SIDERANT

Le Rwanda s'est réjoui que l'accord passé avec Londres sur l'expulsion des migrants vers son territoire soit validé par la justice britannique. Il s'agit selon Kigali d'une mesure «positive» pour résoudre la crise mondiale des migrations.
Des juges d'instruction parisiens ont ordonné un non-lieu général dans l'enquête sur l'inaction reprochée à l'armée française lors des massacres de Bisesero fin juin 1994, pendant le génocide des Tutsi au Rwanda.
Dans Africonnect, Samantha Ramsamy reçoit Patrick Mbeko, spécialiste de la région des grands lacs et auteur, et Alfred Shango, professeur à l'université Sorbonne Paris 3.
La ville congolaise de Goma, frontalière du Rwanda, a été le théâtre d'une manifestation contre le président rwandais Paul Kagame accusé de soutenir le M23, un groupe rebelle actif dans l'est du pays à l'origine de plusieurs attaques meurtrières.
Une centaine de Rwandais sont arrivés sur l'île d'Idjwi, au sud de la République démocratique du Congo, expliquant vouloir ainsi «fuir le vaccin» contre le Covid-19. Les autorités congolaises s'interrogent toutefois sur leurs véritables intentions.
Emmanuel Abayisenga, qui s'est accusé d'avoir tué le prêtre Olivier Maire le 9 août, un an après avoir avoué l'incendie de la cathédrale de Nantes, est un Rwandais arrivé illégalement en France en 2012 et décrit comme instable psychologiquement.
Connu pour sa ligne politique intransigeante sur les questions migratoires, le Danemark s'est doté d'une loi pour exporter ses demandeurs d'asile sur des territoires tiers, extérieurs à l'UE, le temps que la demande aboutisse.
Après le discours, salué par Jean-Luc Mélenchon, d'Emmanuel Macron au Rwanda qui a reconnu des «responsabilités» de la France mais pas sa «complicité» dans le génocide des Tutsi, Marine Le Pen a dénoncé une repentance mal venue.
Le président français a tenu un discours depuis le Mémorial du génocide de Kigali. Ayant promis «une page nouvelle de notre relation avec le Rwanda et l’Afrique», Emmanuel Macron a expliqué venir «reconnaître» les «responsabilités» de la France.
Paul Kagame, président du Rwanda, a certifié dans une interview à RFI et France 24 qu'il n'y avait eu aucun crime dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). Deux guerres avaient frappés ce pays entre 1996 et 1997 et de 1998 à 2003.
Après 15 ans de présidence de Pierre Nkurunziza, une nouvelle page se tourne dans l’histoire du Burundi, du moins dans le domaine diplomatique. A quoi ressemble le Burundi de l’après Nkurunziza ?
Ce 3 mai, le parquet de Paris a requis un non-lieu dans l'enquête sur l'inaction reprochée à l'armée française lors des massacres de Tutsi fin juin 1994. Les cinq hauts gradés français dans le collimateur de la justice n'ont pas été mis en examen.
Le gouvernement rwandais a reçu un rapport sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi qui conclut que le pouvoir français porte des «responsabilités lourdes et accablantes» dans la tragédie de 1994.
Alors que ce 7 avril marque les 27 ans du début du génocide rwandais, les autorités françaises ont décidé d'ouvrir au public des archives de François Mitterrand et de son Premier ministre Edouard Balladur allant de 1990 à 1994.
Selon les conclusions du rapport d'une commission d'historiens publié ce 26 mars et remis au président Emmanuel Macron, la France porte des «responsabilités lourdes et accablantes» dans la dérive ayant abouti au génocide des Tutsi en 1994.
Mediapart révèle le 14 février un rapport diplomatique datant de 1994, révélant que la France a décidé de laisser s'échapper les responsables du génocide au Rwanda qui a fait environ 800 000 morts en 1994.
L'homme suspecté d'avoir mis le feu à la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes est passé aux aveux et a été écroué. Il est mis en examen «des chefs de destructions et dégradations par incendie» et risque jusqu’à 10 ans de prison.
Plus de 20 ans après l'attentat déclencheur du génocide au Rwanda, la cour d'appel de Paris a confirmé l'abandon des poursuites contre le président rwandais. Les avocats des parties civiles vont former un pourvoi en cassation.
L'homme d'affaire rwandais Félicien Kabuga a été arrêté en France pour son implication dans le génocide du Rwanda, qui a coûté la vie à près de 800 000 personnes en 1994. Il a été placé en détention et devrait être extradé vers la Haye.
Un Rwandais réfugié en Belgique risque actuellement trente ans de prison pour sa participation aux massacres de 1994. Sa condamnation constituerait une première pour la Belgique.