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D'après le chef des Républicains au palais du Luxembourg, les élus de droite n'auront guère à se forcer pour voter une réforme qu'ils appellent de leurs vœux depuis plusieurs années. Plusieurs figures du parti expriment cependant des réserves.
Une proposition de résolution déposée par des élus de la Nupes appelant à condamner sans appel la politique israélienne à l'égard des Palestiniens a été très critiquée par le Crif et plusieurs personnalités politiques, de droite comme de gauche.
Le Premier ministre s'est vu reprocher un manque d'empathie et d'humanité après avoir invité une femme en fauteuil roulant qui lui faisait part de sa situation, à revenir vers l'emploi, au cours d'un échange sur France Bleu.
Frédéric Taddeï reçoit François Bousquet , Charles Consigny, Aurélie Gros et William Thay .
La région Hauts-de-France a annoncé suspendre les paiements dus à la SNCF en raison des dysfonctionnements, retards et suppressions de trains sur le réseau TER, qui n'ont pas connu d'amélioration malgré un plan de redressement lancé en octobre.
De nombreuses voix issues majoritairement de la droite mais aussi de la gauche se sont élevées après la déclaration du ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu affirmant que le gouvernement était «prêt à parler» de l'autonomie de la Guadeloupe.
La mort de 27 migrants dans le naufrage d'une embarcation dans la Manche a entraîné de nombreuses réactions de la part d'associations, de riverains et de responsables politiques. Beaucoup d'entre eux dénoncent le rôle des passeurs dans ce drame.
Le président de la Région Paca a annoncé le 24 novembre quitter Les Républicains. La veille, il avait pourtant annoncé son soutien à Xavier Bertrand pour le congrès du parti. Vers un horizon macronien pour Renaud Muselier ?
Les deux candidats à l'investiture du parti Les Républicains ont expliqué qu'ils pourraient envisager de reconfiner les personnes non-vaccinées en cas de recrudescence de la pandémie. Les trois autres concurrents se sont opposés à l'idée.
Une foule de politiques, notamment les candidats proclamés à l’élection présidentielle de 2022, se sont pressés sur la tombe de Charles de Gaulle pour commémorer le 51e anniversaire de sa disparition.
Au cours du premier des quatre débats télévisées, les candidats à l'investiture de LR pour la présidentielle 2022 ont montré qu'ils étaient d'accord dans les grandes lignes sur quasiment tous les sujets, à quelques détails près.
Malgré des sondages en berne, l'ancien commissaire européen s'est assuré le soutien d'une majorité de cadres LR et espère créer la surprise lors du congrès du parti le 4 décembre, qui doit désigner le candidat de la droite à la présidentielle 2022.
Quittant leur famille politique en 2017 et 2019, les deux candidats à la présidentielle Xavier Bertrand et Valérie Pécresse ont finalement décidé de reprendre leur carte chez LR, dans le but d'être investi par le parti. Un retournement de veste ?
Alors qu'il n'a pas déclaré sa candidature à la magistrature suprême, le polémiste Eric Zemmour – qui occupe l'espace médiatique depuis plusieurs semaines – dépasse pour la première fois dans un sondage d'intentions de vote le candidat de la droite.
Selon Supercollectif, un institut créé par Le Point et Hypermind, Eric Zemmour serait le candidat de droite ayant le plus de chance d'être élu président de la république en 2022, devant Xavier Bertrand et Marine Le Pen.
Marine Le Pen, Michel Barnier, Xavier Bertrand ou encore Eric Ciotti, souhaitent proposer un référendum sur l'immigration en cas de victoire en 2022 alors qu'Eric zemmour occupe l'espace médiatique sur ce thème.
La droite dénonce à l'unisson les promesses et les dépenses d'Emmanuel Macron. Des membres notamment de Les Républicains y voient une manœuvre prosaïquement électoraliste en vue de l'élection présidentielle.
Le candidat à la présidentielle a illustré sa crainte de «guerre civile» par l'exemple de «Marseille et de certains villes, [où] vous avez un check-point à l'entrée d'un quartier [...] vous avez des gangs qui se battent avec des kalachnikovs».
Des milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs villes de France pour défendre les chasses traditionnelles et la ruralité. Parmi les revendications, un rejet des décisions venant de Paris et la protection des traditions régionales.
Le personnel politique français a réagi au 20e anniversaire des attentats meurtriers du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. Emmanuel Macron a par exemple tweeté : «Nous n'oublierons jamais. Nous combattrons toujours pour la liberté.»