ANALYSE

Commentant la récente mise en ligne d'une vidéo de l'assaut du Capitole qui montre le militant pro-Trump Jacob Chansley appelant ses camarades à rentrer chez eux, Elon Musk a demandé la libération de cette figure emblématique du 6 janvier 2021.
Lors de l'audition au Congrès de Matt Taibbi pour sa contribution aux «Twitter files», des élus démocrates ont voulu le mettre en difficulté tant en cherchant à le discréditer personnellement qu'en essayant de lui faire révéler ses sources, en vain.
Ce 10 mars, le porte-parole du Kremlin a suggéré que «la main» des Etats-Unis tentait d'ajouter des «éléments antirusses» aux mobilisations anti-gouvernementales en Géorgie qui visaient à l'origine un projet de loi sur le financement des ONG.
La Chine a accusé les Etats-Unis d'attiser les tensions entre les deux puissances et mis en garde contre le risque de «confrontation» si Washington ne faisait rien contre le «néo-maccarthysme hystérique» dirigé contre Pékin.
Dans un discours au CPAC qui cimente sa candidature pour 2024, l'ancien président américain s'est positionné en tant que dernier rempart face à «l'Etat profond» américain, soulignant être en mesure d'empêcher une troisième guerre mondiale en Ukraine.
Des centaines de manifestants ont protesté le 19 février devant le mémorial de Lincoln à Washington pour dénoncer en particulier l'implication des Etats-Unis dans le conflit en Ukraine.
A l'approche d'une importante parade militaire, l'armée nord-coréenne a déclaré qu'elle allait étendre et intensifier ses exercices militaires en vue de «la préparation à la guerre», selon les médias publics.
Défendant la position de Pékin qui promeut des pourparlers de paix, la diplomatie chinoise a mis Washington face à ses responsabilités : «Si les Etats-Unis souhaitent réellement une fin rapide à la crise, ils doivent cesser d'envoyer des armes.»
Des assistants de Joseph Biden expliquent avoir trouvé de nouveaux documents confidentiels dans un endroit séparé du bureau qu'il a utilisé après avoir quitté l'administration Obama. Cette découverte survient dans la foulée d'une annonce similaire.
L'ambassade du Venezuela à Washington ferme ses portes. Son personnel était jusqu'alors composé de partisans de Juan Guaido, dont la légitimité vient d'être une nouvelle fois remise en cause au sein même de l'opposition vénézuélienne.
A Washington, Emmanuel Macron a salué «une alliance plus forte que tout» entre les deux nations au regard de leur histoire. Le président français a en même temps été pour le moins critique sur les mesures économiques prises par Joe Biden.
Bénéficiant désormais d'une courte majorité à la Chambre des représentants, les républicains entendent ouvrir plusieurs enquêtes, dont certaines portent directement sur l'entourage de l'actuel président américain.
L'ancien président américain a officialisé sa candidature à la prochaine élection présidentielle aux Etats-Unis, en dépit d'élections de mi-mandat aux résultats mitigés pour le camp républicain, traversé par des dissensions.
Secrétaire d'Etat pendant presque trois ans sous Donald Trump après avoir été à la tête de la CIA pendant plus d'une année, Mike Pompeo s'est fait invectiver lors de son déplacement le 3 novembre dans le Connecticut, à l'université de Yale.
En déplacement à Rome, Emmanuel Macron a rencontré la nouvelle présidente du Conseil des ministres. Selon Rome, l'entretien, «cordial et productif», a porté sur «la flambée des prix de l'énergie», le «soutien à l'Ukraine» ou encore l'immigration.
Joe Biden, le président étasunien le plus âgé jamais élu, a annoncé réfléchir à une éventuelle candidature pour un second mandat, sans toutefois s'avancer afin d'éviter que s'appliquent les règles électorales. Donald Trump en caresse aussi l'idée.
La disgression du président américain sur le Pakistan, «l'une des nations les plus dangereuses au monde», n'a pas été du goût d'Islamabad qui a décidé de convoquer le 15 octobre l'ambassadeur des Etats-Unis pour s'expliquer.
Joe Biden et l'exécutif étasunien étaient au diapason pour soutenir les manifestations en Iran le 14 octobre en recevant des militants issus de la diaspora iranienne, alors que Téhéran accuse Washington de mener une politique de déstabilisation.
En réponse au refus des pays de l’Opep+ de s’aligner sur les demandes de Washington en matière de production pétrolière, plusieurs élus démocrates appellent à sanctionner Riyad. Au Congrès, un projet de loi anti-Opep refait surface.
Après sa rencontre avec Joe Biden, Cyril Ramaphosa a critiqué un texte censé «contrer les activités néfastes de la Russie en Afrique». Son adoption «donnerait l'impression que l'Afrique est punie parce qu'elle a la Russie pour partenaire», juge-t-il.