SIDERANT

Fragilisé depuis plusieurs semaines par une majorité chancelante, Mario Draghi a remis sa démission à la suite d'un vote de confiance au Sénat boycotté par le M5S. Une démission toutefois rejetée par le président italien, qui désire un nouveau vote.
Alors que le Mouvement 5 Etoiles semblait avoir réglé ses problèmes de leadership en août 2021, un tribunal de Naples a suspendu les nouveaux statuts du mouvement qui avaient entériné les fonctions de président occupées par Giuseppe Conte.
L’élection présidentielle en Italie aura lieu le 24 janvier. Si Mario Draghi est volontiers présenté comme le successeur de Mattarella, le rapport de force entre les partis italiens pourrait aussi permettre l’accès au Quirinal à… Silvio Berlusconi.
La gauche italienne est passée par diverses phases depuis l'après-guerre jusqu’à la consécration de Matteo Renzi en 2014. D’abord acquise au socialisme, voire au marxisme, elle est aujourd'hui définitivement acquise à l'économie de marché et à l'UE.
L'ancien Premier ministre italien Giuseppe Conte a officiellement pris les rênes du Mouvement 5 Etoiles (M5S), le plus grand parti au Parlement à Rome, aujourd'hui profondément divisé et à la traîne dans les sondages d'opinion.
Le duel qui opposait Giuseppe Conte à Beppe Grillo vient de connaître son épilogue avec un accord qui répartit les prérogatives de chacun à l'avantage de l'ancien président du Conseil italien tandis que l'influence de Beppe Grillo est amoindrie.
Un bras de fer oppose Beppe Grillo, fondateur du Mouvement 5 Etoiles, à Giuseppe Conte qui souhaitait refonder le parti. Une querelle qui s'est envenimée au point que le mouvement créé en 2009 risque d'éclater si Giuseppe Conte venait à le quitter.
Emmanuel Macron, Boris Johnson ou encore Giuseppe Conte ont félicité Joe Biden, après l'annonce de sa victoire à la présidentielle américaine par les grands médias. Certains ont loué, à cette occasion, l'importance de la relation «transatlantique».
Les écoles de Bologne se débarrassent des pupitres doubles au profit de bureaux individuels. C’est une des mesures mises en place afin de garantir la distanciation physique dans les écoles, fermées depuis le 9 mars pour cause de coronavirus.
Comment l'opinion publique a-t-elle évolué au cours de ces derniers mois de pandémie vis-à-vis de ses dirigeants et de leur gestion de la crise ? En France, en Allemagne et au Royaume-Uni, les sondages révèlent des situations différentes.
Le président du Conseil des ministres de l'Italie Giuseppe Conte a été auditionné pendant près de trois heures, le 12 juin, par le procureur de Bergame (Lombardie) sur la gestion par le gouvernement de la crise du coronavirus.
Le Premier ministre italien s'est félicité de la régularisation temporaire des travailleurs clandestins du secteur agricole. Matteo Salvini, quant à lui, a tancé une décision aux conséquences en réalité plus vastes.
Le président russe a commenté l'aide apportée à l'Italie face à la pandémie de coronavirus. Selon lui, une coopération gagnant-gagnant est à l'origine de cette opération.
Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte a annoncé une prolongation jusqu'au 3 mai du confinement national et des restrictions en termes de circulation de la population.
«La simple insinuation m'offense» : le Premier ministre italien a sèchement répondu à la BBC, selon qui la Russie aurait pu conditionner son aide médicale à l'Italie. Il a par ailleurs estimé que la pandémie était une menace existentielle à l'UE.
La présidente de la Commission européenne a présenté ses excuses à Rome, reconnaissant le manque d'aide apporté par l'UE. Elle a promis un mécanisme de prêts de 100 milliards d'euros, mais doit pour ce faire convaincre tous les Etats membres.
L’idée d’un vaste plan de relance financé par des emprunts européens fait son chemin dans certaines capitales. Après avoir parlé de «coronabonds», Madrid et Rome font désormais référence à un «plan Marshall».
Après avoir constaté une recrudescence des incidents dans les supermarchés en pleine pandémie de coronavirus, ainsi que des appels au pillage sur Internet, le gouvernement italien a annoncé un plan de soutien aux plus démunis de 400 millions d'euros.
Un groupe de médecins militaires russes est arrivé en Italie le 26 mars afin d'épauler le pays dans la lutte contre l'épidémie. Il s'est rendu à Bergame, au cœur de la pandémie. Sur place, ils ont commencé par examiner les hôpitaux de la ville.
L’idée d’une émission de dette au nom de la zone euro fait son chemin. Elle est soutenue par neuf dirigeants européens dont Emmanuel Macron et a été évoquée en visio-conférence par la présidente de la BCE Christine Lagarde.