SIDERANT

Le ministre de l'Education nationale Pap Ndiaye revendique désormais le soutien du président Macron. Après une sortie musclée contre les médias CNews et Europe 1, il avait été recadré par la Première ministre Elisabeth Borne.
Sur les ondes de Radio J, le 9 juillet, le ministre de l'Éducation s’en est pris à Vincent Bolloré. Pap Ndiaye a qualifié l'homme d'affaires de «manifestement proche de l'extrême droite» et estimé que sa chaîne CNews faisait «du mal à la démocratie».
Fraîchement évincé du journal Valeurs actuelles, Geoffroy Lejeune est pressenti pour prendre la direction du JDD. Une nomination qui a immédiatement provoqué un séisme dans la rédaction, entrée en grève et soutenue par des personnalités de gauche.
Roch-Olivier Maistre a rappelé que CNews respectait strictement le pluralisme politique. De quoi contredire la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, qui évoquait la possibilité de ne plus accorder de licence au média détenu par Vincent Bolloré.
Le groupe Canal+, propriétaire des chaînes C8 et CNews, s'est inquiété des déclarations de la ministre de la Culture Rima Abdul Malak à l'encontre de deux de ses chaînes. Celle-ci a évoqué la possibilité d'un non-renouvellement de leur licence.
«Abruti», «tocard», «t'es une merde» : les propos d'Hanouna contre le député LFI Louis Boyard ont débouché sur une lourde amende de l'Arcom. Par ailleurs, la ministre de la Culture a dans son viseur le présentateur vedette de C8.
Face aux insultes de Cyril Hanouna qui ont visé le député LFI du Val-de-Marne Louis Boyard sur le plateau de TPMP, la présidente du groupe LFI-Nupes à l'Assemblée nationale a annoncé sur les réseaux sociaux une saisie du gendarme de l'audiovisuel.
La gestion du terminal à conteneurs du port autonome de Douala est l'objet d'une bataille féroce depuis près d'un an. Malgré une décision judiciaire en sa défaveur, le port camerounais entend évincer l’opérateur historique issu du groupe Bolloré.
Si l'origine des fonds de RT est constamment citée, il n'en va pas de même pour les autres chaînes et magazines. Pourtant, comprendre qui tient les cordons de la bourse dans le paysage médiatique permet une lecture plus avisée.
Le magazine en ligne Bastamag vient d'être relaxé dans la deuxième poursuite engagée par le groupe Bolloré. Même s'il perd ses procès, l'industriel attaque les journalistes traitant de ses activités en Afrique. Ils ont témoigné pour RT France.
France 2 et l'auteur du reportage «Bolloré, un ami qui vous veut du bien ?» ont été relaxés dans le procès intenté par le groupe Bolloré. Le tribunal a jugé que ce reportage diffusé dans l'émission Complément d'enquête n'était pas diffamatoire.
L'actionnaire de Canal+, Vincent Bolloré, a été placé en garde à vue puis mis en examen pour «corruption». Des voix s'élèvent en interne pour dénoncer le traitement médiatique de l'affaire par les chaînes du groupe, jugé insuffisant.
Vincent Bolloré, mis en examen pour «corruption» dans une enquête sur les conditions d'attribution de concessions portuaires en Afrique, a affirmé que ces soupçons se nourrissaient de la perception d'une Afrique comme «terre de non-gouvernance».
Le groupe Bolloré a annoncé la mise en examen de Vincent Bolloré. Il avait été présenté devant les juges d'instruction après sa garde à vue. Les enquêteurs soupçonnent des irrégularités dans l'obtention de concessions portuaires en Afrique.