Du 19 décembre 2020 au 8 janvier 2021, les voyageurs allant en Corse devront effectuer un test PCR 72 heures avant leur arrivée. Celui-ci pourra leur être demandé à leur retour sur le continent. Toute infraction est punie d'une amende de 135 euros.
Des mesures de protection ont été activées sur l'ensemble du territoire métropolitain afin de limiter la propagation de ce virus, sans danger pour l'homme mais potentiellement dévastateur pour l'économie de la filière avicole.
Les agriculteurs corses feront appel à 902 ressortissants marocains afin de pallier le manque de main-d'œuvre lors de la récolte des clémentines. Les travailleurs marocains sont attendus sur l'île de beauté après avoir passé un protocole sanitaire.
D'après une étude comparative mise en ligne par l'Insee, la Corse est la région la plus touchée économiquement par le coronavirus, devant l'Ile-de-France ou PACA. A l'inverse, la Bretagne, les Hauts-de-France ou les DROM encaissent mieux le choc.
Le parquet national antiterroriste s'est saisi après la diffusion d'un communiqué et d'une vidéo dans laquelle des individus cagoulés et armés se revendiquant du premier FLNC, annoncent la reconstitution de ce mouvement.
Une importante trombe marine a touché le 15 juillet dans la matinée le port de Bastia, en Corse. Les autorités ont placé le département en alerte orange.
Le chef de l’Etat est arrivé ce 4 avril à Cozzano, en Corse-du-Sud, ultime étape du grand débat national. Comme pressenti, son arrivée sur l’île de Beauté a engendré de nombreux mouvements de protestations dont une opération «Ile morte».
Le chef d'Etat visite la Corse le 4 avril, mais des élus et syndicats appellent à une journée «île morte» pour protester contre sa venue. En signe de solidarité, les commerçants sont notamment invités à afficher un drapeau corse dans leurs vitrines.
A quelques jours d'une visite du président de la République sur l'Île de beauté, des explosifs ont été découverts à proximité de centres du Trésor public à Bastia, entraînant la saisie de la section antiterroriste du parquet de Paris.
Grande cause du quinquennat, la lutte pour l'égalité homme-femme se traduit notamment par des mesures contre les violences sexistes. Pourquoi, dès lors, le nombre de meurtres de femmes ne diminue-t-il pas ? Des spécialistes répondent à RT.
Le parquet d'Ajaccio ayant fait appel, l'aménagement de la peine de deux ans de prison ferme de Jérôme Cahuzac sera à nouveau examinée par un juge le 19 mars. L'ancien ministre, qui réclame la pose d'un bracelet électronique, risque l'incarcération.
Une personne est décédée et cinq autres ont été blessées à Bastia par un homme qui s'est ensuite suicidé à son domicile. A l'origine du drame, un différend autour du chien du forcené, qui aurait mordu une voisine plusieurs années auparavant.
Le président nationaliste de l'Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, a annoncé qu'il refusait de rencontrer le Premier ministre le 2 juillet pour conclure un cycle de réunions sur l'avenir de l'île, dénonçant le «mépris» du gouvernement.
Alors que L'Aquarius a vu l'Italie et Malte lui interdire d'accoster dans leurs ports, le président du conseil exécutif de Corse a proposé de l'accueillir. Rome a par la suite annoncé un plan d'acheminement des migrants vers l'Espagne.
Politiques et internautes ont été nombreux à condamner les insultes, notamment anti-françaises, de supporters d'Ajaccio contre les footballeurs du Havre. Le président de l'Assemblée corse, lui, voit dans ces réactions de la «haine anti-corse».
Les joueurs du Havre ont été violemment insultés par des supporters d'Ajaccio. Leur bus a été caillassé et le match reporté par le préfet. Alors que les joueurs normands ont été choqués par ces actes, la Ligue a refusé une rencontre à huis clos.
Condamné en première instance à 3 ans de prison ferme pour fraude fiscale et blanchiment, Jérôme Cahuzac sera fixé sur son sort le 15 mai. En amont, le magazine Paris Match s’applique à décrire la «descente aux enfers» de l’ancien ministre.
Pour le parti nationaliste Corsica Libera, le président de la République a fait preuve de «condescendance malsaine» et de «mépris» envers le peuple corse et ses symboles lors de son déplacement, affichant la volonté «néocoloniale» de l'Etat français.
Lors de son discours très attendu à Bastia, le président de la République a finalement balayé la quasi-totalité des revendications des nationalistes corses, telles que la création d'un statut de résident et la «co-officialité» de la langue corse.
Emmanuel Macron se rend en Corse les 6 et 7 février pour rendre hommage au préfet Erignac, tombé sous les balles de ses assassins le 6 février 1998. Le président discutera, lors de cette visite, d'autonomie avec les chefs de file nationalistes.