Emmanuel Macron, Boris Johnson ou encore Giuseppe Conte ont félicité Joe Biden, après l'annonce de sa victoire à la présidentielle américaine par les grands médias. Certains ont loué, à cette occasion, l'importance de la relation «transatlantique».
Les écoles de Bologne se débarrassent des pupitres doubles au profit de bureaux individuels. C’est une des mesures mises en place afin de garantir la distanciation physique dans les écoles, fermées depuis le 9 mars pour cause de coronavirus.
Comment l'opinion publique a-t-elle évolué au cours de ces derniers mois de pandémie vis-à-vis de ses dirigeants et de leur gestion de la crise ? En France, en Allemagne et au Royaume-Uni, les sondages révèlent des situations différentes.
Le président du Conseil des ministres de l'Italie Giuseppe Conte a été auditionné pendant près de trois heures, le 12 juin, par le procureur de Bergame (Lombardie) sur la gestion par le gouvernement de la crise du coronavirus.
Le Premier ministre italien s'est félicité de la régularisation temporaire des travailleurs clandestins du secteur agricole. Matteo Salvini, quant à lui, a tancé une décision aux conséquences en réalité plus vastes.
Le président russe a commenté l'aide apportée à l'Italie face à la pandémie de coronavirus. Selon lui, une coopération gagnant-gagnant est à l'origine de cette opération.
Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte a annoncé une prolongation jusqu'au 3 mai du confinement national et des restrictions en termes de circulation de la population.
«La simple insinuation m'offense» : le Premier ministre italien a sèchement répondu à la BBC, selon qui la Russie aurait pu conditionner son aide médicale à l'Italie. Il a par ailleurs estimé que la pandémie était une menace existentielle à l'UE.
La présidente de la Commission européenne a présenté ses excuses à Rome, reconnaissant le manque d'aide apporté par l'UE. Elle a promis un mécanisme de prêts de 100 milliards d'euros, mais doit pour ce faire convaincre tous les Etats membres.
L’idée d’un vaste plan de relance financé par des emprunts européens fait son chemin dans certaines capitales. Après avoir parlé de «coronabonds», Madrid et Rome font désormais référence à un «plan Marshall».
Après avoir constaté une recrudescence des incidents dans les supermarchés en pleine pandémie de coronavirus, ainsi que des appels au pillage sur Internet, le gouvernement italien a annoncé un plan de soutien aux plus démunis de 400 millions d'euros.
Un groupe de médecins militaires russes est arrivé en Italie le 26 mars afin d'épauler le pays dans la lutte contre l'épidémie. Il s'est rendu à Bergame, au cœur de la pandémie. Sur place, ils ont commencé par examiner les hôpitaux de la ville.
L’idée d’une émission de dette au nom de la zone euro fait son chemin. Elle est soutenue par neuf dirigeants européens dont Emmanuel Macron et a été évoquée en visio-conférence par la présidente de la BCE Christine Lagarde.
Afin de remédier à l'afflux massif de patients atteints de Covid-19 qui saturent son système de santé, l'Italie se tourne désormais vers la Chine, Cuba et le Venezuela pour obtenir de l'aide tant matérielle qu'humaine. Quid de l'Union européenne ?
La pandémie de coronavirus continue de ravager l'Italie où elle a fait près de 800 morts en 24 heures, le 21 mars. Ainsi, le gouvernement italien a fait un «pas supplémentaire» en décidant de ralentir son «moteur productif», sans toutefois l'arrêter.
Le ministre français de l'Economie et des Finances a estimé que si elle n'aidait pas l'Italie, l'UE ne s'en relèverait pas. Il a aussi appelé les Etats membres à «se rassembler» pour faire face à la crise du coronavirus.
C'est un cap symbolique : la Chine a annoncé ce 19 mars l'absence de nouvelle contamination locale par le coronavirus. Le pays-épicentre de l'épidémie, qui redoute désormais les cas importés, a lancé une campagne d'aide internationale.
Interdiction de rassemblement, écoles fermées, championnat de football suspendu : le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte a détaillé, ce 9 mars, de nouvelles mesures draconiennes pour l'ensemble de son pays, durement frappé par le coronavirus.
Après une hausse fulgurante du nombre de contaminés par le coronavirus, le nord de l'Italie a été mis en quarantaine. En Lombardie, la psychose a gagné les habitants qui se ruent sur les supermarchés, créant des pénuries.
Alors que le nombre de cas dans le pays a bondi en quelques heures, l'Italie a instauré une zone de quarantaine qui concerne 52 000 habitants sur 11 communes, le Premier ministre a annoncé de sévères mesures pour faire respecter le confinement.