensions ethniques. La situation ne cesse d’empirer et frôle une catastrophe humanitaire. Les institutions de l'ONU appellent à des mesures urgentes.
Les femmes rwandaises, depuis longtemps victimes d’oppression et de discrimination sexuelle, se chargent aujourd’hui, en tant que majorité de la population, de reconstruire le pays après le génocide de 1994.
Les habitants de la République démocratique du Congo (RDC) sont appelés aux urnes le 30 décembre. En proie à une violence quasi-endémique, le pays retient son souffle avant la tenue d'une élection qui devra tourner (ou pas) la page de l'ère Kabila.
Une vidéo diffusée par Mediapart révèle l'inaction d'un colonel français apprenant l’existence d’un massacre de Tutsis au Rwanda en juin 1994. RT France a recueilli l'avis de spécialistes sur la responsabilité supposée de la France dans le génocide.
Alors qu’Emmanuel Macron s’est défendu de toute hégémonie de la France sur la francophonie, le rôle joué par Paris dans le choix de la Rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de l’organisation fait l'objet de critiques.
Dans les années 1990, le Rwanda a été le théâtre de l’un des plus importants génocides jamais perpétrés. Cette page de l’Histoire est-elle aujourd'hui complètement tournée ?
Vieux serpent de mer, la création d'une monnaie unique africaine a été une nouvelle fois évoquée, par Pretoria, à la veille du sommet extraordinaire de l'Union africaine qui s'est tenu le 20 mars et a vu la signature d'un traité de libre échange.
Lors d'une réunion de l'Union africaine (UA) à Kigali, les représentants de 44 Etats d'Afrique se sont mis d'accord pour créer une zone de libre-échange. Grand absent, le Nigéria, deuxième économie du continent, a pour le moment refusé de s'engager.
Forcés de travailler dans les mines, les Congolais bénéficient peu des richesses naturelles que possède leur pays. RTDoc part en quête de témoignages pour mieux comprendre ce pays dans une perspective à la fois intime et historique.