BRAS DE FER

Ancien capitaine de l'armée syrienne devenu porte-parole du groupe terroriste Jaych al-Islam, Majdi Nema, alias Islam Allouche, est entré en France en toute légalité pour y démarrer une nouvelle vie d'universitaire spécialiste du Moyen-Orient.
Un conflit sanglant ravage actuellement la région de l'Ituri, en République démocratique du Congo. Selon l'ONU, les actes qui y sont perpétrés pourraient être assimilés à des «crimes contre l'humanité», voire à un «génocide».
«En l'espace de deux mois, 60 combattants sont tombés» et «175 autres militaires ont été blessés» dans le cadre de conflits contre les rebelles d'ADF, selon le porte-parole des forces armées de RDC, le général Léon-Richard Kasonga.
En 2014, un photographe italien et son interprète russe sont morts lors d'un reportage dans le Donbass. Un ancien membre de la garde nationale ukrainienne a été reconnu coupable par la justice italienne d'avoir pris part aux bombardements fatals.
Mettant en cause l'action de la Russie dans le nord de la Syrie, le président américain a appelé à mettre fin à ces opérations. Moscou à rétorqué en rappelant la présence de groupes terroristes repassés à l'offensive malgré un accord.
L'aviation française a bombardé le 3 février, dans le nord du Tchad, une colonne de 40 pickup d’un groupe armé en provenance de Libye. Selon le ministère français des armées, l’opération a été menée pour soutenir l’armée tchadienne.
2,8 millions d'habitants du sud des Philippines votent sur la création de la Région autonome Bangsamoro, après des années de lutte des rebelles du Front Moro islamique de libération et de récentes attaques de groupes liés à Daesh.
Les rebelles syriens du Front national de libération ont signé un accord avec le groupe Hayat Tahrir al-Cham, ancienne branche syrienne d'al-Qaïda. Le texte permet aux djihadistes de prendre le contrôle total de la province d'Idleb.
Les belligérants du Yémen sont réunis depuis le 6 décembre à Stockholm sous l'égide de l'ONU pour tenter de trouver une issue à la guerre. Suze van Meegen, chargée de plaidoyer au Conseil norvégien pour les Réfugiés, fait un point pour RT France.
Le 24 novembre, la ville d’Alep a été le théâtre d’une attaque chimique présumée, attribuée par Damas aux rebelles. Les autorités et la presse occidentales, si promptes à dénoncer le gouvernement syrien, demeurent cette fois plus réservées.
Appelant l'ONU à intervenir, le gouvernement syrien a accusé certains pays de jouer un rôle dans le transit de substances chimiques destinées aux rebelles. Damas accuse des groupes djihadistes d'être responsables d'une attaque chimique à Alep.
L'armée russe a ciblé des positions de groupes rebelles qu'elle accuse d'être à l'origine d'une attaque chimique menée la veille contre la ville d'Alep, et après laquelle plus de 100 personnes ont été hospitalisées.
Alors que plusieurs dizaines de civils auraient été touchés par une attaque au chlore attribuée à «des groupes rebelles et djihadistes» le 24 novembre à Alep, le spécialiste Hassan Majed analyse pour RT France la situation dans la région.
Plusieurs dizaines de civils ont été touchés par des gaz toxiques dans une attaque de roquettes menée, selon l'agence syrienne Sana et l'armée russe, par «des groupes rebelles et djihadistes». Du «gaz de chlore» aurait été utilisé.
En 24 heures, les combats pour le contrôle de la ville portuaire stratégique de Hodeida, dans l'ouest du Yémen, ont fait au moins 149 morts. Les rebelles houthis opposent une farouche résistance à la progression des forces pro-gouvernementales.
Le secrétaire général des Nations unies a désigné pour la Syrie Geir Pedersen, diplomate chevronné. Succédant à Staffan de Mistura, le nouveau représentant de l'ONU aura pour tâche délicate de faire émerger un consensus parmi les belligérants.
Empêtrée dans la guerre du Donbass, région industrielle et agricole, l'économie ukrainienne s'est effondrée. L'Ukraine va toutefois bénéficier d'une rallonge de la part du Fonds monétaire international et, peut-être, de l'Union européenne.
Un sommet quadripartite aura lieu à Istanbul, associant l'Allemagne la France, la Russie et la Turquie. En ligne de mire, la pérennisation du fragile accord conclu en septembre entre la Russie et la Turquie sur la démilitarisation d'Idleb.
Moscou et Ankara ont confirmé le retrait d'un millier de djihadistes et d'armes lourdes de la future zone démilitarisée d'Idleb, dernier grand bastion rebelle en Syrie. Les deux pays se sont portés garants d'un accord convenu le 17 septembre.
Le groupe rebelle Jaish al-Ezza a annoncé le 29 septembre rejeter l'accord conclu entre Ankara et Moscou sur la création d'une zone démilitarisée dans la province d'Idleb, en Syrie, devenant la première faction rebelle à refuser cet accord.