A l'occasion d'une rencontre à Budapest le 1er avril, Viktor Orban, Matteo Salvini et Mateusz Morawiecki ont convenu de travailler à une alliance des forces conservatrices en Europe. Un nouveau groupe au Parlement européen pourrait voir le jour.
«Les services du parquet de Palerme réclament une inculpation et un procès contre moi pour enlèvement», a écrit le sénateur italien, mis en cause pour avoir interdit le débarquement de migrants récupérés en mer par l'ONG Open Arms en août 2019.
Les parti M5S et de la Ligue, les deux principales formations politiques représentées au Parlement italien, n'ont pas fermé la porte à l'idée d'un gouvernement de coalition formé derrière l'ancien président de la BCE Mario Draghi.
Comparaissant devant un juge de Palerme dans une affaire de migrants bloqués en mer, l'ancien ministre italien de l'Intérieur a expliqué être «serein» concernant de possibles poursuites. Le magistrat a renvoyé au 20 mars la poursuite de la procédure.
Alors que les américains sont appelés à élire leur prochain président, le leader de la Lega, Matteo Salvini, s'est montré sur Twitter coiffé d'une casquette en soutien au candidat et président sortant Donald Trump.
Le président de la région de Sicile a publié un arrêté visant à fermer sur son territoire tous les centres d'accueil de migrants, qu'il juge propices à la diffusion du Covid-19. Une décision invalide juridiquement, mais saluée par Matteo Salvini.
Le financier philanthrope a fustigé les leaders eurosceptiques, mais aussi la Russie et la Chine, les accusant de mettre en danger le modèle de l'UE. Il considère une mort de l'union non plus comme «une possibilité théorique» mais comme «probable».
Le Sénat italien a voté la levée de l'immunité parlementaire de Matteo Salvini, ouvrant la voie à un procès pour séquestration de personnes. L'ex-ministre de l'Intérieur avait refusé le débarquement de migrants sur les côtes italiennes en août 2019.
Ancien journaliste, Gianluigi Paragone a récemment été exclu du M5S, dont il critiquait l'alliance avec le Parti démocrate. Le sénateur a lancé son parti avec un objectif limpide : faire sortir l'Italie de l'Union européenne.
Laissant supposer une manigance politique à l'encontre du chef de la Ligue, un échange privé entre deux hauts magistrats italiens a été divulgué par voie de presse. L'affaire remonte à 2018, quand Matteo Salvini était ministre de l’Intérieur.
Le Premier ministre italien s'est félicité de la régularisation temporaire des travailleurs clandestins du secteur agricole. Matteo Salvini, quant à lui, a tancé une décision aux conséquences en réalité plus vastes.
Faute de disposer de travailleurs saisonniers, bloqués dans leur pays d'origine à cause de la pandémie, l'Italie a décidé d'accorder un titre de séjour à 200 000 clandestins. La mesure est contestée par la Ligue de Matteo Salvini.
Matteo Salvini dit soutenir les ouvertures d'églises pour fêter Pâques. Selon l'ancien ministre italien de l'Intérieur, la science seule ne serait pas suffisante pour endiguer la pandémie, particulièrement meurtrière dans son pays.
La présidente de la Commission européenne a présenté ses excuses à Rome, reconnaissant le manque d'aide apporté par l'UE. Elle a promis un mécanisme de prêts de 100 milliards d'euros, mais doit pour ce faire convaincre tous les Etats membres.
Le sénateurs italiens ont donné leur feu vert pour le jugement de l'ancien ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini pour «séquestration» de migrants en mer. Le chef de la Ligue risque 15 ans de prison et six à huit ans d'inéligibilité.
La nièce de Marine Le Pen s'est livré à un discours très théorique lors d'un colloque sur le sujet du «national-conservatisme», organisé par un intellectuel israélien, en présence notamment du dirigeant hongrois Viktor Orban.
La Ligue de Matteo Salvini a perdu, d'environ 7%, les élections régionales en Emilie-Romagne : c'était le premier test pour l'ancien ministre de l'Intérieur depuis sa démission en août 2019. En Calabre, la coalition de centre-droite l'a emporté.
En campagne pour les élections régionales italiennes, Matteo Salvini sonne à la porte d'un immeuble, devant les caméras, pour demander à une famille tunisienne si elle abrite des vendeurs de drogue. L'ambassadeur tunisien à Rome dit sa consternation.
Des milliers de «sardines» se sont rassemblées le 19 janvier à Bologne. Ils étaient environ 40 000 selon les organisateurs.
Le pape François a fait polémique le 31 décembre, en s'irritant de la vigoureuse poignée de main d'une fidèle. Le chef de la Ligue italienne, qui dénonce fréquemment le discours du pape, en a profité pour le taquiner dans une vidéo sur Instagram.