Les avocats de l'ancien président ont demandé l'arrêt immédiat du procès en destitution lors d'un argumentaire rendu au Congrès à la veille de l'ouverture des débats. Les élus démocrates ont rétorqué que les preuves étaient «accablantes».
45 sénateurs républicains américains sur 50 se sont opposés à un nouveau procès en destitution de Donald Trump, laissant peu de doute sur l'issue de la procédure. Au moins 17 d'entre eux sont nécessaires pour destituer l'ancien président.
La majorité au Sénat américain dépend de l'issue du scrutin dans l'Etat de Géorgie. L'enjeu est d'importance : «si les républicains conservent le contrôle du Sénat, la présidence Biden sera entravée» analyse Chadwick Moore, journaliste politique.
Assurant partager les inquiétudes de millions d'Américains concernant la fraude électorale lors de la dernière élection, le vice-président américain Mike Pence a apporté son soutien aux sénateurs qui contesteront le vote du Collège électoral.
A 55 ans, Kamala Harris, sénatrice de l’Etat de Californie et ancienne procureure, devient la colistière du candidat démocrate Joe Biden. Elle sera sa vice-présidente si celui-ci est élu. Un choix critiqué par Donald Trump.
Menaces de sanctions, reproches et accusations mutuelles : entre les Etats-Unis et la Chine, l’escalade ne fait que s’accélérer. Des griefs commerciaux à l'épidémie de Covid-19, quels sont les dessous de cette confrontation ?
La Chambre des représentants des Etats-Unis a voté une mesure visant à retirer les statues confédérées du Capitole à Washington. Cette décision doit encore être approuvée par le Sénat et le président américain Donald Trump.
L'exhumation d'un témoignage, anonyme mais attribué à la mère d'une femme accusant Joe Biden d'agression sexuelle, met le candidat démocrate à la Maison Blanche dans l'embarras. S'il ne s'est toujours pas exprimé, son entourage nie les accusations.
Les parlementaires américains ont validé un gigantesque plan de relance de 2 200 milliards de dollars pour soutenir l'activité aux Etats-Unis et la recherche médicale en pleine crise du Covid-19.
A six mois de l'élection présidentielle, l’effondrement des cours du brut, qui pourrait entraîner des faillites dans le secteur du pétrole de schiste aux Etats-Unis, préoccupe le locataire de la Maison Blanche.
Le site du Selective Service System est resté inaccessible en raison d'un trafic trop important après l'opération américaine menée en Irak le 3 janvier. Une conscription d'office ne semble néanmoins pas envisageable.
Le commissaire européen au Commerce et plusieurs ministres et hommes politiques allemands ont vivement réagi au nouveau projet de sanctions américaines contre le gazoduc Nord Stream 2. Ces sanctions font partie de la loi de programmation militaire.
Le président du comité des relations extérieures du Sénat américain, Jim Risch, a annoncé de nouvelles sanctions contre les individus et entreprises engagés dans la construction du gazoduc. L'objectif n'a pas changé : bloquer sa réalisation.
La Chambre des représentant a approuvé une résolution permettant de mener des auditions publiques dans le cadre de l'enquête lancée par les démocrates contre Donald Trump pour le destituer. Il y a cependant peu de chances que celle-ci aboutisse.
Après les accusations des démocrates concernant une discussion qu'il a eu avec Zelensky et le lancement d'une procédure de destitution, Donald Trump a rejeté fermement les arguments de ses opposants, les qualifiant de «blague».
Mis en cause par les démocrates à propos d'un entretien téléphonique avec le président ukrainien, Donald Trump s'est fermement défendu, demandant à ce que «quelqu'un se penche sur Joe Biden», dont le fils était visé par une enquête en Ukraine.
Le comité des Affaires étrangères du Sénat américain a adopté un nouveau projet de sanctions visant le gazoduc sous-marin Nord Stream 2 qui doit relier la Russie et l'Allemagne. Ses promoteurs affirment toutefois que sa construction se poursuit.
Selon CNN, le Pentagone s’apprêterait à déployer 500 soldats supplémentaires en Arabie Saoudite pour contrer la menace iranienne. Une annonce non confirmée par l’exécutif américain alors que la monarchie dérange de plus en plus outre-Atlantique.
Selon des informations du NY Times, le président américain aurait pensé à frapper l'Iran, en représailles à la perte d'un drone, avant de se rétracter. Cet incident intervient alors que les tensions entre les deux nations ne cessent de s'exacerber.
Donald Trump a bloqué une résolution du Congrès exigeant la fin du soutien logistique de Washington à la coalition menée par Riyad au Yémen. Pour les rebelles houthis, les Etats-Unis portent «la responsabilité des massacres» qui frappent le pays.