BRAS DE FER

Une plaque en hommage à Arnaud Beltrame stipulant «victime de son héroïsme» fait polémique. Installée dans le jardin du même nom en février 2020, elle était jusqu'alors passée inaperçue. Des personnalités demandent la modification des inscriptions.
Plus d'un an après les attaques de l'Aude, où le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame et trois autres victimes avaient perdu la vie, la mère et les deux sœurs de Radouane Lakdim ont été placées en garde à vue après avoir été interpellées par la SDAT.
Presqu'un an après les meurtres commis par le terroriste franco-marocain Radouane Lakdim, l'enquête progresse. Selon les informations de RTL, les projets du djihadiste n'auraient pas été inconnus de son entourage.
Soupçonné d'avoir participé à la radicalisation de l'auteur de la prise d'otage mortelle du Super U de Trèbes, Arsène A., un quadragénaire connu des services de police, a été interpellé à son domicile à Carcassonne.
L'imame danoise Sherin Khankan, qui a ouvert la première mosquée 100% féminine d'Europe, a été reçue par le président le 26 mars à l'Elysée. Elle a loué «l'interprétation souple de la laïcité» d'un dirigeant qui «soutient le féminisme islamique».
Le 28 mars, aux Invalides, à Paris, un hommage national a été rendu au gendarme Arnaud Beltrame, tué par le terroriste islamiste Radouane Lakdim à Trèbes après avoir pris la place d'un otage. Le président de la République a prononcé l'éloge funèbre.
Fichée «S» en raison de sa «fréquentation des milieux islamistes radicaux», comme son compagnon qui a tué quatre personnes lors d'attentats dans l'Aude, Marine P. a été inculpée. Elle n'exprime pas d'indignation face à ces attaques.
Au lendemain des attaques de Trèbes et Carcassonne, les leaders des partis Les Républicains et Front national, Laurent Wauquiez et Marine Le Pen, ont vertement critiqué l'action gouvernementale et présidentielle en matière sécuritaire et migratoire.