Giuseppe Conte a dû se défendre d'une charge de l'eurodéputé belge Guy Verhofstadt, qui l'accusait d'être la «marionnette» de la coalition gouvernementale italienne devant le Parlement européen. Matteo Salvini a lui aussi contre-attaqué.
Pour 2019, le gouvernement français avait basé son budget sur une croissance de 1,7% mais après la Banque de France et le FMI, la Commission fait des prévisions moins optimistes. La Cour des comptes, elle, estime les comptes publics «fragilisés».
Le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte a laissé entendre que son pays pourrait «exceptionnellement» accueillir des femmes et des enfants migrants. Le ministre de l'Intérieur a aussitôt réagi en menaçant à demi-mots de démissionner.
Décidément, la mode est aux gilets et aux codes couleurs pour exprimer la contestation politique. Après les Gilets jaunes, les Foulards rouges, les Gyros bleus et les Stylos rouges, voici les derniers arrivés, en Italie : les Gilets bleus.
A cause de la double peine du CICE, puis des récentes mesures annoncées par le gouvernement et le président de la République, la France va finir l’année 2018 lanterne rouge de la rigueur budgétaire européenne. Mais Bruxelles ne sanctionnera pas.
Après que le commissaire européen Pierre Moscovici a déclaré qu'un accord avec l'Italie ne pouvait être une discussion de «marchands de tapis», le ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini, s'est vexé et a exigé le respect des Italiens.
La conférence internationale sur la Libye organisée par l'Italie ces 12 et 13 novembre à Palerme, en Sicile, permettra-t-elle des avancées majeures ? L'expertise du philosophe et ancien professeur de droit économique Henri Temple.
Le chef du gouvernement italien se rend à Moscou pour développer les relations bilatérales, en dépit des sanctions européennes contre la Russie. La politique pro-russe de l'Italie sera-t-elle en mesure de faire bouger les lignes jusqu'à Bruxelles ?
La Commission européenne somme le gouvernement italien de réviser son projet de budget 2019, dans un délai de trois semaines. Pierre Moscovici dénonce «une déviation claire, nette, assumée» des règles européennes de la part de Rome.
En matière budgétaire, le gouvernement italien n'a pas cédé et s'affranchit de la Commission européenne pour fixer lui-même ses propres objectifs. Pour autant, Rome martèle qu'elle ne compte ni sortir de l'Union européenne, ni de la zone euro.
Revenu universel, hausse des investissements, annulation de la hausse de la TVA... : le budget du gouvernement italien prévoit 2,4% de déficit au lieu des 0,8% prévus par le gouvernement précédent. De quoi énerver Bruxelles et les marchés.
Selon un quotidien italien, les Américains sont prêts à acheter des obligations d'Etat italiennes afin de venir à la rescousse de son économie. La proposition aurait été formulée par Donald Trump début août. L'idée parait toutefois peu plausible.
Commentant la grève de la faim entamée par des migrants du Diciotti, stationné à Catane, Matteo Salvini a souligné que «cinq millions d'Italiens» vivaient la même situation au quotidien mais «dans le silence des journalistes et des bien-pensants»
Le Premier ministre italien Giuseppe Conte a été reçu à Washington par Donald Trump. Proches sur la question de l'immigration, les deux dirigeants ont aussi abordé d'autres dossiers comme les sanctions pesant sur Moscou ou le nucléaire iranien.
Repérée le 13 juillet dans les eaux internationales, une embarcation venant de Libye et transportant 450 migrants est l'objet d'un bras de fer entre l'Italie et Malte qui se refilent la patate chaude.
Au sommaire de ce Lab Eco : les divisions au sein de l’Europe & le prélèvement à la source va-t-il vraiment tout simplifier ?
La décision de l'UE de renforcer le contrôle de l'immigration, malgré des mesures aux contours flous, a suscité quelques critiques éparses à gauche. L'ONG Médecins sans frontières a condamné un accord contraire aux principes humanitaires.
Les dirigeants européens ont fini par s'entendre au sommet des 28 et 29 juin à Bruxelles, alors que la question migratoire semblait sur le point de faire chavirer l'Union. «L'Italie n'est plus seule», s'est réjouie Rome.
Giuseppe Conte avait prévenu que si le texte final sur lequel doivent s'entendre les dirigeants européens ne satisfaisait pas Rome sur le dossier migratoire, il n'y aurait pas de «conclusions partagées» à la fin de ce sommet européen crucial.
Alors que les Européens se divisent sur la gestion des flux de migrants clandestins, les deux vice-présidents du Conseil des ministres italien, Luigi di Maio et Matteo Salvini, ont dénoncé les prises de position de Paris sur ce dossier.